EcrivainDeMalte
2021-05-10 17:10:06
Alors, je crois que dans ce cas, il est légitime d'appliquer le principe : "Les suspects ne sont pas sanctionnés en cas de manque de preuves."
Imaginez que l'agression a eu lieu dans la ruelle de petite communauté, à 3h du matin, ville désertée pendant le couvre-feu.
La police a identifié la victime de l'agression qui a fuit le lieu de crime après avoir tabassé l'agresseur, mort suite à l'hémorragie cérébrale. Il est évident que cette grêle de coups, 100aines de coups sur la tête de l'agresseur, est abusé. Mais la police ne saura jamais dans quel état d'esprit était le criminel.
Soit, il était fou de rage, et il était en seconde d'état à tel point qu'il peut ne ressentir aucune douleur
Soit, il était maître de soi,
Mais la police ne saura jamais ça
Dans ce cas, manque de preuves, la victime doit être libérée juste après une interrogatoire qui dure 3 ou 4 heures.
Vous en pensez quoi ?