La balance bénéfice/risque est LARGEMENT en faveur du vaccin.

KheyIssou1
2021-07-15 14:53:46

Vous pouvez trouver la source ici : https://qcovid.org/Calculation

En-dessous de 30 ans, sans comorbidités, le risque d'aller en réanimation est d'environ 1/10 000 à cause de la maladie à coronavirus 19.

C'est très largement supérieur au risque de réanimation causée par le vaccin; à ce sujet les sources sont si peu nombreuses que l'on pourrait même supposer que le risque est de zéro, après des milliards de doses injectées à travers le monde.

KheyIssou1
2021-07-15 14:56:18

Up.

YourNameMS
2021-07-15 15:00:29

Les antivaxs sont pas honnête on le sait déjàhttps://image.noelshack.com/fichiers/2017/22/1496407702-hata-no-kokoro-drink.png

Wrongrisson
2021-07-15 15:01:15

Une chance sur 10000 d'aller en réanimation et tu veux nous convaincre de nous faire injecter ton poison ? T'es con ou quoi ?

GianniMosconTDF
2021-07-15 15:01:52

https://image.noelshack.com/fichiers/2021/28/4/1626342824-bg.png

Rotoor
2021-07-15 15:02:03

1/10000 pour les moins de 30 ans en bonne santé ca me paraît déjà beaucoup j'aimerais voir leurs sources. :(

Napoliss4
2021-07-15 15:02:33

Les 10 plus gros scandales de la médecine moderne

- Les vaccins contre l'hépatite B
En 1994, la France lance une vaste campagne de vaccination contre l’hépatite B, infection du foie pouvant être mortelle. Cette vaccination massive a déclenché des maladies neurologiques telles que la sclérose en plaques,

- L’Isoméride
Mis sur le marché en 1985 pour lutter contre l’obésité, ce coupe-faim « miracle », commercialisé par les laboratoires Servier jusqu’en 1997 et auquel plus de 5 millions de Français ont eu recours, fut la cause de complications pulmonaires gravissimes.

- Le Lomidine
Pour lutter contre la maladie du sommeil (trypanosomiase africaine), une campagne d’injections préventives obligatoires a été menée dans les années 1940-1950 dans les colonies d’Afrique française et du Congo belge, jusqu’à ce que son efficacité soit mise en doute et sa dangerosité démontrée.

- Le Vioxx
Anti-inflammatoire prescrit pour les douleurs liées aux maladies articulaires, le Vioxx aurait, selon la FDA (l’agence de régulation américaine des médicaments), provoqué 160 000 crises cardiaques et attaques cérébrales et au moins 26 000 décès, rien qu’aux États-Unis.

- Le Médiator
Le Mediator est un traitement contre le diabète utilisé comme coupe-faim. Son principe actif, le benfluorex a été commercialisé en France entre 1976 et 2009. Il s’agit d’un anorexigène, autorisé alors en complément d’un régime réservé aux personnes diabétiques en surcharge pondérale.

Selon les études commandées par l’Afssaps (aujourd'hui ansm), le Mediator aurait provoqué entre 500 et 2000 décès, entraînés par des maladies cardiaques.

- L’affaire du sang contaminé
En 1991, on découvre que le Centre national de transfusion sanguine distribue aux hémophiles des lots de sang potentiellement contaminé par le virus du sida.

300 hémophiles et 270 transfusés auraient alors contracté le VIH. La contamination date des années 1983-85.

- L’affaire des hormones de croissance
Entre 1983 et 1985, 1698 enfants en insuffisance hormonale ont reçu un traitement destiné à favoriser leur croissance.

Après ouverture d’une enquête à la suite d’une plainte, on découvre que l’hormone de croissance utilisée a été prélevée dans des conditions dangereuses sur des cadavres dont certains étaient infectés par la maladie neurologique de Creutzfeldt-Jakob

- Le Distilbène
Le diéthylstilbestrol, principe actif du Distilbène, est un œstrogène de synthèse, découvert en 1938. On l’a prescrit aux femmes enceintes pour prévenir les fausses couches et les risques de prématurité et traiter les hémorragies de la grossesse, dès le début des années 1950.

En 1971, la molécule est retirée des marchés nord-américains, en raison de nombreux cas de cancers de l’appareil génital, observés chez les jeunes femmes dont la mère avait pris ce traitement durant la grossesse.

Il faudra attendre 1977 pour qu’il soit contre-indiqué chez la femme enceinte en France.

- Les prothèses PIP
En 2010, plus de 500 plaintes ont été déposées auprès du procureur de la République de Marseille par des femmes porteuses de prothèses mammaires défectueuses du fabricant Poly Implant Prothèses (PIP), en liquidation judiciaire et visé par une enquête pour une fraude présumée à grande échelle. Le silicone utilisé pour les implants mammaires n’était pas à usage médical, mais industriel, favorisant les fuites.

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