[ALERTE] Attention aux manifs
IciAndNow
2021-07-31 10:31:22
Hitler est monté au pouvoir à cause de la colère du peuple envers l'élite.
L'histoire se répète. Tout est prévu depuis le début de la crise du covid pour faire craquer le peuple et le rendre violent/en colère. Par la colère nous ne prenons pas les bonnes décisions, la colère donnera une excuse à l'élite pour instaurer leur ordre par la force après notre chaos.
Macron avait dit que nous étions en guerre, en guerre contre le peuple.
Attention au piège.
TarteDeSmegma
2021-07-31 10:32:55
Justement c'est un hitler 2.0 qu'il nous faut
Si on le fait pas on va ce re taper un énième gaucho
RebeuPatriote2
2021-07-31 10:34:52
Yaura rien, le citoyen lambda préfère accepter les pires horreurs et la soumission que d'être exclu du groupe.
L'animal domestique prefere mourir confortablement que vivre inconfortablement.
Être exclu du groupe, ça a toujours été une condamnation à mort : comment survivre seul, sans l'appui, l'organisation et la solidarité du groupe, aux rigueurs de l'hiver ? Sade avait raison, tout marche finalement à la terreur, n'importe quel parent qui éduque son enfant se contente de lui faire peur. Le dresseur gagne parce qu'il terrorise.
IciAndNow
2021-07-31 10:35:27
Le soucis c'est que le "Hitler 2.0" sera forcément du côté de l'élite.
dyhrnaw
2021-07-31 10:36:23
je suis à paris et y a personne bien votre bide les antivaxhttps://image.noelshack.com/fichiers/2021/20/7/1621768228-1525860147-gobelin.png
TarteDeSmegma
2021-07-31 10:37:05
Le 31 juillet 2021 à 10:35:27 :
Le soucis c'est que le "Hitler 2.0" sera forcément du côté de l'élite.
Non pas forcement, bon après vu comment les Français choisissent leur président c'est fort possible
TarteDeSmegma
2021-07-31 10:38:22
Le 31 juillet 2021 à 10:36:23 :
je suis à paris et y a personne bien votre bide les antivaxhttps://image.noelshack.com/fichiers/2021/20/7/1621768228-1525860147-gobelin.png
T'es content a spam ta merde sur tout les topic ?
Gelestaing
2021-07-31 10:38:36
L'op, est-ce qu'Hitler imposait un QR code à ses citoyens ?
IciAndNow
2021-07-31 10:40:21
Exemple, un mec comme Philippot, sorti de nul part qui samedi dernier fini par parler devant 80000 personnes.
Quand je dis que ce sera forcément un "Hitler"pour l'élite, je veux dire que malgré lui ou pas, conscient d'être une marionnette ou non, comme Philippot, ce pantin intègre dans tous les cas l'agenda de l'élite. Un simple outil, qui lèvera les foules, créera le chaos et tout ce qui suit un chaos.
