Contrairement à ce que l’on dit, ce n’est pas pour vendre à ses ouvriers les Ford T qu’il en a eu l’idée, pas plus qu’il n’était poussé par un généreux paternalisme. Car Henry Ford était un réactionnaire qui interdisait les syndicats. Il soutiendra la prohibition de l’alcool et financera même le parti nazi par le biais de sa filiale allemande.
Pour lui, les hauts salaires étaient le moyen d’attirer les meilleurs ouvriers, mais surtout d’avoir la paix sociale. Il préférait privilégier ses salariés au détriment des consommateurs, qu’il ne séduisait pas par les prix mais par la "réclame", pour laquelle il embaucha les comiques Laurel et Hardy.
Ce salaud de Ford qui paie bien ses ouvriers pour empêcher la révolution communiste.
Le genial henry
C'est chaud de se dire qu'aujourd'hui tous les ouvriers en France vivent dans un certain confort, ont un Mac, un iPhone, une baraque et une bagnole, mais que t'as encore des communistes qui chialent en disant que le système est injuste.
Y'a que des bourgeois parasites universitaires qui se plaignent, il n'y a plus d'inégalités en France, le prolétariat n'existe plus.
C'est à ça que sert l'intersectionnalité, ces illuminés cherchent de nouveaux opprimés, de nouveaux exploités pour mettre en œuvre leur révolution et leur système utopique où tout le monde crève la dalle.
-Venez travailler chez moi, vous serez bien payé.
-Fachooo!!!
Le 24 mars 2021 à 10:53:55 Exalter a écrit :
le prolétariat n'existe plus
D'accord merci
Le troisième mythe de la gauche, c’est celui du prolétariat, sauveur collectif chez Marx exactement comme le Messie est sauveur collectif chez les chrétiens. Une première difficulté quant au prolétariat réside dans sa définition même: Où commence-t-il ? Par exemple, le travailleur d’un service public est-il un prolétaire alors même qu’il reçoit son argent de l’État ?
Se posent ainsi trois questions: d'une part sur les frontières du prolétariat, d'autre part sur son unité, et enfin sur son lien avec l’idéal révolutionnaire. Aron fait alors la distinction entre deux sortes de libérations du travailleur, la libération "réelle" (c'est-à-dire l'amélioration progressive des conditions de vie et de travail que l'on constate aux États-Unis et en Europe occidentale) et la libération « idéelle » (c'est-à-dire la prise du pouvoir théorique par un Prolétariat mythifié à la suite d'une Révolution, comme en URSS). La libération idéelle repose sur une libération de rupture, c’est une libération totale du travailleur qui suppose la Révolution, mais finalement indifférente à la réalité des conditions de vie qui en résultent.
La libération réelle est une libération partielle, pragmatique, progressive et jamais achevée, mais qui permet une amélioration véritable des conditions de travail. Force est alors de constater que les pays à la libération idéelle ont des conditions de vie détériorées (ouvriers d'Europe de l'Est) alors que les pays qui appliquent des réformes sociales sans doctrine obtiennent de bien meilleurs résultats (travaillisme anglais, société suédoise) et deviennent des pays à libération réelle.
« Les ouvriers ne croient pas d'eux-mêmes qu'ils sont élus pour le salut de l'humanité. Ils éprouvent bien davantage la nostalgie d'une ascension vers la bourgeoisie » (L'opium des intellectuels, collection Pluriel, page 95).
« Le mépris, que professent volontiers les intellectuels pour les métiers de commerce et d'industrie, m'a toujours paru méprisable. Que les mêmes, qui regardent de haut ingénieurs ou chefs d'industrie, croient reconnaître dans l'ouvrier, devant son tour ou à la chaîne de montage, l'homme universel, me paraît sympathique mais surprenant. Ni la division des tâches ni l'élévation du niveau de vie ne contribuent à cette universalisation » (L'opium des intellectuels, collection Pluriel, page 82).
