Nous sommes divisés. A droite comme à gauche, nous pensons que les maux de ces pays ont une cause bien différente. Certains voient les problèmes sociaux et économiques, les inégalités, d'autres voient plutôt l'immigration, la perte d'identité, de valeurs, de tradition. Tout cela ne découle en réalité que d'une même cause, et nos divergences sont futiles.
Je n'ai pas besoin de vous faire un dessin, vous êtes pour la plupart bien conscients, peu importe vos orientations politiques, des dérives de ce pays et plus généralement de l'Occident.
Il est assez évident de décrire la plupart des maux de ce pays. Toute personne née et vivant sur ce sol, pour des raisons et des causes qui lui sont propres, pourra s’accorder sur le fait que notre Nation tend à régresser. Je ne m'attarderais pas à en faire une liste inutile.
Pourtant, nous ne faisons rien. Nous attendons, nous plaignons et rêvons secrètement d'un changement qui n'arrive pas. Nous devons changer cet état de passivité, car le péril que nous traversons sera irréversible dans quelques années seulement et nous le savons pertinemment.
Voilà seulement quelques exemples de politiques n'ayant qu'une même cause idéologique. Cette œuvre permet à une petite élite financière et mondialisée d'accumuler plus de richesses, de vivre dans le faste, le luxe et la débauche. Tant mieux pour eux. Le problème n'est pas tant l'énormité de leurs gains. Leur crime est de vivre sur le dos de la grande majorité de la population qui subi largement les conséquences de cette doctrine. Ils ont volé notre souveraineté pour l'attribuer à la petite technocratie de Bruxelles, qui ose légiférer à notre place selon une politique que le peuple rejette et a déjà rejeté. Ils nous contraignent, sous peine d'amende de plusieurs millions d'euros, à nous soumettre à leur politique. La CEDH nous impose de même la vision droit de l'Hommiste qui est sienne, toujours au profit non pas des individus et des Nations, mais de l'élite et du marché.
Cette élite néolibérale, par nature minoritaire, à la tête de nos institutions, politiques, étatiques, sociales internationale et économiques, s'appuie sur une force bien plus nombreuses : Les postmodernes.
L'élite néolibérale se sert des postmodernes et ces derniers se complaisent dans le monde néolibéral, bien que chaque camp poursuit des objectifs bien différents.
Qui sont les postmodernes ?
Nous pourrions résumer très brièvement notre Histoire contemporaine sous trois étapes décisives :
Nous avons d’abord exécuté Dieu, représenté par l’assassinat de son représentant en janvier 1793.
Puis nous nous sommes libérés des chaines étatiques, détruisant le fascisme et organisant le triomphe de la liberté en France en mai 68
Désormais, nous déconstruisons le modèle traditionnel familial, l'identité de genre, l'ethnie...
Toutes ces étapes ne sont guidées que par une seule et même idée : La liberté.
Toute notre Histoire moderne gravite autour de cette idée centrale de liberté, individuelle. Nous pourrions objecter que la liberté n’est pas, en soi, mauvaise. C’est vrai. Mais l’hypertrophie des libertés individuelles a dévoré tout ce qui nous permettait de nous élever, de nous guider et de faire de nous des êtres meilleurs.
Si la religion possédait ses vices, elle nous guidait moralement et nous a permis de créer des civilisations millénaires.
Si l’Etat a engendré des guerres, il a également permis de bâtir de formidables Empire et de construire ce que nous n’aurions pas pu faire sans sa puissance.
La famille quant à elle, a toujours servi de relais à nos mœurs, nos traditions, notre récit, notre identité, et tout ce qui nous compose.
Nous avons été tant épris de liberté que nous avons piétiné et humilier une à une ces institutions. Celles-ci étaient mauvaises, engendraient souffrances, guerres, oppression et malheur. C’est oublier qu’elles nous servaient également de guide. Un guide nécessaire depuis que la grande et terrible question du sens est revenue dans nos vies.
Jamais nous n’avons été aussi libre. Jamais nous n’avons été aussi seuls. Jamais nous n’avons été aussi perdus. Une perte de sens et de quête nous poussant à adopter une vision morale suicidaire. Nous voulons jouir, non plus construire. Chacun aspire à être reconnus par les autres mais daigne reconnaitre les siens.