Et l'élite a besoin d'un gros chaos pour instaurer un nouvel ordre. "Ordo ab chaos"
TheDeboiteur
2021-07-31 10:50:08
Le 31 juillet 2021 à 10:36:23 :
je suis à paris et y a personne bien votre bide les antivaxhttps://image.noelshack.com/fichiers/2021/20/7/1621768228-1525860147-gobelin.png
Il est même pas 11h en même temps.... Quel schlague celui là
Troglonaute145
2021-07-31 10:51:49
Qd chaque préfecture qui aura pris des mesures de salope sera ((sollicitée)) +manif partout+ blocages le tyran va chier mou
Troglonaute145
2021-07-31 10:52:10
Le 31 juillet 2021 à 10:50:08 :
Le 31 juillet 2021 à 10:36:23 :
je suis à paris et y a personne bien votre bide les antivaxhttps://image.noelshack.com/fichiers/2021/20/7/1621768228-1525860147-gobelin.png
Il est même pas 11h en même temps.... Quel schlague celui là
Attends 14 15h
cesarjvc11
2021-07-31 10:52:41
C'est pour ça qu'il faut le RIC ou rien
AstroFender
2021-07-31 10:53:06
"Dans mon commerce journalier avec mes camarades travailleurs, j’avais déjà remarqué avec quelle étonnante facilité ils changeaient d’opinion sur la même question, parfois en quelques jours, souvent même en quelques heures. Il m’était difficile de comprendre comment des hommes qui avaient toujours des idées raisonnables, quand on leur parlait en tête-à-tête, les perdaient d’un coup sitôt qu’ils retombaient sous la domination de la masse. Cela me mettait souvent au désespoir. Quand j’étais persuadé, après les avoir chapitrés pendant des heures, que cette fois j’avais brisé la glace ou les avais éclairés sur l’absurdité d’un préjugé, et que je me réjouissais de mon succès, je m’apercevais le lendemain avec douleur qu’il me fallait recommencer par le commencement ; tous mes efforts avaient été vains. Comme un pendule en son perpétuel balancement, leurs opinions absurdes étaient encorerevenues au point de départ.
Je pouvais comprendre bien des choses. Quand ils n’étaient pas satisfaits de leur sort, quand ils maudissaient le destin qui les frappait souvent si durement, quand ils haïssaient les patrons qui leur semblaient les exécuteurs brutaux de leur cruelle destinée, ou bien quand ils couvraient d’injures les autorités qui, à leur avis, n’avaient aucune compassion pour leur situation ; quand ils manifestaient contre les prix des vivres et défilaient dans la rue pour défendre leurs revendications, tout cela je pouvais encore le comprendre sans mettre leur raison en cause. Mais ce qui restait pour moi incompréhensible, c’était la haine sans limites qu’ils manifestaient à l’égard de leur propre peuple, avec laquelle ils dénigraient tout ce qui faisait sa grandeur, salissaient son histoire et traînaient ses grands hommes dans la boue.
Cette hostilité contre leur propre espèce, leur propre nid, leur propre pays natal était aussi absurde qu’incompréhensible. Elle était contraire à la nature.
On pouvait guérir passagèrement ces gens dévoyés, mais seulement pour quelques jours, tout au plus pour quelques semaines. Et quand on rencontrait ensuite celui qu’on pensait avoir converti, il était redevenu tel qu’autrefois.
Il était retombé dans son état contre nature."
La suite direct de ce texte dans le spoilhttps://image.noelshack.com/fichiers/2021/18/7/1620572127-jesus-barbe-serein.png
"Je m’aperçus peu à peu que la presse social-démocrate était surtout dirigée par des J ; mais je n’attribuai aucune signification particulière à ce fait, puisqu’il en était de même pour les autres journaux. Une seule chose pouvait peut-être attirer l’attention ; il n’y avait pas une seule feuille comptant des J parmi ses rédacteurs qu’on pût considérer comme vraiment nationale au sens que mon éducation et mes convictions me faisaient donner à ce mot.
Je fis un effort sur moi-même et tentai de lire les productions de la presse marxiste, mais la répulsion qu’elles m’inspiraient finit par devenir si forte que je cherchai à mieux connaître ceux qui fabriquaient cette collection de canailleries.
C’étaient tous sans exception, à commencer par les éditeurs, des J.
Je pris en main toutes les brochures social-démocrates que je pus me procurer et cherchai les signataires : des J. Je notai le nom de presque tous les chefs : c’étaient également en énorme majorité des membres du « peuple élu », qu’il fût question de députés au Reichsrat ou de secrétaires des syndicats, de présidents des organismes du parti ou des agitateurs de la rue. C’était toujours le même tableau peu rassurant. Je n’oublierai jamais les noms des Austerlitz, David, Adler, Ellenbogen, etc.