La grand mère de hitler était femme de ménage chez les Rothschild de Vienne et s'est fait inséminé par le plus jeune d'entre eux de l'époque. Coïncidence? D'ailleurs hitler en a kidnappé un en 1939 ce qui a donné la plus grande rançon de l'époque (20 millions) idéal pour commencer la guerre Le hasard n'existe pas
After the Anschluß of Austria to Nazi Germany in March 1938, he was arrested at the airport at Aspern[3] and taken into custody by the Nazis because he was a distinguished member of the Jewish oligarchy. He was released only after lengthy negotiations between the family and the Nazis and upon payment of $21,000,000, believed to have been the largest ransom payment in history for any individual.[4]
Le 24 mars 2021 à 10:56:56 guenolatre a écrit :
La grand mère de hitler était femme de ménage chez les Rothschild de Vienne et s'est fait inséminé par le plus jeune d'entre eux de l'époque. Coïncidence? D'ailleurs hitler en a kidnappé un en 1939 ceux qui a donné la plus grande rançon de l'époque (20 millions) idéal pour commencer la guerre Le hasard n'existe pas
Autre coïncidence, Wittgenstein et Hitler étaient dans la même classe en Autriche :
Le 24 mars 2021 à 10:56:19 Dextre306 a écrit :
Le 24 mars 2021 à 10:53:55 Exalter a écrit :
le prolétariat n'existe plus
D'accord merci
Le troisième mythe de la gauche, c’est celui du prolétariat, sauveur collectif chez Marx exactement comme le Messie est sauveur collectif chez les chrétiens. Une première difficulté quant au prolétariat réside dans sa définition même: Où commence-t-il ? Par exemple, le travailleur d’un service public est-il un prolétaire alors même qu’il reçoit son argent de l’État ?
Se posent ainsi trois questions: d'une part sur les frontières du prolétariat, d'autre part sur son unité, et enfin sur son lien avec l’idéal révolutionnaire. Aron fait alors la distinction entre deux sortes de libérations du travailleur, la libération "réelle" (c'est-à-dire l'amélioration progressive des conditions de vie et de travail que l'on constate aux États-Unis et en Europe occidentale) et la libération « idéelle » (c'est-à-dire la prise du pouvoir théorique par un Prolétariat mythifié à la suite d'une Révolution, comme en URSS). La libération idéelle repose sur une libération de rupture, c’est une libération totale du travailleur qui suppose la Révolution, mais finalement indifférente à la réalité des conditions de vie qui en résultent.
La libération réelle est une libération partielle, pragmatique, progressive et jamais achevée, mais qui permet une amélioration véritable des conditions de travail. Force est alors de constater que les pays à la libération idéelle ont des conditions de vie détériorées (ouvriers d'Europe de l'Est) alors que les pays qui appliquent des réformes sociales sans doctrine obtiennent de bien meilleurs résultats (travaillisme anglais, société suédoise) et deviennent des pays à libération réelle.
« Les ouvriers ne croient pas d'eux-mêmes qu'ils sont élus pour le salut de l'humanité. Ils éprouvent bien davantage la nostalgie d'une ascension vers la bourgeoisie » (L'opium des intellectuels, collection Pluriel, page 95).
« Le mépris, que professent volontiers les intellectuels pour les métiers de commerce et d'industrie, m'a toujours paru méprisable. Que les mêmes, qui regardent de haut ingénieurs ou chefs d'industrie, croient reconnaître dans l'ouvrier, devant son tour ou à la chaîne de montage, l'homme universel, me paraît sympathique mais surprenant. Ni la division des tâches ni l'élévation du niveau de vie ne contribuent à cette universalisation » (L'opium des intellectuels, collection Pluriel, page 82).
