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ils ont pas mieux à foutre ces connards de mediapart ?
Le 06 août 2021 à 20:48:04 :
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bien d’être abonné à ce torchon ?
Le 06 août 2021 à 20:49:27 :
ils ont pas mieux à foutre ces connards de mediapart ?Le 06 août 2021 à 20:48:04 :
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Je suis pas abonné mais j'y ai accès
Le 06 août 2021 à 20:48:04 :
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Plus petit encore
Merci pour l'effort cependant
«J’ai joué à ce jeu avec ma femme, je l’ai évidemment enculée. » La phrase est lâchée en direct, jeudi 29 avril 2021, aux environs de 15 h 30, par l’animateur de l’émission « En plateau ». Nous sommes sur LeStream, première Web TV de France, suivie par près d’un million de personnes. Sur le plateau, les trois autres personnes qui testent un jeu de cartes ne réagissent pas.
Diffusé sur la plateforme Twitch, qui gagne chaque jour en importance dans les champs politique et médiatique, LeStream, né en 2017, est une des nombreuses productions du groupe Webedia, propriété du milliardaire Marc Ladreit de Lacharrière. Son public est jeune, voire très jeune : les 13-24 ans représentant 52 % des audiences (voir notre Boîte noire). Et, à l’écran, le sexisme se ressent au quotidien.
Ce jour-là, un joueur regrette les cartes qui « ne le [font] pas bander », « [s]’en [bat] les couilles » ou se questionne à voix haute sur la meilleure façon de « baiser » ses concurrents, et notamment sa concurrente.
« Frérot », « mec », « t’es trop fort », « il est bon ce con », « il est invincible » : autour de la table, les messages de solidarité, d’admiration et de félicitations fusent entre les trois hommes présents. La seule femme est à l’écart de cet entre-soi masculin, qui se construit toujours sur le ton de la blague et sans agressivité apparente.
Capture d'écran de "Le Récap" en avril 2021.
Capture d'écran de "Le Récap" en avril 2021.
Ces propos peuvent paraître anodins. En réalité, à longueur de journée, au quotidien, ils produisent des effets. « Outre le manterrupting [le fait de couper la parole aux femmes – ndlr] assez fréquent, les hommes en plateau semblent régulièrement réaffirmer leur hétérosexualité en faisant des blagues à caractère sexuel ou en faisant référence à “leur” femme », remarque Delphine Chedaleux, spécialiste du genre dans les médias et enseignante à l’université de Compiègne.
« Il s’agit d’une forme d’hétérosexisme qui s’inscrit ici dans la culture geek, une culture qui, dans ses formes dominantes et visibles, est empreinte d’un virilisme se donnant une apparence cool et moderne. Si elles sont présentes, les femmes sont ainsi fréquemment ramenées à leur place, celle de faire-valoir », poursuit Delphine Chedaleux.
Selon le comptage que nous avons pu faire (lire notre Boîte noire), les émissions de LeStream dans lesquelles les femmes parlent autant que les hommes sont celles qui leur offrent une position d’expertes. Ces programmes représentent moins de 10 % de la grille hebdomadaire.
À l’échelle d’une semaine, les plateaux accueillent plus de 86 % d’hommes et ceux-ci occupent près de 90 % du temps de parole. Cette hégémonie masculine à l’écran s’accentue encore lorsque l’on s’intéresse spécifiquement à l’émission phare de la chaîne, « Le Récap », diffusée du lundi au vendredi entre 18 et 20 heures : les femmes ne parviennent pas à parler plus de 40 minutes sur les neuf heures trente d’antenne hebdomadaire que cumule l’émission.
« Nous avons bien progressé depuis deux ans », se félicite Nicolas Sterckx, directeur général de la branche France de Webedia, lorsque Mediapart l’interroge sur l’omniprésence des hommes à l’antenne. Également DRH, Nicolas Sterckx affiche une confiance solide : « On peut toujours et on doit faire mieux, mais le mouvement est définitivement enclenché. »
Selon lui, les cadres de la chaîne annoncent désormais « un objectif de 50 % de femmes à l’antenne ». Mais sans plus de précisions, ni sur le calendrier ni sur les moyens réellement mis en œuvre.
La présence de femmes, même en position de pouvoir, ne constitue pas un indicateur suffisant, pour évaluer la prégnance du sexisme dans un média
Delphine Chedaleux
Seule Michèle Benzeno, directrice du pôle Gaming de Webedia (chargée de l’édition de LeStream), esquisse un début de réponse : deux nouvelles émissions hebdomadaires présentées par une femme ont intégré la grille des programmes à la fin du printemps 2021. « Il nous faut embrasser le fait qu’on est dans une industrie très masculine, les candidatures féminines sont rares », plaide la directrice.
