HistoireJo-Wolf
2021-07-12 01:15:53
C'était un mercredi d'août lourd et chaud, la dernière rafle des vacances avant la reprise de poste.
Alors que sa femme Jadielle venait d'arriver, soudain, Le Commissaire s'exclama "commence à te cambrer, je vais te refaire le cul et un deuxième trou. ".
Jadielle et le Commissaire Jo-Wolf échangèrent un regard... un silence aphrodisiaque tomba sur la maisonnée
Le Commissaire, lui; s'avançait vers son destin, il se déboutonna et pénétra d'une telle violence dans l'anus de sa compagne comme lors des trois partages de la Pologne au 18éme siècle
" Je commence à la sentir ", dit Jadielle, mais soudain, elle fut interrompue. De son anus fémnin, des tonnes de foutre s'échappèrent vrombissant dans l'air.
Le Commissaire commençait le travail.
C'est à ce moment que Jadielle s'aperçut que les portes et fenêtres de la maisonnée n'avaient pas été confinées. Mais il était trop tard et déjà les liquides du " Castagneur " emplissaient l'atmosphère. La voisine du dessous perdit immédiatement la vie, noyée dans le Styx du Commissaire.
Dans la chambre, Le Commissaire luttait et crachait, seul, face à son destin tel un héros de tragédie. Les trois années d'abstinence avec le supplément de l'enseignement des moines Shaolin inondant farouchement tout l'appartement puis toute la rue.
éjaculant de plus en plus dans les trous de Jadielle, il sourit, victoire !
Une première vague venait de s'abattre dans tout Bruxelles ainsi que dans le palais royal.
Dans le bureau du Roi, tout le monde s'était précipité sous la table. Tels des poilus dans la tranchée le gouvernement attendait la prochaine déflagration. Le Roi Philippe regardait autour de lui, pensant à une troisième invasion par les allemands. Le Premier Ministre De Croo luttait désespérément de survivre, mais se noya dans les tonnes d'hectolitres de foutre du Commissaire. Di Rupo et De Wever, tétanisés, pleuraient à chaudes larmes pour ne pas mourir noyé. La Princesse Elizabeth était blanche comme un linge, mais pas de peur ou de honte.
Soudain les portes du bureau royal s'ouvrirent : l'aide de camp du Roi et des militaires venaient évacuer Sa Majesté.
Le Roi Philippe savait qu'il serait seul. Il regrettait déjà de ne pas avoir abdiqué en faveur de sa fille et s'être sauvé dans un Thalasso. Il était trop tard désormais.
Mais Sa Majesté fut interrompue dans ses réflexions par une nouvelle vague de foutre qui inonda Bruxelles comme l'Atlantide. Le roi des retour au pays Jo-Wolf n'avait pas fini.
Le Commissaire forçait, agrippé aux fesses de sa concubine Jadielle, il hurlait sous l'effort et le plaisir après une abstinence de trois ans. Il n'entendait pas les cris de terreur autour de lui ni les ordres d'évacuation de Bruxelles. Soudain, son pénis se relâcha entraînant une troisième vague qui vint pulvériser toute la capitale entière.
C'est à ce moment que le Roi Philippe perdit connaissance alors que les vitres du palais royal explosaient.
Dans l'hélicoptère qui l'amenait en sécurité, ses gardes du corps purent observer le chaos en dessous d'eux.
Partout des images de désolation : des passants couraient affolés en tout sens certains convulsant au sol tandis que les sirènes des ambulances retentissaient dans tout ce qui restait de Bruxelles.
Machinalement, le téléphone sonna : Angela Merkel affirmait que ce n'était pas une troisième invasion allemande et proposait son aide, Charles Michel s'exprima en anglais pour affirmer qu'il envoyait 20 avions de l'Union Européenne débordant de matériel de premier secours, le conseil de sécurité de l'ONU voulait organiser une réunion exceptionnelle et Poutine lui même proposait l'aide d'experts de Tchernobyl pour intervenir sur la zone.
Jo, lui, avait fini, après s'être essuyé et lavé les mains il se sentit soulagé mais il avait presque une autre petite envie.
« Pourquoi pas frapper un immigrant, ô belle Jadielle ? »