[BORDEL] L'HISTOIRE est la MEILLEURE CHOSE sur cette PLANÈTE :bave:

Solswin
2021-07-30 22:52:04

Musique d'ambiance :

&frags=pl%2Cwn

Tous ces moments de gloire et de profonds chagrins, de la déchéance de conquérants d'empires à la simple tristesse de bergers d'une époque révolue, des splendeurs de civilisations étincelantes et rayonnantes à la chute d'empires dans les tréfonds de la honte, ces moments où le peuple chantait à la gloire de son souverain, ces temps d'horreur où l'humanité s'est partiellement éclipsé sur l'autel de la haine, le tout parfois chapeauté sur la volonté d'un SEUL homme, qui du fait de sa seule ambition, a bâti des empires, dominer les individus par millions et exploré les contrées les plus lointaines qui soit :bave:

Toutes ces contrées exotiques aux civilisations perdues et aux monuments à la gloire du savoir humain :bave:

Des mystérieux Sumériens aux civilisations occidentales, d'Alexandre le Grand à Napoléon, des déboires d'un marchand de l'Égypte antique à la découverte de l'Amérique en passant par les péripéties de Christophe Colomb :bave:

Et tout cela, toutes ces histoires, tout ces instants d'émotions, sont aujourd'hui disponibles à notre personne d'un seul clic ou d'un seul regard par l'intermédiaire d'Internet et des livres, c'est juste ahurissant et formidable :bave:

Cavamefeeed
2021-07-30 22:58:28

Non.

L'intérêt pour l'Histoire est généralement inversement proportionnel à la capacité d'action de l'individu chez qui il se développe.
L'Histoire est une discipline de moine reclus ou de curé (Jordanès, Sigebert, Vertot), d'étudiant puceau (nombreux exemples sur ce forum) et de professeur à l'aura seminalis irrespirable.

L'Histoire est une alternative masculine - oserais-je dire ”virile" ? - au roman, divertissement de femme. Elle demeure toutefois, à l'heure actuelle, rien que du roman pour garçon en mal de belles images, de grosses guéguerres et de centurions musclés en costume de sapeur-pompier ; du roman national, avec du mauvais lyrisme et de la vieille polyphonie claironnante dedans.

L'étude de l'Histoire n'est jamais envisagée comme activité intellectuelle ou conceptuelle, encore moins scientifique et elle se trouve, pour son malheur, cantonnée dans le camps des choses littéraires, artistiques et facilement consommables, digestivement acceptables pour les masses.

Énergie fossile pour ratés, elle produira à l'usage de ces derniers un carburant à grandes phraÂases, à jolizimages épinalesques nécessaires au fonctionnement de leur immobilité perpétuelle et remplira leurs encriers d'une mélasse enluminée grâce à laquelle il pratiqueront le sport national : l'admiration béate farcie à la sotte nostalgie.

L'historien est une figure triste, un chevalier de mansarde, un conquistador de faculté, un maréchal de chaire ; son vit est dur et ferme, toujours en avance d'une bandaison admirative, mais sa main molle pendouille sans but et sans vigueur.

Et je reste poli.

Fiondelunivers
2021-07-30 23:00:07

l'histoire :rire:

les jeu vidéo :ok:

Posedam
2021-07-30 23:00:37

Le 30 juillet 2021 à 22:58:28 :
Non.

L'intérêt pour l'Histoire est généralement inversement proportionnel à la capacité d'action de l'individu chez qui il se développe.
L'Histoire est une discipline de moine reclus ou de curé (Jordanès, Sigebert, Vertot), d'étudiant puceau (nombreux exemples sur ce forum) et de professeur à l'aura seminalis irrespirable.

L'Histoire est une alternative masculine - oserais-je dire ”virile" ? - au roman, divertissement de femme. Elle demeure toutefois, à l'heure actuelle, rien que du roman pour garçon en mal de belles images, de grosses guéguerres et de centurions musclés en costume de sapeur-pompier ; du roman national, avec du mauvais lyrisme et de la vieille polyphonie claironnante dedans.

L'étude de l'Histoire n'est jamais envisagée comme activité intellectuelle ou conceptuelle, encore moins scientifique et elle se trouve, pour son malheur, cantonnée dans le camps des choses littéraires, artistiques et facilement consommables, digestivement acceptables pour les masses.

Énergie fossile pour ratés, elle produira à l'usage de ces derniers un carburant à grandes phraÂases, à jolizimages épinalesques nécessaires au fonctionnement de leur immobilité perpétuelle et remplira leurs encriers d'une mélasse enluminée grâce à laquelle il pratiqueront le sport national : l'admiration béate farcie à la sotte nostalgie.