C’est le premier point qui définit l’idéologie des postmodernes : L’individualisme. Aucune entrave pour l’Homme-Dieu, si ce n’est de respecter les autres Dieux. Mais qu’est ce qu’un Dieu n’aspirant qu’a ses propres intérêts et son propre bonheur ? Un tyran. Un tyran pour lui-même mais aussi pour la société. A la volonté de construction, de grandeur, à la volonté de continuer le récit de nos pères, nous avons préféré la poursuite de notre plaisir instantané. Voici le monde libre de la société de consommation. Un monde où l’instantanéité et l’absence de contrainte nous pousse à un nihilisme destructeur. Nous ne voulons rien d’autre que notre plaisir, en consommant toujours et beaucoup. Ils imposons leur caprice, obligeant chacun à les considérer selon le sexe qu'ils ont choisi. Car même la réalité ne peux les contraindre. Leur être est tout puissant. Cette société est louée par chaque institution en Occident. Voici nos ennemis.
Nous ne devons pas rejeter la liberté. Nous devons rejeter ceux qui ne s’en servent que pour accomplir leurs désirs primaires et réducteurs. Ceux qui ne visent que leur confort, leur bien être et leur personne. Ceux qui ne veulent aucune contrainte, qui n’aspirent qu’au bonheur et à la liberté. Ces esclaves de leurs désirs sont ceux qui défendent ardemment cette société, que certains nomment "gauchos progresssites". Ils ne pourraient accomplir ne serait-ce qu’une infime partie des sacrifices de nos pères. Leur bassesse d’esprit ne peut endurer de telles contraintes pour des aspirations aussi nobles. Leur quête absolue individualiste s’accomplit au détriment des êtres plus sages aspirant à la grandeur de leur Nation. Ces derniers menacent cette société de l’hédonisme et du plaisir. Vous les menacez. Ils vous craignent et c’est pour cela qu’ils vous combattent de toute leur force, vous dépeignant comme des monstres.
Voici le dessein de nos ennemis. Les post-modernes, fruits de 50 ans de soumission aux intérêts privés totalitaire, rejettent le beau, la virilité, le concept de Nation, la violence, la mort, et toute ce qui pourrait illustrer une contrainte sur leur être. A la célébration des héros, ils préfèrent célébrer les victimes, les faibles, les faux opprimés. Ce schéma de pensée, jugé par ces adorateurs comme subversif, est défendu par nos élites, nos médias, nos institutions, qui adhèrent quasi unanimement à cette idéologie, en feignant une apparence de pluralisme.
Je ne pense pas qu’il soit nécessaire de vous expliquer pourquoi le néolibéralisme et le postmodernisme qui en découle nuit à notre Nation et en quoi celui-ci est la cause de la déchéance de ce pays dans la plupart des domaines politiques. De la délocalisation de nos industries à l’invasion migratoire, en passant par la déconstruction du « genre », l'opposition du peuple contre lui même, la destruction de nos services publics, l’affaiblissement de l’Etat et de notre souveraineté ainsi que la soumission de l’Homme blanc désigné comme responsable de tous les maux. Mon but est de décrire un bref tableau du portrait de notre ennemi. Non de décrire chaque aspect, conséquences et évènements historiques nous ayant menés à ces jours terribles.
Maintenant que vous savez qui sont nos ennemis - les postmodernes -, à quelle idéologie ils sont soumis économiquement et socialement – Le néolibéralisme – vous pouvez désormais identifier assez facilement qui sont ceux que vous devez politiquement et idéologiquement combattre. Ne vous enfermez pas dans les clivages réducteurs de droite et de gauche. Ils se situent à tous bords et leurs opposants, nous, nous situons également de tous bords.
Que faire me diriez vous ?
Beaucoup souhaitent lutter par les urnes. Ce serait pour eux le seul moyen. C'est oublier que dans nos pays, le capital débridé règne. En réalité, la plupart des journaux et autres outils de propagandes sont largement détenus par quelques propriétaires néolibéraux
La presse façonne ainsi l'opinion publique. Tous les partis politiques n'ont en réalité aucune différence. Nous savons très bien quelle sera la politique menée, à quelques nuances près, d'ici quelques années. Nous savons déjà qui sera ou ne sera pas élu. Les anciens politiciens, se camouflant derrière le fameux clivage "droite-gauche" sont en réalité tous les mêmes. Ainsi, le peuple pense que dans nos pays se trouve la liberté et la prospérité, alors même que nos conditions de vie et nos libertés reculent chaque année !
