Lors d'une vaccination à l'ancienne (type Jenner en 1796), l'immunité surgit forcément puisque on a forcé le corps à se faire injecter un poison (du pus infecté). Il est donc évident que le corps se soigne et produit des anticorps visant à se prémunir contre une nouvelle arrivée de ce poison. Le problème c'est que lorsqu'on sur-spécialise notre système immunitaire contre une maladie, on l'amoindrit pour toutes les autres pathologies...
En réalité, la maladie n'est pas le problème premier. Mais pour ça, il faut lire Béchamp, Claude Bernard, Hippocrate..etc.
"Le microbe n'est rien, le terrain est tout" C. Bernard.
La maladie surgit uniquement lorsqu'il y a un déséquilibre du terrain (manque de vitamine C, manque d'ensoleillement, manque d'activité physique, promiscuité, pas d'assainissement/aération... etc). Autant de facteurs très présents au XIXe qui favorisaient les épidémies.
Quand un tas d'ordure attirent les mouches, inutile de tuer les mouches, il suffit de supprimer le tas d'ordures. C'est pareil avec les maladies, c'est le terrain qui doit être changer, il est inutile de s'attaquer aux symptômes. Il n'existe aucun lien entre vaccination et éradication des épidémies et c'est pas les courbe faussés des vendeurs de vaccins qui me fera changer d'avis.
Le paradigme de la théorie pasteurienne est faux. Il n'y a pas de "guerre bactériologique". Par contre, la médecine marchande adore cette théorie puisqu'elle légitime le fait "maladie = médicament (=marchandise)".
Mais bon, je sais bien que se remettre en question, revoir ses croyances fausses ne fait pas partie du logiciel de pensée des provax.