CommandantLivai
2021-04-07 12:58:48
Une suite de chose fait fuir les nuages, suis-je atteint comme une fresque épique ou la disparité de nos envergures est tantôt farfelus, tantôt excquise ?
Les favelas ont un bruit à la fois gris, mais aussi craintif autant que pensif et finalement jouissif lorsqu'on y pense. L'odeur y est bien, on y sent le pollen des abeilles qui régalent aux fêtes les gamins.
Suis-je une perte quand on exclame l'odorat des anciennes branches de nos dispersés continents ? On y retrouve le malin plaisir d'une sorte de campement où l'on peut inviter nos mots enchantés à la sobriété d'une celeste rencontre.
Une fois par mois, je pense qu'il faut ranger ses soucis, mais ne pas en emprunter au cas où l'on se décide de se faufiler dans certaines joies que faudra-t-il le jour des noces pour nos belles prunes qu'on célèbre à l'occasion.
Une sorte de poème me ronge le jour où je songe à braver les dangers en nageant jusqu'à la côte andalouse. Certes, bimbos reste en sorte qu'on t'achète et le jour V reste à l'affut du tranchant de ta flemme qu'on épaule d'un coup de tête et qu'on flingue à l'eau de cèdre.