L'historien est une figure triste, un chevalier de mansarde, un conquistador de faculté, un maréchal de chaire ; son vit est dur et ferme, toujours en avance d'une bandaison admirative, mais sa main molle pendouille sans but et sans vigueur.

Et je reste poli.

Tu dis de la merde, l'Histoire c'est un truc d'alpha + c'est classé dans les sciences humaines

Cavamefeeed
2021-07-30 23:01:33

Le 30 juillet 2021 à 23:00:37 :

Le 30 juillet 2021 à 22:58:28 :
Non.

L'intérêt pour l'Histoire est généralement inversement proportionnel à la capacité d'action de l'individu chez qui il se développe.
L'Histoire est une discipline de moine reclus ou de curé (Jordanès, Sigebert, Vertot), d'étudiant puceau (nombreux exemples sur ce forum) et de professeur à l'aura seminalis irrespirable.

L'Histoire est une alternative masculine - oserais-je dire ”virile" ? - au roman, divertissement de femme. Elle demeure toutefois, à l'heure actuelle, rien que du roman pour garçon en mal de belles images, de grosses guéguerres et de centurions musclés en costume de sapeur-pompier ; du roman national, avec du mauvais lyrisme et de la vieille polyphonie claironnante dedans.

L'étude de l'Histoire n'est jamais envisagée comme activité intellectuelle ou conceptuelle, encore moins scientifique et elle se trouve, pour son malheur, cantonnée dans le camps des choses littéraires, artistiques et facilement consommables, digestivement acceptables pour les masses.

Énergie fossile pour ratés, elle produira à l'usage de ces derniers un carburant à grandes phraÂases, à jolizimages épinalesques nécessaires au fonctionnement de leur immobilité perpétuelle et remplira leurs encriers d'une mélasse enluminée grâce à laquelle il pratiqueront le sport national : l'admiration béate farcie à la sotte nostalgie.

L'historien est une figure triste, un chevalier de mansarde, un conquistador de faculté, un maréchal de chaire ; son vit est dur et ferme, toujours en avance d'une bandaison admirative, mais sa main molle pendouille sans but et sans vigueur.

Et je reste poli.

Tu dis de la merde, l'Histoire c'est un truc d'alpha + c'est classé dans les sciences humaines

Premier cultiste aux épaules maigres.

Ok Napoléon.

Yamboulet
2021-07-30 23:03:14

J'espère que ça s'applique aussi pour l'histoire de l'art et l'histoire des différents courants littéraires :ok:

Cavamefeeed
2021-07-30 23:04:53

Le 30 juillet 2021 à 23:03:14 :
J'espère que ça s'applique aussi pour l'histoire de l'art et l'histoire des différents courants littéraires :ok:

Ce sont des activités tellement secondaires et bassement positionnées dans l'ordre des choses de l'esprit que l'auteur n'y a sûrement même pas songé.

L'historien de l'art tartine au stylo-bille de vilaines pages d'une main maladroite et dodue qui serait incapable de saisir le pinceau, la gouge ou le burin avec la volonté ferme et virile de l'artiste créateur.

Keweels
2021-07-30 23:06:18

On continue de la vivre cette histoire, et j'ai l'impression que la décennie suivante va être assez intéressante à vivre

Nerodyv
2021-07-30 23:07:02

Beau pavé mais j'ai un peu de mal avec la Great Man Theory.

La théorie des trois temps de Braudel > all

IvrogneDeParis
2021-07-30 23:08:04

Le 30 juillet 2021 à 22:58:28 :
Non.

L'intérêt pour l'Histoire est généralement inversement proportionnel à la capacité d'action de l'individu chez qui il se développe.
L'Histoire est une discipline de moine reclus ou de curé (Jordanès, Sigebert, Vertot), d'étudiant puceau (nombreux exemples sur ce forum) et de professeur à l'aura seminalis irrespirable.

L'Histoire est une alternative masculine - oserais-je dire ”virile" ? - au roman, divertissement de femme. Elle demeure toutefois, à l'heure actuelle, rien que du roman pour garçon en mal de belles images, de grosses guéguerres et de centurions musclés en costume de sapeur-pompier ; du roman national, avec du mauvais lyrisme et de la vieille polyphonie claironnante dedans.

L'étude de l'Histoire n'est jamais envisagée comme activité intellectuelle ou conceptuelle, encore moins scientifique et elle se trouve, pour son malheur, cantonnée dans le camps des choses littéraires, artistiques et facilement consommables, digestivement acceptables pour les masses.

