DesDemain
2021-07-23 18:18:58
Le 23 juillet 2021 à 18:17:19 TransformersFan a écrit :
Le 23 juillet 2021 à 18:16:06 :
Le 23 juillet 2021 à 18:14:00 TransformersFan a écrit :
C'est bizarre je trouve pas de sources sur Libéhttps://image.noelshack.com/fichiers/2021/29/1/1626705300-risitas-golem.png
L'objectif ne serait-il pas de donner de fausses infos pou inciter à la vaccination ?https://image.noelshack.com/fichiers/2021/53/7/1609714002-golemzoom.png
Si c'est le cas ->https://image.noelshack.com/fichiers/2020/50/7/1607882602-risitas-golem.png
https://www.liberation.fr/politique/variant-delta-vous-reprendrez-une-dose-de-restrictions-20210721_HDFM75LBY5AVFBSC435PRHUZTM/?redirected=1
Ah au temps pour moihttps://image.noelshack.com/fichiers/2021/03/7/1611492741-ahi-gros.png
Il dit quoi l'article ? c'est payant et je vais certainement pas donner du fric à Libéhttps://image.noelshack.com/fichiers/2021/03/7/1611492741-ahi-gros.png
Vaccination obligatoire, couvre-feux localisés, retour du masque en extérieur... Toutes les pistes sont désormais étudiées par l'exécutif.
Et si le discours en forme d'électrochoc prononcé par Emmanuel Macron le 12 juillet n'était que la partie émergée de l'iceberg ? Alors que le Parlement débat toute la semaine du projet de loi instaurant la vaccination obligatoire pour les soignants et l'extension du pass sanitaire, les pontes de la macronie ont accordé leurs violons en ce début de semaine pour alerter comme jamais sur la dangerosité du variant delta.
Jean Castex a d'ailleurs prévu de s'exprimer ce mercredi au JT de 13 heures de TF1 à l'issue du Conseil de défense sanitaire, un acte de dramaturgie digne des trois premières vagues. Le Premier ministre pourrait même annoncer de nouvelles mesures locales, telles que le retour du port du masque en extérieur dans les départements côtiers qui se préparent à un afflux de vacanciers, comme dans les Pyrénées-Orientales (où les restaurants et bars doivent fermer à 23 heures) et dans 45 communes de Charente-Maritime.
«Des moments difficiles attendent notre pays», a prévenu Castex mardi devant les députés LREM. La faute, donc, à la contagiosité monstrueuse du variant delta, qui se répand comme une traînée de poudre sur le territoire. «Nous constatons une quatrième vague plus rapide, une pente plus raide que toutes les précédentes», a alerté le porte-parole du gouvernement, Gabriel Attal.
TRAITEMENT DE CHOC Les mesures en discussion à l'Assemblée nationale ne pourraient donc être qu'un prélude au traitement de choc que le gouvernement envisagerait dans les semaines à venir si la courbe des contaminations ne se casse pas très rapidement. La vaccination obligatoire pour toute la population? Tentante, mais risquée juridiquement. Certains responsables de la majorité préfèrent dire qu'elle pourrait être étendue à tout un tas de nouvelles professions. Le secrétaire d'Etat aux Affaires européennes, Clément Beaune, a quant à lui évoqué clairement le retour du couvre-feu dans certaines zones : «C'est une possibilité, ça n'est pas exclu.» L'entourage du ministre de la Santé, Olivier Véran, élude : «On réfléchit à des mesures de freinage et à un meilleur respect de la distanciation sociale face à la progression du variant», avant de préciser qu'«aujourd'hui, ces mesures sont localisées». Pas de quoi rassurer lorsqu'on sait que depuis un an, la multiplication de restrictions territoriales a toujours été le prélude de leurs applications dans tout le pays.
FRACTURE SANITAIRE «C'est évitable uniquement si les gens se bougent le cul», prévient un député LREM. «Se bouger le cul», c'est se faire vacciner, seule arme de protection contre le variant delta. Le gouvernement, sur la base des données scientifiques, estime qu'il faudrait qu'entre 80 et 90 % de la population aient reçu ses doses pour constituer un rempart efficace à cette souche de la maladie. Surtout - et c'est là le pire scénario - pour éviter qu'elle ne mute en variant plus dangereux encore, qui s'attaque même aux moins vulnérables. La crainte est que la vague épidémique emporte tout et que la couverture vaccinale ne soit pas suffisante pour l'endiguer. Les deux priorités de l'été sont donc de faciliter l'accès à la vaccination pour tous (doses en quantité suffisante, prise de rendez-vous facile ), et mettre en place de manière efficace le pass sanitaire dès ce mercredi pour les lieux de loisirs.
De ce point de vue là, alors que certains craignaient encore récemment une fracture de la société entre vaccinés et non vaccinés, le gouvernement semble prêt à prendre le risque et même à creuser le gouffre. Olivier Véran luimême a lâché mardi lors d'une audition devant la commission des lois: «Ce n'est pas le pass sanitaire ou la liberté. C'est le pass sanitaire ou le confinement.» Dit encore plus clairement par le conseiller d'un ministre de premier plan : «On va mettre en place un confinement de fait pour les personnes qui ne se sont pas fait vacciner en limitant l'accès à tout un tas d'endroits. On ne peut pas les forcer à rester chez eux mais on ne va pas non plus pénaliser les Français qui ont envie d'emmener leur gamin à l'aquarium de La Rochelle. Donc ça va être primauté aux vaccinés et vie de merde pour les non vaccinés.» Illustration pour l'exemple: Olivier Véran a annoncé que les vaccinés n'auraient plus à se déclarer cas contact lorsqu'ils ont approché une personne positive au Covid. Le but : pousser les réticents à rejoindre le camp des protégés, bref tout mettre en oeuvre pour éviter le pire. «Surtout que si on ressort des couvre-feux et autres confinements, on est sûrs de tout perdre, et la présidentielle avec. Ce serait suicidaire», s'enflamme un conseiller qui ne perd pas le nord au milieu des icebergs.
«Ça va être primauté aux vaccinés et vie de merde pour les non-vaccinés.» Le conseiller d'un ministre
MerlanArcEnCiel
2021-07-23 18:29:32
C'est ni plus ni moins de la non-vaccinophobie, il me semblait que la discrimination était illégale
Pendant qu'on assiste à une guerre vaccinés vs antivax on oublie qu'on perd toutes les semaines des quartiers de France, où des gens qui y vivent font du commerce illégal, ont des armes à feu, etc, le vrai danger il est là.