La névrose, par cela même qu'elle enlève au J tout sentiment de pudeur, toute réflexion, toute notion même de l'énormité de ce qu'il ôse, met en circulation des types qui ne se rapprochent en rien de ceux qu'on a vus auparavant. Il y a dans cet ordre des improvisations de fortunes inouïes, des destinées extravagantes, des gageures gagnées contre le sens commun devant lesquelles on reste littéralement confondu. Le J va toujours de l'avant, confiant dans le Mazzal. Qu'est-ce que le Mazzal ? Ce n'est ni le Fatum antique, ni la Providence chrétienne, c'est le bon sort, la chance, l'étoile, toute vie .uive semble un roman réalisé.