Oui oui bien sur khey alors je ne mangeais pas des céréales à la fin du mois, je mangeais à ma faim et je ne portais pas les habits que mes deux frères avaient portés avant moi en fait j'étais riche, tout va bien
Merci de me l'apprendre On a compris de quel coté tu es Dextre
Le 24 mars 2021 à 10:59:14 Exalter a écrit :
Le 24 mars 2021 à 10:56:19 Dextre306 a écrit :
Le 24 mars 2021 à 10:53:55 Exalter a écrit :
le prolétariat n'existe plus
D'accord merci
Le troisième mythe de la gauche, c’est celui du prolétariat, sauveur collectif chez Marx exactement comme le Messie est sauveur collectif chez les chrétiens. Une première difficulté quant au prolétariat réside dans sa définition même: Où commence-t-il ? Par exemple, le travailleur d’un service public est-il un prolétaire alors même qu’il reçoit son argent de l’État ?
Se posent ainsi trois questions: d'une part sur les frontières du prolétariat, d'autre part sur son unité, et enfin sur son lien avec l’idéal révolutionnaire. Aron fait alors la distinction entre deux sortes de libérations du travailleur, la libération "réelle" (c'est-à-dire l'amélioration progressive des conditions de vie et de travail que l'on constate aux États-Unis et en Europe occidentale) et la libération « idéelle » (c'est-à-dire la prise du pouvoir théorique par un Prolétariat mythifié à la suite d'une Révolution, comme en URSS). La libération idéelle repose sur une libération de rupture, c’est une libération totale du travailleur qui suppose la Révolution, mais finalement indifférente à la réalité des conditions de vie qui en résultent.
La libération réelle est une libération partielle, pragmatique, progressive et jamais achevée, mais qui permet une amélioration véritable des conditions de travail. Force est alors de constater que les pays à la libération idéelle ont des conditions de vie détériorées (ouvriers d'Europe de l'Est) alors que les pays qui appliquent des réformes sociales sans doctrine obtiennent de bien meilleurs résultats (travaillisme anglais, société suédoise) et deviennent des pays à libération réelle.
« Les ouvriers ne croient pas d'eux-mêmes qu'ils sont élus pour le salut de l'humanité. Ils éprouvent bien davantage la nostalgie d'une ascension vers la bourgeoisie » (L'opium des intellectuels, collection Pluriel, page 95).
« Le mépris, que professent volontiers les intellectuels pour les métiers de commerce et d'industrie, m'a toujours paru méprisable. Que les mêmes, qui regardent de haut ingénieurs ou chefs d'industrie, croient reconnaître dans l'ouvrier, devant son tour ou à la chaîne de montage, l'homme universel, me paraît sympathique mais surprenant. Ni la division des tâches ni l'élévation du niveau de vie ne contribuent à cette universalisation » (L'opium des intellectuels, collection Pluriel, page 82).
Oui oui bien sur khey alors je ne mangeais pas des céréales à la fin du mois, je mangeais à ma faim et je ne portais pas les habits que mes deux frères avaient portés avant moi en fait j'étais riche, tout va bien
Merci de me l'apprendre On a compris de quel coté tu es Dextre
Je peux connaître ton prénom ?
Le 24 mars 2021 à 11:00:30 Dextre306 a écrit :
Le 24 mars 2021 à 10:59:14 Exalter a écrit :
Le 24 mars 2021 à 10:56:19 Dextre306 a écrit :
Le 24 mars 2021 à 10:53:55 Exalter a écrit :
le prolétariat n'existe plus
D'accord merci
Le troisième mythe de la gauche, c’est celui du prolétariat, sauveur collectif chez Marx exactement comme le Messie est sauveur collectif chez les chrétiens. Une première difficulté quant au prolétariat réside dans sa définition même: Où commence-t-il ? Par exemple, le travailleur d’un service public est-il un prolétaire alors même qu’il reçoit son argent de l’État ?