Les chiffres du dernier rapport produit par le Syndicat des éditeurs de logiciels de loisirs indiquent pourtant que 47 % des joueurs de jeux vidéo sont des joueuses et que celles-ci représentent 33 % des joueurs dits « investis et technophiles ».
Surtout, la dirigeante estime que si LeStream doit « encore progresser pour arriver à une femme par émission avec l’objectif de la parité », la chaîne « a trouvé le juste équilibre pour une ambiance d’émissions “entre potes” ». « Il ne faut pas casser ces codes-là : nos communautés nous suivent, tout comme nos partenaires publicitaires », poursuit celle qui se trouve être également la directrice Revenus et marketing de Webedia.
Enfin, à l’instar de tous les cadres de la chaîne lorsque la question du sexisme à l’antenne leur est posée, la dirigeante insiste : « L’un de nos deux programmes quotidiens phares, “Le Journal”, est présenté par une femme. »
Maîtresse de cérémonie des deux heures quotidiennes consacrées à l’actualité du gaming à la mi-journée, Salomé Lagresle anime avec dynamisme et rigueur cette sorte de « Téléfoot » quotidien du jeu vidéo : elle rythme l’émission et lance les chroniques de cinq à huit experts – presque tous masculins – qui commentent l’actualité en direction d’un public de passionné·e·s. Présentatrice, elle y prend la parole, en moyenne, 20 minutes chaque jour.
« La présence de femmes, même en position de pouvoir, ne constitue pas un indicateur suffisant en lui-même pour évaluer la prégnance du sexisme dans un média, estime la chercheuse Delphine Chedaleux. Il devient de plus en plus difficile d’assumer de construire des espaces médiatiques en non-mixité masculine, donc des femmes peuvent être tolérées là où elles ne l’étaient pas par le passé. » Pour la chercheuse, cette présence est soumise à une condition essentielle : « Ces femmes tolérées ne doivent menacer ni les intérêts masculins ni la structure hiérarchisée du pouvoir. »
Une personne est en charge, tout au long des émissions, d’écouter les personnes en plateau et de suspendre l’antenne si nécessaire
Michèle Benzeno, directrice chez Webedia
Selon elle, ce déséquilibre peut être ébranlé, voire effacé, si trois modalités sont respectées : « Des femmes en position de pouvoir sont indispensables mais il faut que celles-ci soient dans une démarche de défense de la cause des femmes et que les effectifs féminins soient suffisamment importants pour pouvoir envisager des mobilisations collectives : pour modifier les discours, la culture et les pratiques d’une entreprise ou d’une institution en matière d’inégalités et de sexisme, il faut être nombreuses et organisées. »
En dehors de cette configuration, Delphine Chedaleux estime que « la présence de quelques femmes au sommet d’une entreprise ne change pas nécessairement grand-chose. C’est en revanche un moyen très utile de couper court aux critiques ».
Quant à la lutte contre les discours et comportements sexistes à l’antenne, un décalage apparaît entre le discours des dirigeants et les faits. « Nous avons un point de vigilance particulier sur la question », assure Michèle Benzeno à Mediapart, expliquant que chaque dérapage à l’antenne donne lieu à un recadrage par le chargé d’édition.
« Cette année, nous avons mis en place une conduite d’antenne », ajoute la cadre de la chaîne, selon qui « une personne est en charge, tout au long des émissions, d’écouter les personnes en plateau et de suspendre l’antenne si nécessaire ».
« On s’est fait cut [« couper » – ndlr] nos mères mais la vidéo YouTube adore ce que tu dis », lâche l’un des animateurs à son voisin, qui vient de comprendre qu’une brève rupture d’antenne avait été décidée par la régie, à quelques minutes de la fin du « Récap » du 29 avril 2021.
La vidéo replay de cette émission est effectivement disponible en version intégrale sur la chaîne YouTube de LeStream. Lors de sa diffusion en direct, un écran d’attente avait pourtant occupé l’écran pendant près d’une minute : le temps nécessaire aux animateurs pour cesser de rire et de digresser autour du mot « branlette » – une conversation jugée trop vulgaire et risquant de provoquer une censure par Twitch.
Dépendant des règles de son diffuseur en direct, LeStream est tenté d’utiliser la conduite d’antenne dans l’objectif d’éviter un bannissement de cette plateforme et non comme un outil de lutte contre le sexisme.