Énergie fossile pour ratés, elle produira à l'usage de ces derniers un carburant à grandes phraÂases, à jolizimages épinalesques nécessaires au fonctionnement de leur immobilité perpétuelle et remplira leurs encriers d'une mélasse enluminée grâce à laquelle il pratiqueront le sport national : l'admiration béate farcie à la sotte nostalgie.

L'historien est une figure triste, un chevalier de mansarde, un conquistador de faculté, un maréchal de chaire ; son vit est dur et ferme, toujours en avance d'une bandaison admirative, mais sa main molle pendouille sans but et sans vigueur.

Et je reste poli.

Jamais lu autant de conneries

Vasherno
2021-07-30 23:08:27

Le 30 juillet 2021 à 23:07:02 :
Beau pavé mais j'ai un peu de mal avec la Great Man Theory.

La théorie des trois temps de Braudel > all

Comment ca tu peux détailler ces théories stp ? :(

PardonneMoix
2021-07-30 23:09:08

Le 30 juillet 2021 à 22:58:28 :
Non.

L'intérêt pour l'Histoire est généralement inversement proportionnel à la capacité d'action de l'individu chez qui il se développe.
L'Histoire est une discipline de moine reclus ou de curé (Jordanès, Sigebert, Vertot), d'étudiant puceau (nombreux exemples sur ce forum) et de professeur à l'aura seminalis irrespirable.

L'Histoire est une alternative masculine - oserais-je dire ”virile" ? - au roman, divertissement de femme. Elle demeure toutefois, à l'heure actuelle, rien que du roman pour garçon en mal de belles images, de grosses guéguerres et de centurions musclés en costume de sapeur-pompier ; du roman national, avec du mauvais lyrisme et de la vieille polyphonie claironnante dedans.

L'étude de l'Histoire n'est jamais envisagée comme activité intellectuelle ou conceptuelle, encore moins scientifique et elle se trouve, pour son malheur, cantonnée dans le camps des choses littéraires, artistiques et facilement consommables, digestivement acceptables pour les masses.

Énergie fossile pour ratés, elle produira à l'usage de ces derniers un carburant à grandes phraÂases, à jolizimages épinalesques nécessaires au fonctionnement de leur immobilité perpétuelle et remplira leurs encriers d'une mélasse enluminée grâce à laquelle il pratiqueront le sport national : l'admiration béate farcie à la sotte nostalgie.

L'historien est une figure triste, un chevalier de mansarde, un conquistador de faculté, un maréchal de chaire ; son vit est dur et ferme, toujours en avance d'une bandaison admirative, mais sa main molle pendouille sans but et sans vigueur.

Et je reste poli.

Cette blackpill pour les amateurs d'Histoire ahihttps://image.noelshack.com/fichiers/2019/02/2/1546976853-snapchat20190108.jpg

Evaritzof
2021-07-30 23:11:37

Et cependant on a les pyramidiots et ceux qui nous explique que le MO n'a jamais existé, malgré toute notre connaissancehttps://image.noelshack.com/fichiers/2018/26/7/1530476579-reupjesus.png

NavetBrassica
2021-07-30 23:14:23

Le 30 juillet 2021 à 22:58:28 :
Non.

L'intérêt pour l'Histoire est généralement inversement proportionnel à la capacité d'action de l'individu chez qui il se développe.
L'Histoire est une discipline de moine reclus ou de curé (Jordanès, Sigebert, Vertot), d'étudiant puceau (nombreux exemples sur ce forum) et de professeur à l'aura seminalis irrespirable.

L'Histoire est une alternative masculine - oserais-je dire ”virile" ? - au roman, divertissement de femme. Elle demeure toutefois, à l'heure actuelle, rien que du roman pour garçon en mal de belles images, de grosses guéguerres et de centurions musclés en costume de sapeur-pompier ; du roman national, avec du mauvais lyrisme et de la vieille polyphonie claironnante dedans.

L'étude de l'Histoire n'est jamais envisagée comme activité intellectuelle ou conceptuelle, encore moins scientifique et elle se trouve, pour son malheur, cantonnée dans le camps des choses littéraires, artistiques et facilement consommables, digestivement acceptables pour les masses.

Énergie fossile pour ratés, elle produira à l'usage de ces derniers un carburant à grandes phraÂases, à jolizimages épinalesques nécessaires au fonctionnement de leur immobilité perpétuelle et remplira leurs encriers d'une mélasse enluminée grâce à laquelle il pratiqueront le sport national : l'admiration béate farcie à la sotte nostalgie.

L'historien est une figure triste, un chevalier de mansarde, un conquistador de faculté, un maréchal de chaire ; son vit est dur et ferme, toujours en avance d'une bandaison admirative, mais sa main molle pendouille sans but et sans vigueur.

Et je reste poli.