Se posent ainsi trois questions: d'une part sur les frontières du prolétariat, d'autre part sur son unité, et enfin sur son lien avec l’idéal révolutionnaire. Aron fait alors la distinction entre deux sortes de libérations du travailleur, la libération "réelle" (c'est-à-dire l'amélioration progressive des conditions de vie et de travail que l'on constate aux États-Unis et en Europe occidentale) et la libération « idéelle » (c'est-à-dire la prise du pouvoir théorique par un Prolétariat mythifié à la suite d'une Révolution, comme en URSS). La libération idéelle repose sur une libération de rupture, c’est une libération totale du travailleur qui suppose la Révolution, mais finalement indifférente à la réalité des conditions de vie qui en résultent.
La libération réelle est une libération partielle, pragmatique, progressive et jamais achevée, mais qui permet une amélioration véritable des conditions de travail. Force est alors de constater que les pays à la libération idéelle ont des conditions de vie détériorées (ouvriers d'Europe de l'Est) alors que les pays qui appliquent des réformes sociales sans doctrine obtiennent de bien meilleurs résultats (travaillisme anglais, société suédoise) et deviennent des pays à libération réelle.
« Les ouvriers ne croient pas d'eux-mêmes qu'ils sont élus pour le salut de l'humanité. Ils éprouvent bien davantage la nostalgie d'une ascension vers la bourgeoisie » (L'opium des intellectuels, collection Pluriel, page 95).
« Le mépris, que professent volontiers les intellectuels pour les métiers de commerce et d'industrie, m'a toujours paru méprisable. Que les mêmes, qui regardent de haut ingénieurs ou chefs d'industrie, croient reconnaître dans l'ouvrier, devant son tour ou à la chaîne de montage, l'homme universel, me paraît sympathique mais surprenant. Ni la division des tâches ni l'élévation du niveau de vie ne contribuent à cette universalisation » (L'opium des intellectuels, collection Pluriel, page 82).
Oui oui bien sur khey alors je ne mangeais pas des céréales à la fin du mois, je mangeais à ma faim et je ne portais pas les habits que mes deux frères avaient portés avant moi en fait j'étais riche, tout va bien
Merci de me l'apprendre On a compris de quel coté tu es DextreJe peux connaître ton prénom ?
https://image.noelshack.com/fichiers/2021/10/2/1615328575-unitinu-1.png
prénom du calendrier chrétien
Je suis 100% francais si c'est la question
Le 24 mars 2021 à 10:52:51 Dextre306 a écrit :
C'est chaud de se dire qu'aujourd'hui tous les ouvriers en France vivent dans un certain confort, ont un Mac, un iPhone, une baraque et une bagnole, mais que t'as encore des communistes qui chialent en disant que le système est injuste.https://image.noelshack.com/fichiers/2021/10/2/1615328575-unitinu-1.png Y'a que des bourgeois parasites universitaires qui se plaignent, il n'y a plus d'inégalités en France, le prolétariat n'existe plus.
https://image.noelshack.com/fichiers/2021/10/2/1615328575-unitinu-1.png C'est à ça que sert l'intersectionnalité, ces illuminés cherchent de nouveaux opprimés, de nouveaux exploités pour mettre en œuvre leur révolution et leur système utopique où tout le monde crève la dalle.
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ferme la avec ton mepris de classe. retourne avaler des bouquins et des couleuvres.
Il voulait juste empéchait les communistes d'accéder au pouvoir les communistes ont faient dans les années plus tard des millions de morts en Urss des famines la seconde guerres mondiale , et en plus ils ont forçaient les Russes qui étaient à majorité contre la tyrannie de Lénine à la subir c'était la plus grande décadence qu'a subit la Russie de son histoire à cause des communistes, mais par contre le naz isme de Henry Ford là c'est grave mais par contre le fait qu'il était contre les communistes marxiste bolchéviste ça c'était plutôt bien .
