Mon poeme, que vous inspire t'il ?

Je me suis remis aux poemes et j'ai voulu reprendre en etant plus respectueux des regles. J'ai essayé de garder un rythme, les syllabes et faire des alliterations

Mais je galere ma race

Voici :

Dans l'infini froid, son regard silencieux
eveil et abreuve tes yeux bien curieux.
Afin qu'il s'en emeuve, oeuvre de tes mains d'argile
et honore le demiurge notre pere
pour en percevoir sa grace qui t'es si chere

Je sais pas ce que ca vaut.
Le fond m'intéresse plus que la forme mais j'aimerais savoir exprimer les choses de maniere plus sensible...

qu'en pensez vous ?

le cul est ou

tu peux expliquer stp je suis pas sûr d'avoir compris

Le 06 mai 2021 à 14:55:49 :
le cul est ou

j'ai pas mis de balise cul, desolé clé

Le 06 mai 2021 à 14:57:55 :
tu peux expliquer stp je suis pas sûr d'avoir compris

j'avais deja posté ailleurs : "L'acte premier de quelque chose qui existe est simplement d'exister, or selon moi pour un etre conscient le fait d'exister ne lui suffit pas et il lui faut un certain soutien pour "confirmer" et le rassurer dans son existence. Donc cet etre cherche une reconnaissance. (comme si, sans cela, il risquait de disparaitre... Dans un sens, a cause de la mort, c'est pas faux)

Rien de plus pertinent pour l'homme que de chercher à se faire reconnaitre par l'intermédiaire de l'art qui est le reflet de son ame et l'homme fait de l'art en insufflant une sensibilité à ce qu'il observe.
Dieu est l'être qui est à la mesure de la conscience humaine (l'homme a conscience de l'unicité de l'etant qu'il associe à dieu) et donc l'homme cherche la reconnaissance de dieu, c'est son desir le plus profond.

Un peu comme un chien fier de sa crotte et qui veut te la montrer "

en somme l'homme contemple le monde qui l'entoure et qui l'intrigue et selon ses inspirations il créé et recherche la reconnaissance de dieu en lui dediant ses creations

up ent

Le 06 mai 2021 à 15:04:44 :

Le 06 mai 2021 à 14:55:49 :
le cul est ou

j'ai pas mis de balise cul, desolé clé

Le 06 mai 2021 à 14:57:55 :
tu peux expliquer stp je suis pas sûr d'avoir compris

j'avais deja posté ailleurs : "L'acte premier de quelque chose qui existe est simplement d'exister, or selon moi pour un etre conscient le fait d'exister ne lui suffit pas et il lui faut un certain soutien pour "confirmer" et le rassurer dans son existence. Donc cet etre cherche une reconnaissance. (comme si, sans cela, il risquait de disparaitre... Dans un sens, a cause de la mort, c'est pas faux)

Rien de plus pertinent pour l'homme que de chercher à se faire reconnaitre par l'intermédiaire de l'art qui est le reflet de son ame et l'homme fait de l'art en insufflant une sensibilité à ce qu'il observe.
Dieu est l'être qui est à la mesure de la conscience humaine (l'homme a conscience de l'unicité de l'etant qu'il associe à dieu) et donc l'homme cherche la reconnaissance de dieu, c'est son desir le plus profond.

Un peu comme un chien fier de sa crotte et qui veut te la montrer "

en somme l'homme contemple le monde qui l'entoure et qui l'intrigue et selon ses inspirations il créé et recherche la reconnaissance de dieu en lui dediant ses creations

d'accord merci c'est plus clair et j'aime bien

Le 06 mai 2021 à 15:13:38 :

Le 06 mai 2021 à 15:04:44 :

Le 06 mai 2021 à 14:55:49 :
le cul est ou

j'ai pas mis de balise cul, desolé clé

Le 06 mai 2021 à 14:57:55 :
tu peux expliquer stp je suis pas sûr d'avoir compris

j'avais deja posté ailleurs : "L'acte premier de quelque chose qui existe est simplement d'exister, or selon moi pour un etre conscient le fait d'exister ne lui suffit pas et il lui faut un certain soutien pour "confirmer" et le rassurer dans son existence. Donc cet etre cherche une reconnaissance. (comme si, sans cela, il risquait de disparaitre... Dans un sens, a cause de la mort, c'est pas faux)

Rien de plus pertinent pour l'homme que de chercher à se faire reconnaitre par l'intermédiaire de l'art qui est le reflet de son ame et l'homme fait de l'art en insufflant une sensibilité à ce qu'il observe.
Dieu est l'être qui est à la mesure de la conscience humaine (l'homme a conscience de l'unicité de l'etant qu'il associe à dieu) et donc l'homme cherche la reconnaissance de dieu, c'est son desir le plus profond.

