capitaineread
2021-06-03 09:15:45
Je deviens fou,
De tous ces culs bien moues,
J’ai le cerveau qui vrille,
Et la queue aussi grosse qu’une quille,
A la vue de tous ces tam-tams organiques,
Qui ne demandent qu’à ce qu’on les nique,
Lorsque je sors dans la rue,
Tous ces délicieux beignets m’obstruent la vue,
Cependant, son voisin appelé vagin,
Me rend complètement zinzin,
Tel un somalien, je suis mort de faim,
Qui quémande chaque jour pour manger du pain,
Où que j’aille, mon caleçon s’affole,
À l’odorat de la cyprine de ces folles,
Certes, je déclare mon amour pour la mouille,
Ce liquide dont je me graisserais bien les couilles,
Je ne suis plus un homme, je ne suis plus qu’un chien,
Qui ne demande qu’à téter des seins,
En extraire le lait nourris aux bons nutriments des pâturages,
Et ainsi satisfaire tout joyeusement mon œsophage,
J’ai certes mené mon combat afin d’éviter le trépas,
Mais je ne peux plus accepter de laisser filer toutes ces boites à caca,
C’est ainsi que chers frères je vous déclarâtes :
« Je m’en vais de ce pas me faire une fille de joie ».