Le 24 mars 2021 à 10:59:09 Dextre306 a écrit :
Le 24 mars 2021 à 10:56:56 guenolatre a écrit :
La grand mère de hitler était femme de ménage chez les Rothschild de Vienne et s'est fait inséminé par le plus jeune d'entre eux de l'époque. Coïncidence? D'ailleurs hitler en a kidnappé un en 1939 ceux qui a donné la plus grande rançon de l'époque (20 millions) idéal pour commencer la guerre Le hasard n'existe pasAutre coïncidence, Wittgenstein et Hitler étaient dans la même classe en Autriche :
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la tête du Mini Adolf me fait toujours triper
il a toujours l'air si vénére et déter
Le 24 mars 2021 à 11:05:21 Exalter a écrit :
Le 24 mars 2021 à 11:00:30 Dextre306 a écrit :
Le 24 mars 2021 à 10:59:14 Exalter a écrit :
Le 24 mars 2021 à 10:56:19 Dextre306 a écrit :
Le 24 mars 2021 à 10:53:55 Exalter a écrit :
le prolétariat n'existe plus
D'accord merci
Le troisième mythe de la gauche, c’est celui du prolétariat, sauveur collectif chez Marx exactement comme le Messie est sauveur collectif chez les chrétiens. Une première difficulté quant au prolétariat réside dans sa définition même: Où commence-t-il ? Par exemple, le travailleur d’un service public est-il un prolétaire alors même qu’il reçoit son argent de l’État ?
Se posent ainsi trois questions: d'une part sur les frontières du prolétariat, d'autre part sur son unité, et enfin sur son lien avec l’idéal révolutionnaire. Aron fait alors la distinction entre deux sortes de libérations du travailleur, la libération "réelle" (c'est-à-dire l'amélioration progressive des conditions de vie et de travail que l'on constate aux États-Unis et en Europe occidentale) et la libération « idéelle » (c'est-à-dire la prise du pouvoir théorique par un Prolétariat mythifié à la suite d'une Révolution, comme en URSS). La libération idéelle repose sur une libération de rupture, c’est une libération totale du travailleur qui suppose la Révolution, mais finalement indifférente à la réalité des conditions de vie qui en résultent.
La libération réelle est une libération partielle, pragmatique, progressive et jamais achevée, mais qui permet une amélioration véritable des conditions de travail. Force est alors de constater que les pays à la libération idéelle ont des conditions de vie détériorées (ouvriers d'Europe de l'Est) alors que les pays qui appliquent des réformes sociales sans doctrine obtiennent de bien meilleurs résultats (travaillisme anglais, société suédoise) et deviennent des pays à libération réelle.
« Les ouvriers ne croient pas d'eux-mêmes qu'ils sont élus pour le salut de l'humanité. Ils éprouvent bien davantage la nostalgie d'une ascension vers la bourgeoisie » (L'opium des intellectuels, collection Pluriel, page 95).
« Le mépris, que professent volontiers les intellectuels pour les métiers de commerce et d'industrie, m'a toujours paru méprisable. Que les mêmes, qui regardent de haut ingénieurs ou chefs d'industrie, croient reconnaître dans l'ouvrier, devant son tour ou à la chaîne de montage, l'homme universel, me paraît sympathique mais surprenant. Ni la division des tâches ni l'élévation du niveau de vie ne contribuent à cette universalisation » (L'opium des intellectuels, collection Pluriel, page 82).
Oui oui bien sur khey alors je ne mangeais pas des céréales à la fin du mois, je mangeais à ma faim et je ne portais pas les habits que mes deux frères avaient portés avant moi en fait j'étais riche, tout va bien
Merci de me l'apprendre On a compris de quel coté tu es DextreJe peux connaître ton prénom ?
https://image.noelshack.com/fichiers/2021/10/2/1615328575-unitinu-1.png prénom du calendrier chrétien
Je suis 100% francais si c'est la question
100% français avec le drapeau carthaginois en photo de profil ?