Le modèle économique de la chaîne LeStream, lancée en 2017 par des techniciens de Webedia et des influenceurs du monde du jeu vidéo venus de Twitch, repose sur la publicité et, plus spécifiquement, sur le marketing de l’influence. LeStream se finance principalement à travers des opérations spéciales vendues à des marques. Disposant d’une notoriété significative sur Twitch, YouTube, Twitter et Instagram, les animateurs de la chaîne la monétisent en échange de la mise en avant de produits auprès de leur « communauté » sur les réseaux sociaux.
De l’armée de l’air aux paris en ligne, en passant par des ustensiles de cuisine ou des réductions sur Meetic, la chaîne joue le rôle d’intermédiaire de vente, de société de production et de diffuseur supplémentaire pour ces opérations publicitaires. « Notre chaîne est un réceptacle pour les marques », résume Michèle Benzeno.
Prestataires indépendant·e·s auprès de la chaîne dans leur immense majorité, les animateurs et animatrices sont donc d’abord et avant tout des influenceurs et influenceuses : leur « valeur » est indexée sur le nombre de leurs abonné·e·s sur les réseaux sociaux et, par conséquent, sur le volume de contrats publicitaires qu’ils et elles peuvent apporter à la chaîne et, plus largement, au groupe Webedia.
L’économie de l’influence ne se limite pas à l’existence de LeStream au sein du groupe Webedia : c’est un secteur stratégique pour l’ensemble de la holding. Via ses diverses « agences de talents » regroupées dans Webedia Creators, le groupe produit et accompagne dans leur collaboration avec les marques de nombreux « créateurs et créatrices digitaux », comme Cyprien ou Norman Thavaud, de même que des personnalités comme Michel Cymes, Bilal Hassani ou Jamy Gourmaud.
Au niveau financier, les activités issues du secteur de l’influence sont regroupées par Webedia, au côté de ses activités de production, dans un pôle nommé « Production et talent ». Le groupe n’a pas déposé ses comptes depuis 2018 mais Mediapart a eu accès à un document interne indiquant que son chiffre d’affaires global pour 2020 s’élevait à 220 millions d’euros. Production et talent y apparaît comme le pôle générant la part la plus importante pour le groupe (50 millions), après le pôle International (114 millions). Des chiffres que la direction, interrogée, conteste, tout en refusant de communiquer son dernier bilan financier.
En octobre 2020, sur Twitter, Josselin « Fayaw » Deprez, un animateur des émissions du week-end sur LeStream, est accusé d’avoir demandé à une fille mineure de lui envoyer des photos et des vidéos à caractère sexuel.
En avril 2021, le site Urbania.fr révèle qu’une plainte a été déposée au Canada contre le youtubeur Norman Thavaud, un des influenceurs phares du groupe. Il aurait incité une fille mineure à lui envoyer des messages et des photos à caractère sexuel.
Quelques jours après l’accusation en ligne dont il a fait l’objet, Josselin Deprez annonce son départ de LeStream sur Twitter. Mediapart s’est entretenu avec le cadre de la chaîne qui, par téléphone, a mis fin immédiatement à leur collaboration, lui laissant la possibilité de l’annoncer lui-même et dans les termes de son choix. À ce jour, aucune plainte n’a été déposée à l’égard de Josselin Deprez. De son côté, l’ancien collaborateur de LeStream affirme avoir déposé plainte en diffamation contre l’autrice des tweets. Interrogé par Mediapart, il considère que « ce qu’il s’est passé sur Twitter est sorti de son contexte ».
Norman Thavaud, quant à lui, trône toujours en une du site de Webedia Creators. Il n’a pas donné suite à nos demandes d’entretien.
Capture d'écran du site de Webedia Creators.
Capture d'écran du site de Webedia Creators.
Interrogé sur la responsabilité de LeStream vis-à-vis de son public très jeune, Nicolas Sterckx considère qu’« il vaut mieux que la jeunesse regarde une chaîne qui est cadrée, sur laquelle on intervient quand il y a des dérives, plutôt qu’un youtubeur “no limit” ». Quant à la différence de traitement entre les deux influenceurs, le directeur de Webedia France se défend : « Les deux affaires n’ont absolument rien de similaire. Nous attendons les conclusions de l’enquête [judiciaire] concernant Norman. »
Le 06 août 2021 à 20:51:03 :
Le 06 août 2021 à 20:48:04 :
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Augmente le niveau de zoom ça se lit bien
Ce jour-là, un joueur regrette les cartes qui « ne le [font] pas bander », « [s]’en [bat] les couilles » ou se questionne à voix haute sur la meilleure façon de « baiser » ses concurrents, et notamment sa concurrente.
