alegense
2021-07-19 13:33:30
C'est bien les probabilités conditionnelles mais faut les faire jusqu'au bout.
Alors que la probabilité de se faire vacciner est de 100% dans tes exemples;
Tu oublies que la probabilité d'attraper le virus n'est pas de 100%.
De plus la probabilité d'avoir une comorbidité n'est pas non plus de 100%.
La probabilité d'avoir d'avoir l'âge moyen (82ans) des personnes décédées n'est pas non plus de 100%.
C'est pourquoi selon les tranches d'âge ou ton état de santé le bénéfice/risque n'est pas le même.
Et je parle même pas de la probabilité de se faire soigné avec de l'ivermectine qui baisse les risques de 4 à 5, non pris en compte dans tes calculs. (L'ivermectine a été validé par l'institut pasteur récemment)
Imagine que le vaccin tue 100% des gens qui auraient eu des cas graves, c'est pas parce que ceux qui ont survécu au vaccin n'ont plus de cas grave que ceci prouve pour autant que le vaccin est efficace. Il est même fort probable que ceux qui font des réactions fortes à la protéine spike du vaccin, le ferait aussi avec la protéine spike du vrai virus.
Voila une référence sur le bénéfice risque pour les moins de 18ans (et ça ne prend pas en compte toutes mes remarques précédentes spécifiquement l'ivermectine, ou les chance de l'attraper, multiplie ces résultats par ta situation personnelle et tu verras de quel coté penche la balance, et je rappelle que la proportion de personnes de plus de 65ans est faible comparé à la proportion des moins de 65ans):
https://colab.research.google.com/drive/1Evb5PEDL8ZqkODvJSDifNXF14ePnwOfJ
Je cite la conclusion:
Le pourcentage du risque de développer un effet grave en cas d'effet secondaire du vaccin est de 76% pour les 12-17 ans. Cet effet grave correspond le plus fréquemment à la myocardite;
la balance bénéfice /risque de l'injection vaccinale chez les plus de 65 ans est favorable au regard de la létalité du Covid19;
cette balance est quasi nulle pour les classes d'âge de 18 à 65 ans;
elle est clairement très défavorable pour les classes d'âges inférieures à 18 ans : la létalité du vaccin est 200 fois plus grande que celle du Covid19 chez les 12-17 ans et plus de 230 fois plus grande pour les enfants âgés de moins de 12 ans.
Donc non le problème est bien plus complexe que ce que tu montres dans ta vidéo.
Sur la phrase qui suit je ne sais pas mais , l'immunité collective n'existe peut être même pas pour ce virus comme le montre des pays vaccinés à plus de 90% qui ont quand même une reprise à cause des variants. De plus la vaccination peut aussi faire apparaitre des variants en mettant une pression sur le virus...
D'où la liberté de choix, pour chacun, on empêche ni de ce faire vacciner ni de pas ce faire... La liberté doit resté la seul solution avec ce genre de résultat.
Et pour ceux qui me ferait la leçon sur le bien collectif je rappelle ceci :
Sur le plan européen, la Convention d’Oviedo signée en 1997 promulgue que : « l'intérêt et le bien de l'être humain doivent prévaloir sur le seul intérêt de la société ou de la science. »
Ainsi les lois d’obligations vaccinales françaises sont en réalité obsolètes comme le démontre l’arrêté Salvetti du 9 juillet 2002 : « En vertu de l'affaire Salvetti, il ne saurait y avoir le moindre acte médical obligatoire dans aucun pays d'Europe. L'arrêté de la Cour Européenne des Droits de l'Homme, section I du 9 juillet 2002, requête n° 42197/98, fait jurisprudence. »
La loi Kouchner du 4 mars 2002 précise que : « Aucun acte médical ni aucun traitement ne peut être pratiqué sans le consentement libre et éclairé de la personne »
De plus, l'article R 4127-36 du Code de la Santé Publique précise que « Le médecin doit en outre obtenir dans tous les cas, le consentement du patient avant toute intervention. »
C'est pourquoi les lois d’obligation vaccinale constituent une atteinte à l’intégrité physique et violent tous les textes qui garantissent les libertés fondamentales :
La Déclaration des droits de l’homme et du citoyen/Les lois d’obligation sont anticonstitutionnelle (26 août 1789 et 10 décembre 1948)
La Convention européenne des droits de l’homme (4 novembre 1950)
La Constitution française (4 novembre 1958)
La résolution 36-55 de l’ONU (25 novembre 1981)
La loi sur le respect du corps humain insérée dans le Code Civil, Art. 16-1 et suivants (29 juillet 1994)
La loi Barnier sur le principe de précaution (2 février 1995)
Le Code de déontologie médicale inséré dans le Code de la santé publique, art. R 4127-2 et R 4127-36 (6 septembre 1995)
La charte des droits fondamentaux de l’Union Européenne (18 décembre 2000, art. 3)
La loi Kouchner insérée dans le code de la santé publique, Art. L 1111-4 (4 mars 2002)
Article L1110-5 Loi n°2002-303 du 4 mars 2002 - art. 3 JORF 5 mars 2002
Toute personne a, compte tenu de son état de santé et de l'urgence des interventions que celui-ci requiert, le droit de recevoir les soins les plus appropriés et de bénéficier des thérapeutiques dont l'efficacité est reconnue et qui garantissent la meilleure sécurité sanitaire au regard des connaissances médicales avérées. Les actes de prévention, d'investigation ou de soins ne doivent pas, en l'état des connaissances médicales, lui faire courir de risques disproportionnés par rapport au bénéfice escompté.
Il est bien écrit avérées et non en cours de test, ou mise sur le marché conditionnel...
cordialement,
Oubliez pas de disposax les provax