WarmAsianPussy
2021-08-03 22:53:03
"Gneu gneu les pico arms, nos femmes sont fidèles et pas les votres, jamais elles ne voudront de vos saucissons Justin Bridou"https://image.noelshack.com/fichiers/2017/21/1495798765-arabepleur.png
https://diaspora.telquel.ma/2021/03/19/en-france-comment-la-fetichisation-pese-sur-la-vie-amoureuse-des-femmes-dorigine-maghrebine/
“Par exemple, quand tu rencontres un blanc qui n’est sorti qu’avec des maghrébines et qui te dit que c’est son style, tu te demandes s’il t’apprécie pour ce que tu es ou si tu es la suivante sur la liste.” Une méfiance qui s’inscrit dans une histoire amoureuse compliquée par son origine et son apparence comme pour d’autres jeunes filles et femmes d’origine maghrébine hétérosexuelles vivant en Occident.
Nora a grandi à Sanary-sur-Mer. À 16 ans, quand elle rencontre un homme de huit ans son aîné devant son collège, l’adolescente a l’impression qu’on pose enfin le regard sur elle. S’ensuit une relation de huit mois, de plus en plus destructrice. “Au début, même si tous les compliments qu’il me faisait étaient liés à mes traits maghrébins, je trouvais incroyable qu’il s’intéresse à moi. Puis c’est devenu des surnoms comme ‘ma beurette’, ‘ma princesse d’Orient’… C’était très malaisant, jusqu’à ce que je comprenne.”
Sophia, 26 ans, a vécu le même choc au début de sa vie sentimentale. La Casaouie, arrivée en France pour ses études supérieures à l’âge de 18 ans, a d’abord apprécié plaire. “Mais je me suis rapidement rendue compte que certains hommes cherchaient à me séduire en me renvoyant sans cesse à mon arabité. À la fac, ils avaient tendance à me montrer qu’ils aimaient la culture, me parlaient des chansons arabes qu’ils connaissaient”.
Sophia se souvient d’un garçon avec lequel elle a passé une nuit quand elle avait 23 ans. “C’était un mec qui était censé être intéressant, bac +7, cultivé, pas le stéréotype du beauf. Pendant le date, il voulait absolument que je parle de mon pays, il me trouvait ‘solaire’ et aimait mon langage ‘cash’. Et puis, en plein rapport sexuel, il m’a demandé de ‘faire l’amour en arabe’”, se remémore-t-elle, encore médusée. “Tu veux que je te dise quoi ? ‘Mashallah, inshallah’ ?” Elle se souvient d’un autre amant qui lui a demandé de lui faire de la danse orientale.
Pour Nora, qui a vécu ses premières expériences sexuelles avec l’homme plus âgé qui la fétichisait, le cauchemar continuait sous les draps. “Un jour, il m’a demandé si les autres membres de ma famille portaient le voile. J’ai répondu que oui. Il m’a demandé si je voulais bien le porter pendant qu’on faisait l’amour. J’ai dit que non, que je trouvais ça bizarre, mais il a vraiment insisté”. En France, selon une étude publiée en 2015 dans l’European Sociology Review, les utilisateurs privilégient le type “européen”.
“Quand je l’ai quitté, il m’a dit ‘de toute façon les maghrébines, ça court les rues’“. Cela entraîne aussi une méfiance envers les hommes, surtout blancs. “Maintenant, j’attends juste le moment où la personne va me décevoir.” Et les femmes de mettre en place des stratégies pour détecter les attirances fondées sur de mauvaises raisons. “Cinq questions qui tourne autour de mon pays d’origine, c’est fini j’arrête tout”. Jusqu’à se demander s’il ne faudrait pas se tourner exclusivement vers des hommes de sa communauté. “Je me pose tout le temps la question”. Heureusement, de nombreuses relations métissées saines et sincères existent. “Aujourd’hui, je suis avec quelqu’un de safe et je ne me laisserai plus manipuler”.
Conclusion :
-Elles aiment les blancs
-Qu'elles soient nées en Occident ou au bled
-Elles aiment le sexe et les bons saucissons locaux
-Elles ont été élevées "correctement"
-Elle savent qu'il y a des chances qu'elles tombent sur des fétichistes mais persistent et signent
-Cela les fait bien chier de devoir se contenter de ceux de leur communauté
Tu peux DDB, blacklist, je m'en contre-fiche, j'entends pas les rageux et je garde le pavé en réservehttps://image.noelshack.com/fichiers/2017/12/1490525843-giroud1.png