BLC
100 000 morts dont 30 000 de vieillesse, 20 000 de cancers, 10 000 de la grippe et 5000 d'accidents de la route
O.S.E.F
Le 14 avril 2021 Ă 16:04:14 :
Heureusement qu'on fait pas le décompte des morts par avortement
Il en sait trop
Le 14 avril 2021 Ă 16:02:22 :
BLChttps://image.noelshack.com/fichiers/2021/03/6/1611395018-1609595374-laddbent-oups.png
Le 14 avril 2021 Ă 16:04:14 :
Heureusement qu'on fait pas le décompte des morts par avortement
On arrive aussi à la fin de la génération baby-boom, les morts vont logiquement s’accroître tout au long de la décennie actuelle, covid ou pas
Le 14 avril 2021 Ă 16:02:22 :
BLChttps://image.noelshack.com/fichiers/2021/03/6/1611395018-1609595374-laddbent-oups.png
Oups je l'est dis aussi ... blc
Le 14 avril 2021 Ă 16:01:52 :
https://www.lemonde.fr/planete/article/2021/04/14/covid-19-en-france-la-barre-des-100-000-deces-est-deja-franchie-depuis-des-semaines_6076697_3244.html
Le Covid la seule maladie au monde qui ne remet pas son compteur à zéro au 1 janvier
Il n'y a pas de crise sanitaire.
Le taux de mortalité par âge (et non le taux de mortalité seul) du covid est inférieur à celui des grippes 2015 et 2017. Autrement dit, c'est uniquement le vieillissement de la population (à cause des baby boomers) et l'effet de moisson des morts (c'est à dire le fait que tous les 2-3 ans une "grosse" épidémie tue les personnes fragiles qui se sont accumulées) et non la mortalité du covid qui sont responsables de tous ces morts. Aussi, le virus suit une dynamique naturelle, comme les grippes.
Les mesures barrières n'ont aucun effet.
Quand on regarde les courbes de décès par région par rapport à la date du premier et deuxième confinement on constate qu'il n'a aucun effet et que la courbe entamait déjà une baisse. Même chose pour les autres mesures barrières (masques, gel, couvre-feu, distanciation...).
Pour le premier confinement (beaucoup plus strict) on observe Ă©galement une absence d'effet.
Regardons ces graphiques (premier confinement)
Sur le deuxième graphique on voit clairement que la courbe (Rhône-Alpes par exemple) ralentissait déjà avant le confinement. On voit qu'elle suivait déjà sa forme en cloche avant que le confinement fasse quoi que ce soit. Aussi, on remarque que des régions comme l'Alsace entamaient déjà une descente.
Pour le deuxième confinement regardons ce graphique :
On voit ici aussi que la courbe baissait déjà avant le confinement et suivait une courbe en cloche.
En ce qui concerne les autres mesures barrières (masques, distanciation, couvre feu) on a pas les donnés statistiques qui nous permettraient de comparer comme pour les confinements. En revanche, on peut se demander si ce genre de phénomène s'était passé déjà avant. On peut donc nous renvoyer à une autre période épidémique de virus à infection respiratoire : la grippe 2017. Cette dernière a également commencé à l'Est, a donné que les premières régions touchées sont les plus fortement touchées (puis la force de frappe du virus est la plus faible dans les dernières régions ; comme en 2015 d'ailleurs) en commençant par Rhône-Alpes et en se dirigeant partout et spécifiquement vers le sud. On a avec le covid la même vitesse de propagation pour atteindre des pics que la grippe de 2017, et avec la même vitesse de propagation infra-régionale et inter-régionale. Donc pas besoin d'invoquer des mesures barrières pour expliquer la diminution. Elles n'ont pas d'effet.
