les meufs fuient elles le contact visuel avec les moches-lambdas ?

??

Bonne question faut leur demander

Oui akhy j'en suis temoin

Nn mais elles regarde les moches comme des choses étrange genre un cadavre de pigeon koi

hahaha

Non. Ma mère me regarde dans les yeux. Ce sont les moches qui évitent le contact visuel avec les belles filles

Oui, elles le font à chaque fois que je les regarde

Non, les meufs ont juste peur, on fuit le regard de tout le monde

J'étais né comme chacun pour plaire,
la tête emplie de rêves, l'esprit joyeux,
Parfois tout sourire et parfois tout prière,
Et toujours les yeux en direction des cieux ;

Hélas, à l'âge où je voulais des caresses sincères,
Je remarquais que les femmes fuyaient mon regard
Préférant toujours celui de mes adversaires,
Je n'étais qu'à leurs yeux un vilain brouillard

Malheur ! La vérité me frappa avec mépris,
Enfin mon esprit avec tristesse, compris,
Que j'étais moche et laid,
La Solitude étant la seule à qui je plais.

elle méprise sans vergogne

Le 29 avril 2021 à 18:29:44 :
J'étais né comme chacun pour plaire,
la tête emplie de rêves, l'esprit joyeux,
Parfois tout sourire et parfois tout prière,
Et toujours les yeux en direction des cieux ;

Hélas, à l'âge où je voulais des caresses sincères,
Je remarquais que les femmes fuyaient mon regard
Préférant toujours celui de mes adversaires,
Je n'étais qu'à leurs yeux un vilain brouillard

Malheur ! La vérité me frappa avec mépris,
Enfin mon esprit avec tristesse, compris,
Que j'étais moche et laid,
La Solitude étant la seule à qui je plais.

Les poètes baisent, même les moches

Non, on regarde juste pas

Le 29 avril 2021 à 18:35:56 :

Le 29 avril 2021 à 18:29:44 :
J'étais né comme chacun pour plaire,
la tête emplie de rêves, l'esprit joyeux,
Parfois tout sourire et parfois tout prière,
Et toujours les yeux en direction des cieux ;

Hélas, à l'âge où je voulais des caresses sincères,
Je remarquais que les femmes fuyaient mon regard
Préférant toujours celui de mes adversaires,
Je n'étais qu'à leurs yeux un vilain brouillard

Malheur ! La vérité me frappa avec mépris,
Enfin mon esprit avec tristesse, compris,
Que j'étais moche et laid,
La Solitude étant la seule à qui je plais.

Les poètes baisent, même les moches

Hélas ça veut dire qu'en plus d'être moche, je suis mauvais poète...

https://image.noelshack.com/fichiers/2021/17/2/1619534885-bgggg.png

Elles fuient pas le regard, elles regardent pas tout court

Le 29 avril 2021 à 18:42:53 :

Le 29 avril 2021 à 18:35:56 :

Le 29 avril 2021 à 18:29:44 :
J'étais né comme chacun pour plaire,
la tête emplie de rêves, l'esprit joyeux,
Parfois tout sourire et parfois tout prière,
Et toujours les yeux en direction des cieux ;

Hélas, à l'âge où je voulais des caresses sincères,
Je remarquais que les femmes fuyaient mon regard
Préférant toujours celui de mes adversaires,
Je n'étais qu'à leurs yeux un vilain brouillard

Malheur ! La vérité me frappa avec mépris,
Enfin mon esprit avec tristesse, compris,
Que j'étais moche et laid,
La Solitude étant la seule à qui je plais.

Les poètes baisent, même les moches

Hélas ça veut dire qu'en plus d'être moche, je suis mauvais poète...

Frappé par la malédiction non pas une mais deux fois...

Le 29 avril 2021 à 18:44:28 :

Le 29 avril 2021 à 18:42:53 :

Le 29 avril 2021 à 18:35:56 :

Le 29 avril 2021 à 18:29:44 :
J'étais né comme chacun pour plaire,
la tête emplie de rêves, l'esprit joyeux,
Parfois tout sourire et parfois tout prière,
Et toujours les yeux en direction des cieux ;

Hélas, à l'âge où je voulais des caresses sincères,
Je remarquais que les femmes fuyaient mon regard
Préférant toujours celui de mes adversaires,
Je n'étais qu'à leurs yeux un vilain brouillard

Malheur ! La vérité me frappa avec mépris,
Enfin mon esprit avec tristesse, compris,
Que j'étais moche et laid,
La Solitude étant la seule à qui je plais.

Les poètes baisent, même les moches

Hélas ça veut dire qu'en plus d'être moche, je suis mauvais poète...

Frappé par la malédiction non pas une mais deux fois...

Maudite existence où seule la mort sera ma délivrance...

Le 29 avril 2021 à 18:51:30 :

Le 29 avril 2021 à 18:44:28 :

Le 29 avril 2021 à 18:42:53 :

Le 29 avril 2021 à 18:35:56 :

Le 29 avril 2021 à 18:29:44 :
J'étais né comme chacun pour plaire,
la tête emplie de rêves, l'esprit joyeux,
Parfois tout sourire et parfois tout prière,
Et toujours les yeux en direction des cieux ;

Hélas, à l'âge où je voulais des caresses sincères,
Je remarquais que les femmes fuyaient mon regard
Préférant toujours celui de mes adversaires,
Je n'étais qu'à leurs yeux un vilain brouillard

Malheur ! La vérité me frappa avec mépris,
Enfin mon esprit avec tristesse, compris,
Que j'étais moche et laid,
La Solitude étant la seule à qui je plais.

Les poètes baisent, même les moches

Hélas ça veut dire qu'en plus d'être moche, je suis mauvais poète...

Frappé par la malédiction non pas une mais deux fois...

Maudite existence où seule la mort sera ma délivrance...

T'as déjà montré tes poèmes à des meufs ? Quelle a été leur réaction ?

Le 29 avril 2021 à 19:05:36 :

Le 29 avril 2021 à 18:51:30 :

Le 29 avril 2021 à 18:44:28 :

Le 29 avril 2021 à 18:42:53 :

Le 29 avril 2021 à 18:35:56 :

Le 29 avril 2021 à 18:29:44 :
J'étais né comme chacun pour plaire,
la tête emplie de rêves, l'esprit joyeux,
Parfois tout sourire et parfois tout prière,
Et toujours les yeux en direction des cieux ;

Hélas, à l'âge où je voulais des caresses sincères,
Je remarquais que les femmes fuyaient mon regard
Préférant toujours celui de mes adversaires,
Je n'étais qu'à leurs yeux un vilain brouillard

Malheur ! La vérité me frappa avec mépris,
Enfin mon esprit avec tristesse, compris,
Que j'étais moche et laid,
La Solitude étant la seule à qui je plais.

Les poètes baisent, même les moches

Hélas ça veut dire qu'en plus d'être moche, je suis mauvais poète...

Frappé par la malédiction non pas une mais deux fois...

Maudite existence où seule la mort sera ma délivrance...

T'as déjà montré tes poèmes à des meufs ? Quelle a été leur réaction ?

Jamais...
Mais pas besoin d'aller sur la Lune,
Pour savoir qu'oxygène y est lacune.
Un Célestin où sa laideur
N'a d'égal que son aigreur,
Ses échecs grandissant au fil de sa calvitie diffuse,
Montrant enfin ses poèmes à celle qui lui sert de Muse,
Ne récoltera que malheurs et rejets,
Car là où le beau récolte succès,
Le moche passe pour un psychopathe,
Au mieux sociopathe...