Churchist
2021-07-20 14:56:04
Le PATRIARCAT a retardé la sélection naturelle
Nombreuses sont les femmes qui ont eu des enfants avec des moches, qui, sans cette domination masculine. N'auraient jamais été sélectionnés naturellement.
Ces couples ont perpétué les moches. Et étant donné qu'à notre époque. Cette domination se termine enfin.
La sélection naturelle reprends.
Vous êtes et serez l'une des seules générations à avoir du mal à pécho. Parce qu'a terme. Il n'y aura plus réellement de moches.
En gros, les moches qui pechoent pas. Vous existez grâce au patriarcat
Sixprine2Trance
2021-07-20 15:12:48
Le 20 juillet 2021 à 14:56:04 :
Le PATRIARCAT a retardé la sélection naturelle
Nombreuses sont les femmes qui ont eu des enfants avec des moches, qui, sans cette domination masculine. N'auraient jamais été sélectionnés naturellement.
Ces couples ont perpétué les moches. Et étant donné qu'à notre époque. Cette domination se termine enfin.
La sélection naturelle reprends.
Vous êtes et serez l'une des seules générations à avoir du mal à pécho. Parce qu'a terme. Il n'y aura plus réellement de moches.
En gros, les moches qui pechoent pas. Vous existez grâce au patriarcat
Tout est relatif Branlotin. Si tout le monde devient "beau" il y aura toujours des moins beaux et des plus beaux.
De plus le chromosome y, provoque plus de mutations (délétères ou non) pour les hommes afin justement qu'il puisse y avoir une sélection par les femmes des gènes le mieux adapté pour un environnement donné.
(4 fois plus d'autisme chez les hommes, beaucoup plus de très haut QI et de très bas QI chez les hommes, là ou les femmes oscille en étant plus proche de la moyenne ... )
Ensuite si les hommes et les femmes sont différents ce n'est pas à cause du "patriarcat". À moins qu'il existe un dieu suprême à barbe blanche qu'on nommera au pif "notre père"
De plus nous avons 3 fois plus d'ancêtres femmes que d'hommes:
https://www.santenatureinnovation.com/nous-avons-3-fois-plus-de-grand-meres-que-de-grands-peres/
Pauvre cachalot
Chez les mammifères, c’est une règle générale.
Le mâle le plus gros, le plus fort, le plus agressif, a le privilège de se reproduire. Les autres, tant pis pour eux.
Les cachalots peuvent former des groupes de mâles célibataires qui errent dans les océans, privés à jamais d’espoir de descendance !
À l’inverse, il n’existe pas de femelle seule, dont personne ne veut. Même celle qui est moins bien que les autres trouvera toujours un mâle qui acceptera de se reproduire avec elle, si elle est féconde.
Quelles sont les conséquences de ce phénomène ?
Des conséquences très concrètes sur la psychologie des hommes, qui pourraient expliquer certaines choses sur leur santé.
Ces hommes qui raflent la mise
Peut-on faire un lien avec le fait qu’une minorité d’hommes « rafle la mise », dans tous les domaines, à commencer par celui des femmes et de l’amour, laissant d’autres hommes exposés à un plus grand risque de solitude et de détresse ?
C’est une idée à laquelle je réfléchis souvent en ce moment.
D’un côté, il y aurait les hommes qui récoltent tous les succès : présidents, champions, artistes, millionnaires, dirigeants, etc. La société serait outrageusement biaisée en faveur de ces hommes. Et tous les yeux sont rivés sur eux.
Mais à l’autre extrême, et symétriquement, il y aurait les alcooliques, les SDF, les prisonniers, les suicidés, en très grande majorité des hommes aussi. Comme si les hommes payaient leurs chances supérieures de réussir par un risque plus grand d’échec total.
Je ne sais pas si c’est une loi de la Nature. Je note en tout cas que, de ce point de vue, la société moderne continue à présenter d’étranges similitudes avec le mode de vie archaïque.
Cela peut-il changer ? Peut-on rêver que les hommes et les femmes soient un jour sur un pied d’égalité ? Ou doit-on se résigner à ce que chacun ait ses avantages et ses inconvénients ?
Peut-on espérer une société où tout le monde aurait la chance de devenir « heureux, riche et célèbre » sans risque, en contrepartie, d’échouer ?
En tout cas, même si nous nous améliorons petit à petit, il me paraît utile de se souvenir que la Nature, elle, ne fait pas de cadeaux à tout le monde.