Certains soutiennent que ces mesures marchent car la grippe, la gastro et d'autres virus ont été éradiqués. Je réponds deux choses. D'abord, si ces mesures barrières marchent contre ces virus, alors elles devraient éradiquer de la même façon le covid. Or, ce n'est pas le cas. Certains vont rétorquer que le covid est plus contagieux que ces virus. Sauf qu'on a aucune preuve que le covid est plus contagieux puisque les tests ne sont pas fiables. Et deuxièmement, en réalité il y a certainement tout autant de gastros et de grippes qu'avant dans la population. La différence c'est que dans cette paranoïa sanitaire, dès que quelqu'un a des symptômes qui ressemblent à ceux du covid (mais qui peuvent très bien être un autre virus) on fait un test pour voir si elle porte de l'ARN SARS-COV2. Et si elle en porte on va aboutir à la conclusion que la personne est malade du covid. Sauf que c'est un raisonnement fallacieux. En effet, on peut avoir de l'ARN SARS-COV2 sans être malade à cause du SARS-COV2 mais à cause d'un autre virus que ne détecte pas le test puisqu'il n'est pas fait pour ça.
Les grippes précédentes ont aussi suivi cette progression des courbes et sont tassées toutes seules. Pas de raison que cela change avec le covid. On ne peut pas savoir si le covid est plus contagieux car les tests sont pas fiables. De plus le covid est certainement saisonnié parce que généralement, les virus à infection respiratoire se comportent de manière homogène et se développent selon une saisonalité. Tout cela explique l'absence de surmortalité du covid pendant l'été.
Aussi, la probabilité d'une progression exponentielle du covid si on avait pas fait les mesures barrières est également faible en raison du fait que pour qu'une telle progression existe ( donc par exemple de passer de 1024 cas à 2048 cas) il faudrait que les gens courent les uns vers les autres, qu'on les balance en hélico pour les faire se contaminer, car une exponentielle c'est en réalité beaucoup trop rapide. La vérité est que le covid a soit une progression linéaire comme la majorité des épidémies de grippe, soit une progression par loi carré comme la grippe de 2017.
Conséquences néfastes du confinement.
De plus, on peut se demander si les mesures telles que les confinements ne vont pas tuer énormément de gens. Pendant le premier confirment, les hôpitaux ont fait baisser drastiquement voir ont complètement arrêté l'activité de nombreux services (y compris ceux d'oncologie). En France il y a 120 000 infractus par an (ainsi, 20 000 sur la période de confinement ), 150 000 AVC (25 000 pendant les deux mois de confinement).
L'arnaque des réanimations
En ce qui concerne les réanimations, on constate que la majorité sont des vieux et des gens ayant de comorbidités. C'est normal que les réas sont saturées puisqu'elles sont faits pour cela (pour ne pas gâcher l'argent investi dans les lits). Et c'est normal qu'il y ait plus de réanimation que d'habitude à cause du vieillissement de la population et de l'effet moisson. De plus, le nombre de jeunes en réa n'augmente pas significativement et reste dans des niveaux déjà connus dans l'épidémie covid. Quand on nous dit que les jeunes sont de plus en plus touchés car les moins de 65 ans augmentent en réanimation cette faux, car ce ne sont que les 60-69 ans qui augmentent en soins critiques (= réanimation + soins intensifs + surveillance continue). On voit qu'en soins critiques ce sont les 60-69 ans qui augmentent et non les moins de 60 ans :
Quand Macron nous dit que "44% des patients en réanimation ont moins de 65 ans", il a raison. Sauf qu'on ne peut pas en tirer la conclusion que les moins de 60 ans augmentent. On a vu en effet qu'ils sont stables sur ce graphique :
Le problème des hôpitaux
Passons aux hĂ´pitaux et aux traitements. On remarque en 20 ans que le nombre de lits d'hĂ´pitaux baisse alors que la population augmente (cf INSEE & DREES) :
Note :
SOURCES : INSEE, INED, SANTÉ PUBLIQUE FRANCE, DREES, INSTITUT PASTEUR.
Il faut tout rouvrir.
Nous avons démontré que ce n'est pas le covid mais les stratégies gouvernementales qui sont catastrophiques pour la nation. Le covidisme tue nos libertés les plus fondamentales, écrase la raison, détruit notre nation, notre civilisation. Nos relations sociales sont brûlées au nom d'une folie covidiste. Les personnes âgées sont vivantes aujourd'hui, et sont à chérir et étreindre aujourd'hui et non dans dix ans.