Patocka
2021-06-29 18:51:09
Inspiré par un khey qui avait écrit un pavé en singeant Houellebecq je m'y suis aussi essayé car je suis un chômeurhttps://image.noelshack.com/fichiers/2018/29/6/1532128784-risitas33.png
J'ai oublié le pseudo du khey qui l'avait fait mais il avait bien saisit la plume de Houellebecq
j'attends les retours/conseils des kheys écrivains et autres littéraires
Je sais que y'en a énormément sur le fofo
J'ai essayé de faire une analyse sociologique un peu foireuse dont Houellebecq a le secrethttps://image.noelshack.com/fichiers/2018/29/6/1532128784-risitas33.png
Patocka
2021-06-29 18:57:23
Le texte :
Les jeunes maghrébins sont tout à fait insupportables.
Haineux, lâches, et agressifs, ils se déplacent systématiquement en bandes ;
Maltraitant les quelques babtous dociles qui se seraient perdus dans leurs banlieues sinistres.
Provocateurs et insistants, ces emmerdeurs idiots sont unanimement détestés, bien que peu osent l’avouer : de peur que reconnaître cette réalité les astreignent définitivement au statut de racistes nauséabonds.
La problématique de la jeunesse franco-maghrébine ; à la fois niée par la gauche victimaire et fantasmée par la droite conservatrice, est en réalité un phénomène qui s’explique assez aisément.
Bien loin d’incarner les jeunes ingénieurs et biophysiciens promis par la gauche, mais tout aussi loin de constituer les organisations terroristes sophistiquées imaginées par certains droitards, les jeunes racailles sont en réalité « victimes » d’un double-rejet.
Un rejet identitaire d’une part.
L’abandon par les gouvernements français successifs des processus d’assimilation, couplé à l’idéologie victimaire de Sos-racisme, a fait naître en eux une haine de la France tout à fait inédite et justifiée.
Cette haine fondatrice les a fait se réfugier dans la culture jadis abandonnée par leurs parents.
Mais, ayant totalement intégrés les mœurs occidentaux et bredouillant à peines quelques mots d’arabes approximatifs, ils se voient traiter de « Français » par leurs chers confrères lors de leurs rares retours au bled.
Ils finissent généralement écœurés par l’absence total de développement et l’effroyable insalubrité de leurs pays d’origine respectifs ( Ils s’avouent alors ne jamais vouloir retourner dans ces dépotoirs à ciel ouvert qu’ils vomissent secrètement ).
Cette confusion identitaire, ou plutôt cette absence d’identité, fait des jeunes arabes des individus batards, errant maladroitement, dépourvus d’ancrage civilisationnel.
Complètements déboussolés, on peut observer ces animaux primitifs arborer fièrement le drapeau d’un pays qui les méprise et qu’ils méprisent en retour.
Le second rejet est d’ordre sexuel.
C’est évidemment le plus important : le sexe constituant le seule besoin physiologique primaire qui n’ait pas acquis le statut de droit.
Généralement moches, pauvres et puants, ils se voient éjecter du marché de l’amour, où le libéralisme sexuel n’a cessé de creuser les inégalités déjà existantes.
Hormis quelques exceptionnels rebeu beaux-gosses, qui jouissent de l’hypergamie propre aux lois de ce nouveau marché, et baisent de la bobo gauchiasse à tour de bras, l’écrasante majorité des jeunes immigrés sont englués dans une frustration sexuelle des plus intenses.
Pire encore, ils subissent le supplice de voir leurs sœurs, beurettes exotiques suscitant les fantasmes, se faire tringler par des blancs rencontrés dans des boîtes de nuits devant lesquelles ils se font systématiquement recaler.
Ce double-rejet a fatalement enfanté des êtres d’une violence rare, noyés dans le ressentiment et la rancœur.
Ils se rattrapent alors comme Ils peuvent en goomant du petit blanc ici et là, et en violant quelques femmes dans des caves lugubres.
En outre, Ils leurs arrivent de vanter leur respect de préceptes moraux foireux, vaguement religieux, qu’eux mêmes renient régulièrement bien volontiers.
Ce substrat de valeurs communes apparait comme un ultime moyen de se soustraire au double-rejet qui les ronge.