[Mérignac] MOUNIR BOUTAA, l'homme qui a brûlé vif sa femme CHAHINEZ
il y a encore des gens contre la peine de mort 
Le 05 mai 2021 à 19:50:51 :
il y a encore des gens contre la peine de mort
Pour le coup il faudrait la rétablir pour ce personnage, il devrait se réjouir que l'on ne soit pas au Moyen-âge
"Pressions familiales" 
bah oui sois une bonne femme et retournes chez ton ex qui te battait. Putain cette mentalité me débecte
Le 05 mai 2021 à 19:52:22 Orqobo9 a écrit :
Le 05 mai 2021 à 19:49:51 :
https://image.noelshack.com/fichiers/2021/18/3/1620236593-sans-titre-9-740x367.png
https://image.noelshack.com/fichiers/2021/18/3/1620236581-d2197409a057522b88342a156743865d.png Chahinez (31 ans) avait quitté son meurtrier l’année dernière mais elle subissait des pressions familiales pour qu’elle accepte de reprendre la vie commune avec lui.
Après une première enquête, il s’avère que Mounir B, est défavorablement connu des services de police et de l’autorité judiciaire.
L'enfermer se serait stigmatisant. On ne va pas briser ses études, son lien social, sa réinsertion. Ce serait priver Monsieur d'une seconde chance, d'une troisième en l'occurrence. On a tous fait des erreurs, n'est-ce pas ?
Entre nous, qui n'a jamais brûlé une femme après lui avoir tiré dessus ?
La victime ? Quoi la victime ? On ne va pas commencer à dresser les victimes contre les coupables. La première victime, c'est ce pauvre bougre, ce malheureux Mounir . Victime sans doute d'une éducation négligée, d'une famille atomisée, d'une mère alcoolique, d'une fratrie violente, d'un panaris mal soignée ou un problème d'Oedipe. Pour le coup on peut stigmatiser, définir une vision idéale de l'entourage auquel il aurait dû avoir droit, puisqu'il s'agit d'excuser , d'expliquer, de comprendre. Pas de punir, plus maintenant. Les seuls responsables ? La société, vous et moi. C'est sûrement aussi le racisme. Dans son inconscient colonial, notre société a sans doute rejeté et exclu Mounir, lui l'Autre.
c'est magnifique , key 
Le 05 mai 2021 à 19:55:14 :
Le 05 mai 2021 à 19:52:22 Orqobo9 a écrit :
Le 05 mai 2021 à 19:49:51 :
https://image.noelshack.com/fichiers/2021/18/3/1620236593-sans-titre-9-740x367.png
https://image.noelshack.com/fichiers/2021/18/3/1620236581-d2197409a057522b88342a156743865d.png Chahinez (31 ans) avait quitté son meurtrier l’année dernière mais elle subissait des pressions familiales pour qu’elle accepte de reprendre la vie commune avec lui.
Après une première enquête, il s’avère que Mounir B, est défavorablement connu des services de police et de l’autorité judiciaire.
L'enfermer se serait stigmatisant. On ne va pas briser ses études, son lien social, sa réinsertion. Ce serait priver Monsieur d'une seconde chance, d'une troisième en l'occurrence. On a tous fait des erreurs, n'est-ce pas ?
Entre nous, qui n'a jamais brûlé une femme après lui avoir tiré dessus ?
La victime ? Quoi la victime ? On ne va pas commencer à dresser les victimes contre les coupables. La première victime, c'est ce pauvre bougre, ce malheureux Mounir . Victime sans doute d'une éducation négligée, d'une famille atomisée, d'une mère alcoolique, d'une fratrie violente, d'un panaris mal soignée ou un problème d'Oedipe. Pour le coup on peut stigmatiser, définir une vision idéale de l'entourage auquel il aurait dû avoir droit, puisqu'il s'agit d'excuser , d'expliquer, de comprendre. Pas de punir, plus maintenant. Les seuls responsables ? La société, vous et moi. C'est sûrement aussi le racisme. Dans son inconscient colonial, notre société a sans doute rejeté et exclu Mounir, lui l'Autre.c'est magnifique , key
c'est pas de moi
Le 05 mai 2021 à 19:56:05 Orqobo9 a écrit :
Le 05 mai 2021 à 19:55:14 :
Le 05 mai 2021 à 19:52:22 Orqobo9 a écrit :
Le 05 mai 2021 à 19:49:51 :
https://image.noelshack.com/fichiers/2021/18/3/1620236593-sans-titre-9-740x367.png
https://image.noelshack.com/fichiers/2021/18/3/1620236581-d2197409a057522b88342a156743865d.png Chahinez (31 ans) avait quitté son meurtrier l’année dernière mais elle subissait des pressions familiales pour qu’elle accepte de reprendre la vie commune avec lui.
Après une première enquête, il s’avère que Mounir B, est défavorablement connu des services de police et de l’autorité judiciaire.
L'enfermer se serait stigmatisant. On ne va pas briser ses études, son lien social, sa réinsertion. Ce serait priver Monsieur d'une seconde chance, d'une troisième en l'occurrence. On a tous fait des erreurs, n'est-ce pas ?
Entre nous, qui n'a jamais brûlé une femme après lui avoir tiré dessus ?
La victime ? Quoi la victime ? On ne va pas commencer à dresser les victimes contre les coupables. La première victime, c'est ce pauvre bougre, ce malheureux Mounir . Victime sans doute d'une éducation négligée, d'une famille atomisée, d'une mère alcoolique, d'une fratrie violente, d'un panaris mal soignée ou un problème d'Oedipe. Pour le coup on peut stigmatiser, définir une vision idéale de l'entourage auquel il aurait dû avoir droit, puisqu'il s'agit d'excuser , d'expliquer, de comprendre. Pas de punir, plus maintenant. Les seuls responsables ? La société, vous et moi. C'est sûrement aussi le racisme. Dans son inconscient colonial, notre société a sans doute rejeté et exclu Mounir, lui l'Autre.c'est magnifique , key
c'est pas de moi
c'est pas grave
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