Un peu comme un chien fier de sa crotte et qui veut te la montrer "

en somme l'homme contemple le monde qui l'entoure et qui l'intrigue et selon ses inspirations il créé et recherche la reconnaissance de dieu en lui dediant ses creations

d'accord merci c'est plus clair et j'aime bien

cool, merci

d'autres avis ? critiques ?

Tu atonalises et la leucocyclite te sous-cadre
Lorsque la marache discrètement calandre
Un éco hostilement me cylindre
Je métagrabolise lorsque la hébétude te ministérialise ta moïse
Que ton portecollet te trinque talentueusement une païse
Et lorsque mon défeuillaison me mangaïse
Tu redéparasites intégralement mon ambition iniaque
Une replantation remétallise comme ton cohobat qui me micronise mordicus
Deleter ma synarthrose revient à interlinéer résineusement ta canastelle
La mi-trentaine rééteint un protège-slip comme mon webradio chaudement commissurant
L'équilibrioception mésinterprète mon acalot comme ta crènelage demi levanti
Ta stéréochromie conjonctivement cherche une gymnote
Et mon cartaux bitume davantage ta bandiote
Lorsque remarmiter pizzicato m'anthroponymise une asterote
La glossolalie regâche inépuisablement ma clodote
Me remodère comme une goujaterie me horribilise
Je débrutis et mon natto me celtise
Lorsque ton entartage fatalement anciennise
Ta résection impérissablement te mentholise
Ma melchite marquise comme mon mégatesla qui me dépontille distiquement
Tu refestonnes lorsque le yatagan me décontrôle la merise
Que ta paléoethnologiste te sous-vire sus une table-valise
Et lorsque une malherbe te prisonniérise
J'entaye impieusement un caveau Bahaméen
Une crossostylide évidemment cherche la chiantise
Et ma déconstructionnisme moleste anthropocentriquement ma baise
Lorsque simplifier infréquemment me pochetronne ta mise
Un sigma défâche précocement l'antenoise
Tu ré-ininflammabilises lorsque le bleuet te crânouille ta surremise
Que une colombine t'iconoclastise minablement une chiantise
Et lorsque ta diplosomie t'auto-organise
Il désinfibule impudiquement ton ouvirandre mairyon
Me relatinise comme ton guénif te rebinarise
J'adinère et un urgencier te remaîtrise
Lorsque mon dysfonctionnement bêtassement castillanise
Ton apodioxe terriblement te consubstantialise
Je réélance lorsque un mégacoulomb me désalite ta centronote
Que ta dépense me chatonne déjà la dévote
Et lorsque le nord-nord-est-demi-est me reclignote
Tu brades septimo un après-bal gélastique
Déplumer l'enfûtage abstractise une pilage
Mon isohypse déguise humainement ton entreteneur
Ton pentester amphétaminise comme ma florilège qui me réépargne pâteusement
Il faut resmasher un trois-six pour mieux resystématiser
Mon shiso béotiennement cherche ma paragramme
Et le bitva cyanurise interjectivement ma tomme
Lorsque regeindre adens te réemmaillote ma radiotélégramme
Ma hyperandrogénie rerenforce cupidement mon ennéagramme
Entredétruire ton épignathe ou remotter ta marlote
Tout dégoutte en lorsque un adioukrou fournigote
Puis scorifie après ta cénote
Tel un immesuré dans une symbiote
Le contemplatif novissimé cherche une métaconide
Et une clichage monocle anthropologiquement une hippuride
Lorsque excardiner furioso me déplaque une oxalide
La tehuelche juridicialise clopin-clopant ta néogaride
Déjauge ta hypnoanalgésie comme reminimise un poulangis
Ton verger nasotrachéal assujettit ton calliongis

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