Rivaldo__10
2021-08-05 22:03:50
Salut l'élite
Alors je vous explique,
Mon père est maître ramoneur, et il y a de cela 10 jours, il a eu un accident de travail.
Il était sur le toit, pour ramoner ma tante, et en faisant un faux mouvement, il a basculé et a glissé dans la cheminée, alors allumée.
De par sa surcharge pondérale (1m70 pour 100kg), il est resté bloqué dans la cheminée, tandis que les flammes lui léchaient le cul.
Il est resté bloqué 1h30 comme ça, le temps que les pompiers le sortent de là. Le feu était impossible à éteindre, les gouttes de graisse qui coulaient de son cul en fusion ne faisaient qu'attiser les flammes, qui ont transformé le salon de ma tante en véritable enfer de flammes et de cul brûlé.
Bilan: après 5 jours d'hospitalisation, les chirurgiens ont réussi à opérer une greffe de cul. Il a quand même perdu 75 à 80% de masse fessière, mais au moins il est en vie.
Ça fait donc quelques temps qu'il est à la maison, avec une pommade à appliquer 3 fois par jour + pansement.
Vu que la zone est difficilement accessible, c'est donc à moi de lui tartiner la pommade. Jusqu'à hier, tout se passait bien.
Ce matin, il m'appelle comme d'habitude pour le rituel de la crème, mais cette fois, il me dit qu'il a souffert plus que d'habitude pendant la nuit.
Je tartine donc la crème bien vigoureusement, en prenant soin de masser profondément partout.
C'est là que le malheur est arrivé. Mon père a malheureusement laissé échapper un petit prout, et une particule fécale à du arriver au fond de mes naseaux, ce qui m'a fait éternuer.
Mon pouce, lubrifié par la pommade, a donc glissé très rapidement vers l'orifice anal de mon géniteur. J'ai entendu un "Ouch ", et j'ai senti ses testicules se contracter.
J'ai ôté mon pouce à la vitesse de l'éclair, ce qui lui a fait pousser un petit râle rauque. Il s'est retourné, on s'est regardé dans les yeux un moment sans rien dire, et j'ai vite décampé, le laissant là, le cul à l'air, impuissant.
C'est gay les kheys ? Je dois faire quoi ? Là, j'entends "sploutch sploutch" dans le salon, j'ai peur