Dans ces soi-disants démocraties, le peuple n'est plus l'objet principal des préoccupations. Ce qui compte réellement, est l'intérêt de cette petite élite néolibérale 'faiseuse de démocratie et de liberté'. Ainsi, seuls quelques milliers de capitalistes corrompus possèdent toutes les industries, tous les moyens de pouvoirs et dirigent utlimement le peuple. Ils ne sont pas intéressés une seule seconde dans la grande masse des personnes qui constitue le peuple. Ces mondialistes conduisent leurs affaires partout où ils le peuvent et répandent leur venin à chaque recoin de la planète. Une petite clique internationale utilisant la misère des uns et tournant leur colère vers les autres, pour que nous ne puissions agir contre eux.
La conclusion logique est qu'il nous faut lutter autrement. A ce propos, je vous rappellerais simplement que la République, célébrée et considérée comme légitime par nos citoyens, s'est erigée par la violence et l'exécution d'un roi. La violence était considérée comme légitime pour ces révolutionnaires et nous leur donnons raisons en célébrant le 14 juillet. Elle l'est également aujourd'hui.
Pour une illustration de l'utilisation des postmodernes par l'élite néolibérale : Les entreprises soutenant les idéologies progressistes (Effacement des sexes, métissage, promotion de la liberté individuelle et de la consommation....) tout en utilisant comme des chiens la main d'oeuvre à l'autre bout du monde.
Pour une illustration du façonnage par les médias de notre politique : Macron.
interessant
Up
J'ai tenté de condenser et vulgariser, mais on pourrait passer des jours à en discuter.
Mais la discussion n'a que trop durer. Nous devons agir
Le 24 mars 2021 à 14:52:35 loris51 a écrit :
Ton avis sur le marxisme, et l'intérêt de la lutte de classe donc ?
Le marxisme est intéressant, mais dangereux, car incomplet. Il n'offre qu'une vision partielle, productiviste et matérialiste du monde. Il est par nature internationaliste car il omet les notions d'identité, de Nation, de culture....Il ne voit que les classes sociales.
De même, le marxisme propose un enfer pour arriver à une utopie (qui est par nature impossible à atteindre). C'est pourquoi les régimes communistes ont TOUS foiré et ne se sont limités qu'a un capitalisme d'Etat totalitaire, opressif et humiliant pour le peuple
Le 24 mars 2021 à 14:42:58 Chanclure3004 a écrit :
Pour cela, nous devons identifier la source de nos maux.
Nous sommes divisés. A droite comme à gauche, nous pensons que les maux de ces pays ont une cause bien différente. Certains voient les problèmes sociaux et économiques, les inégalités, d'autres voient plutôt l'immigration, la perte d'identité, de valeurs, de tradition. Tout cela ne découle en réalité que d'une même cause, et nos divergences sont futiles.
Je n'ai pas besoin de vous faire un dessin, vous êtes pour la plupart bien conscients, peu importe vos orientations politiques, des dérives de ce pays et plus généralement de l'Occident.
Il est assez évident de décrire la plupart des maux de ce pays. Toute personne née et vivant sur ce sol, pour des raisons et des causes qui lui sont propres, pourra s’accorder sur le fait que notre Nation tend à régresser. Je ne m'attarderais pas à en faire une liste inutile.https://image.noelshack.com/fichiers/2017/06/1486469513-kermit-pensif.png
Pourtant, nous ne faisons rien. Nous attendons, nous plaignons et rêvons secrètement d'un changement qui n'arrive pas. Nous devons changer cet état de passivité, car le péril que nous traversons sera irréversible dans quelques années seulement et nous le savons pertinemment.
La plupart des difficultés que nous traversons proviennent d’une même cause. Une idéologie s’étant emparée de nos élites, de nos institutions, de nos médias et de la quasi-totalité de l’appareil étatique depuis plus de 50 ans. Certains la nomme « néolibéralisme ». D'autres rejettent cette appellation. Peu importe. Les élites occidentales, sous une fausse apparence de pluralité, visent toutes un même objectif : Le marché. Ils dirigent, légifèrent et travaillent pour celui ci au détriment du peuple. Cette emprise du pouvoir, que nous datons souvent des années Thatcher/Reagan a entrainé une politique bien définie :
- Suppression des frontières,
- disparition des nations,
- affaiblissement de l'Etat,
- soumission au "marché unique" en Europe,
- financiarisation de l'économie,
- privatisation de nos services publics et politiques d'austérité,
- délocalisations massives, désindustrialisations, et soumission aux puissances étrangères,
- soumission face aux entreprises privées
- Effacement de l'identité et des cultures
- Pouvoir des grands groupes financiers
Voilà seulement quelques exemples de politiques n'ayant qu'une même cause idéologique. Cette œuvre permet à une petite élite financière et mondialisée d'accumuler plus de richesses, de vivre dans le faste, le luxe et la débauche. Tant mieux pour eux. Le problème n'est pas tant l'énormité de leurs gains. Leur crime est de vivre sur le dos de la grande majorité de la population qui subi largement les conséquences de cette doctrine. Ils ont volé notre souveraineté pour l'attribuer à la petite technocratie de Bruxelles, qui ose légiférer à notre place selon une politique que le peuple rejette et a déjà rejeté. Ils nous contraignent, sous peine d'amende de plusieurs millions d'euros, à nous soumettre à leur politique. La CEDH nous impose de même la vision droit de l'Hommiste qui est sienne, toujours au profit non pas des individus et des Nations, mais de l'élite et du marché.