Ils sont tarés (les journaleux)
Qu'ils ne creusent pas plus sur Twitch parce que LeStream c'est des gentils à côté du reste
Et les lives de meufs en maillot de bain qui montrent leur cul dans une piscine pendant des heures et des heures ?
Ils en parlent pas évidemment ?
Ça nuit pas l image de la femme ce genre de stream ? Réduire les femmes à leur corps et à les objectifier, c est normal ça? En plus sur une plate-forme qui est visitée par des très jeunes mineurs
Ils n en parleront pas évidemment.
Le 06 août 2021 à 20:56:44 :
Et les lives de meufs en maillot de bain qui montrent leur cul dans une piscine pendant des heures et des heures ?
Ils en parlent pas évidemment ?
Ça nuit pas l image de la femme ce genre de stream ? Réduire les femmes à leur corps et à les objectifier, c est normal ça? En plus sur une plate-forme qui est visitée par des très jeunes mineursIls n en parleront pas évidemment.
écris l'article et propose leur
Le 06 août 2021 à 20:56:44 :
Et les lives de meufs en maillot de bain qui montrent leur cul dans une piscine pendant des heures et des heures ?
Ils en parlent pas évidemment ?
Ça nuit pas l image de la femme ce genre de stream ? Réduire les femmes à leur corps et à les objectifier, c est normal ça? En plus sur une plate-forme qui est visitée par des très jeunes mineursIls n en parleront pas évidemment.
Le 06 août 2021 à 20:56:44 :
Et les lives de meufs en maillot de bain qui montrent leur cul dans une piscine pendant des heures et des heures ?
Ils en parlent pas évidemment ?
Ça nuit pas l image de la femme ce genre de stream ? Réduire les femmes à leur corps et à les objectifier, c est normal ça? En plus sur une plate-forme qui est visitée par des très jeunes mineursIls n en parleront pas évidemment.
Et pourquoi il n'y'a pas 50 % de mecs en maillot de bain qui montrent le cul dans leur piscine ?
Bah non parce qu'un mec gagnerait rien, il doit produite un contenu qualitatif un minimum
Ils se disent pas que cette niche de meufs en maillot de bain en cédant à la facilité offert du fait de l'attrait offert de par leur sexe ça explique qu'elles soient sous représentées dans le stream de jeux vidéo par simple principe de vase communiquant.
Bah non ça chiale alors que rien n'empêche une femme motivée de s'investir dans la pratique des jeux vidéo.
Le 06 août 2021 à 20:56:05 :
Ce jour-là, un joueur regrette les cartes qui « ne le [font] pas bander », « [s]’en [bat] les couilles » ou se questionne à voix haute sur la meilleure façon de « baiser » ses concurrents, et notamment sa concurrente.
Ils sont tarés (les journaleux)
Qu'ils ne creusent pas plus sur Twitch parce que LeStream c'est des gentils à côté du reste
Leurs soirées ça doit être de discuter du dernier livre de science fiction essai de Frédéric Lordon en buvant du Jus de carotte bio met toi à leur place
Le 06 août 2021 à 21:08:03 :
- T'es sexiste ?
- Oui j'ai dit frérot et mec sur un stream Twitch
Par contre une meuf qui met un masque de pigeon et et qui roucoule et secoue les bras repliés personne se dit que c'est une façon détournée de se moquer de ceux qui la suivent et lui font moult dons dans le cadre de ses stream "incroyablement" qualitatifs
Le 06 août 2021 à 20:56:44 :
Et les lives de meufs en maillot de bain qui montrent leur cul dans une piscine pendant des heures et des heures ?
Ils en parlent pas évidemment ?
Ça nuit pas l image de la femme ce genre de stream ? Réduire les femmes à leur corps et à les objectifier, c est normal ça? En plus sur une plate-forme qui est visitée par des très jeunes mineursIls n en parleront pas évidemment.
Ces la faute des hommes qui regardent et poussent les femmes à se dévêtir, sinon elles n'ont pas assez de vue
Le 06 août 2021 à 21:12:24 :
Le 06 août 2021 à 21:08:03 :
- T'es sexiste ?
- Oui j'ai dit frérot et mec sur un stream TwitchPar contre une meuf qui met un masque de pigeon et et qui roucoule et secoue les bras repliés personne se dit que c'est une façon détournée de se moquer de ceux qui la suivent et lui font moult dons dans le cadre de ses stream "incroyablement" qualitatifs
suffit de pas regarder pour qu'elles arretent ceci dit