Il devint alors clair pour moi que le parti, dont les simples comparses étaient mes adversaires depuis des mois du plus violent combat, se trouvait presque exclusivement, par ses chefs, dans les mains d’un peuple étranger ; car un J n’est pas un Allemand, je le savais définitivement pour le repos de mon esprit.
Je connaissais enfin le mauvais génie de notre peuple.
Une seule année à Vienne m’avait convaincu qu’il n’y a pas d’ouvrier si enraciné dans ses préjugés, qui ne rende les armes devant des connaissances plus justes et des explications plus claires. Je m’étais peu à peu mis au fait de leur propre doctrine et elle était devenue mon arme dans le combat que je menais pour mes convictions.
Presque toujours la victoire me restait.
Il fallait sauver la grande masse, même au prix des plus lourds sacrifices de temps et de patience.
Mais jamais je ne pus délivrer un J de sa façon de voir.
J’étais alors encore assez naïf pour vouloir les éclairer sur l’absurdité de leur doctrine ; dans mon petit cercle, je parlais à en avoir la langue écorchée et la gorge enrouée, et je m’imaginais que je parviendrais à les convaincre du danger des folies marxistes. J’obtenais le résultat opposé. Il semblait que les effets désastreux, fruit évident des théories social-démocrates et de leur application, ne servaient qu’à renforcer leur détermination.
Plus je discutais avec eux, mieux j’apprenais à connaître leur dialectique. Ils comptaient d’abord sur la sottise de leur adversaire et, quand ils ne trouvaient plus d’échappatoire, ils se donnaient à eux-mêmes l’air d’être des sots. Était-ce sans effet, ils ne comprenaient plus ou, mis au pied du mur, ils passaient d’un bond sur un autre terrain ; ils mettaient en ligne des truismes dont, sitôt admis, ils tiraient argument pour des questions entièrement différentes ; les acculait-on encore, ils vous glissaient des mains et on ne pouvait leur arracher de réponse précise. Quand on voulait saisir un de ces apôtres, la main ne prenait qu’une matière visqueuse et gluante qui vous filait entre les doigts pour se reformer le moment d’après. Si l’on portait à l’un d’entre eux un coup si décisif qu’il ne pouvait, en présence des assistants, que se ranger à votre avis et quand on croyait avoir au moins fait un pas en avant, on se trouvait bien étonné le jour suivant. Le J ne savait plus du tout ce qui s’était passé la veille ; il recommençait à divaguer comme auparavant, comme si de rien n’était, et lorsque, indigné, on le sommait de s’expliquer, il feignait l’étonnement, ne se souvenait absolument de rien, sinon qu’il avait déjà prouvé la veille le bien-fondé de ses dires.
J’en demeurai souvent pétrifié.
On ne savait pas ce qu’on devait le plus admirer : l’abondance de leur verbiage ou leur art du mensonge.
Je finis par les haïr.
Tout cela avait son bon côté : à mesure que je connaissais mieux les chefs, ou du moins les propagandistes de la social-démocratie, mon peuple me devenait plus cher. Qui aurait pu, en présence de l’habileté diabolique de ces séducteurs, maudire les malheureux qui en étaient victimes ? Quelle peine n’avais-je pas moi-même à triompher de la dialectique perfide de cette race ! Et combien vaine était une pareille victoire avec des hommes dont la bouche déforme la vérité, niant carrément le mot qu’elle vient de prononcer, pour s’en prévaloir dans la minute suivante.
Non, plus j’apprenais à connaître les J, et plus j’étais porté à excuser les ouvriers."https://image.noelshack.com/fichiers/2021/03/6/1611395018-1609595374-laddbent-oups.pngLe Vilain Hitler , 1925https://image.noelshack.com/fichiers/2021/18/7/1620572127-jesus-barbe-serein.png
Wired_RFID
2021-07-31 10:54:35
la colère donnera une excuse à l'élite pour instaurer leur ordre par la force après notre chaos.
c'est déjà fait, ils ont jamais eu besoin d'excuse pour foutre des policiers facho partout