Bordel :ouch:

Ascensio
2021-07-30 23:17:26

Le 30 juillet 2021 à 23:06:18 :
On continue de la vivre cette histoire, et j'ai l'impression que la décennie suivante va être assez intéressante à vivre

Pareil j'ai la même impression, l'apparition d'internet n'est que le début de tout ces bouleversements :oui:
Ajoute à ça le manque croissant de ressource pour toujours plus d'humains, la chute des USA et l'avènement de l'Asie et tu peux être sur qu'on va bien s'amuser :hap:

Nerodyv
2021-07-30 23:18:49

Le 30 juillet 2021 à 23:08:27 :

Le 30 juillet 2021 à 23:07:02 :
Beau pavé mais j'ai un peu de mal avec la Great Man Theory.

La théorie des trois temps de Braudel > all

Comment ca tu peux détailler ces théories stp ? :(

En gros la Great Man Theory ou Théorie du Grand Homme est une théorie d'étude historique selon laquelle ce sont les grands hommes et leurs actions qui font l'Histoire et qui en sont le moteur. En gros, ce sont eux qui changent le monde, ce qui fait qu'on résume souvent l'Histoire à l'action des grands hommes comme Alexandre, Napoléon, etc.

Le problème c'est que ça nie complètement tous les autres facteurs. Napoléon il a beau être le génie militaire qu'il est, il n'aurait eu aucune chance de monter sans le système méritocratique issu de la Révolution française. Il n'aurait eu aucune chance sans la supériorité démographique de la France sur le reste de l'Europe.

Il faut prendre en compte tous les facteurs, économique, sociaux, culturels, qui sont parfois plus importants que les actions des grands hommes.

La théorie des trois temps de l'histoire de Fernand Braudel, un des plus grands historiens français, c'est qu'il faut appréhender l'étude historique sur trois temps :

:d) Le temps géologique, ou temps très long : les mouvements géologiques, les modifications du climat, etc. La part du milieu physique, quoi.

:d) Le temps économique et social : les changements sociaux, culturels, économiques, démographiques, qui se font lentement et sont sur un rythme long.

:d) Le temps politique, qui est de court-terme et correspond aux mouvements aux actions politiques, aux événements, aux "grandes dates", etc.

Les deux premiers sont les mouvements en profondeur des eaux, et le troisième c'est l'écume de la vague, si tu suis la métaphore.

Braudel va appliquer ça dans une magistrale étude de la Méditerranée au Moyen-Age.

Mishaim
2021-07-30 23:21:29

Encore faut-il que l'histoire ne soit pas falsifier

Peningtoon
2021-07-30 23:22:29

Le 30 juillet 2021 à 22:58:28 :
Non.

L'intérêt pour l'Histoire est généralement inversement proportionnel à la capacité d'action de l'individu chez qui il se développe.
L'Histoire est une discipline de moine reclus ou de curé (Jordanès, Sigebert, Vertot), d'étudiant puceau (nombreux exemples sur ce forum) et de professeur à l'aura seminalis irrespirable.

L'Histoire est une alternative masculine - oserais-je dire ”virile" ? - au roman, divertissement de femme. Elle demeure toutefois, à l'heure actuelle, rien que du roman pour garçon en mal de belles images, de grosses guéguerres et de centurions musclés en costume de sapeur-pompier ; du roman national, avec du mauvais lyrisme et de la vieille polyphonie claironnante dedans.

L'étude de l'Histoire n'est jamais envisagée comme activité intellectuelle ou conceptuelle, encore moins scientifique et elle se trouve, pour son malheur, cantonnée dans le camps des choses littéraires, artistiques et facilement consommables, digestivement acceptables pour les masses.

Énergie fossile pour ratés, elle produira à l'usage de ces derniers un carburant à grandes phraÂases, à jolizimages épinalesques nécessaires au fonctionnement de leur immobilité perpétuelle et remplira leurs encriers d'une mélasse enluminée grâce à laquelle il pratiqueront le sport national : l'admiration béate farcie à la sotte nostalgie.

L'historien est une figure triste, un chevalier de mansarde, un conquistador de faculté, un maréchal de chaire ; son vit est dur et ferme, toujours en avance d'une bandaison admirative, mais sa main molle pendouille sans but et sans vigueur.

Et je reste poli.

L'histoire c'est pas que du roman national.
Tu confonds la matière de l'histoire qui considère à essayer de comprendre le passe dans toute sa complexité, quitte à lire des choses peu agréables, qui ne vont pas dans notre sens ; et le besoin d'imbécile d'un mythe, de légende pour se rassurer dans sa médiocrité.
Ce n'est pas la même chose.

DickLover
2021-07-30 23:23:12

Barry Lyndon :bave:

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