NiqueJCStaff
2021-04-28 22:30:42
Ô Juan Joya, dont le rire nous transcenda
Ô bel homme, dont l'issou nous rendit fou
Des larmes se languissent de couler sur nos pucelles joues
Comme là, où les enfants, dans la ruelle jouent
Un mur de douleur, dont la truelle boue
Un ocean de malheur, tel un cruel pou...
Lorsque, accompagné de Quintero, je t'ai découvert
Je n'ai su, tel une quinte rauque, maîtriser le rire
Issou pour la vie, le meilleur ou pour le pire
A nos fades vies tu as apporté le couvert
Issou.
repose en paix petit ange.
merci pour tout...