Cette élite néolibérale, par nature minoritaire, à la tête de nos institutions, politiques, étatiques, sociales internationale et économiques, s'appuie sur une force bien plus nombreuses : Les postmodernes.
L'élite néolibérale se sert des postmodernes et ces derniers se complaisent dans le monde néolibéral, bien que chaque camp poursuit des objectifs bien différents.Qui sont les postmodernes ?
Nous pourrions résumer très brièvement notre Histoire contemporaine sous trois étapes décisives :
Nous avons d’abord exécuté Dieu, représenté par l’assassinat de son représentant en janvier 1793.
Puis nous nous sommes libérés des chaines étatiques, détruisant le fascisme et organisant le triomphe de la liberté en France en mai 68
Désormais, nous déconstruisons le modèle traditionnel familial, l'identité de genre, l'ethnie...Toutes ces étapes ne sont guidées que par une seule et même idée : La liberté.
Toute notre Histoire moderne gravite autour de cette idée centrale de liberté, individuelle. Nous pourrions objecter que la liberté n’est pas, en soi, mauvaise. C’est vrai. Mais l’hypertrophie des libertés individuelles a dévoré tout ce qui nous permettait de nous élever, de nous guider et de faire de nous des êtres meilleurs.
Si la religion possédait ses vices, elle nous guidait moralement et nous a permis de créer des civilisations millénaires.
Si l’Etat a engendré des guerres, il a également permis de bâtir de formidables Empire et de construire ce que nous n’aurions pas pu faire sans sa puissance.
La famille quant à elle, a toujours servi de relais à nos mœurs, nos traditions, notre récit, notre identité, et tout ce qui nous compose.
Nous avons été tant épris de liberté que nous avons piétiné et humilier une à une ces institutions. Celles-ci étaient mauvaises, engendraient souffrances, guerres, oppression et malheur. C’est oublier qu’elles nous servaient également de guide. Un guide nécessaire depuis que la grande et terrible question du sens est revenue dans nos vies.Jamais nous n’avons été aussi libre. Jamais nous n’avons été aussi seuls. Jamais nous n’avons été aussi perdus. Une perte de sens et de quête nous poussant à adopter une vision morale suicidaire. Nous voulons jouir, non plus construire. Chacun aspire à être reconnus par les autres mais daigne reconnaitre les siens.
https://image.noelshack.com/fichiers/2017/34/1/1503348150-prions-progres.jpg C’est le premier point qui définit l’idéologie des postmodernes : L’individualisme. Aucune entrave pour l’Homme-Dieu, si ce n’est de respecter les autres Dieux. Mais qu’est ce qu’un Dieu n’aspirant qu’a ses propres intérêts et son propre bonheur ? Un tyran. Un tyran pour lui-même mais aussi pour la société. A la volonté de construction, de grandeur, à la volonté de continuer le récit de nos pères, nous avons préféré la poursuite de notre plaisir instantané. Voici le monde libre de la société de consommation. Un monde où l’instantanéité et l’absence de contrainte nous pousse à un nihilisme destructeur. Nous ne voulons rien d’autre que notre plaisir, en consommant toujours et beaucoup. Ils imposons leur caprice, obligeant chacun à les considérer selon le sexe qu'ils ont choisi. Car même la réalité ne peux les contraindre. Leur être est tout puissant. Cette société est louée par chaque institution en Occident. Voici nos ennemis.
Nous ne devons pas rejeter la liberté. Nous devons rejeter ceux qui ne s’en servent que pour accomplir leurs désirs primaires et réducteurs. Ceux qui ne visent que leur confort, leur bien être et leur personne. Ceux qui ne veulent aucune contrainte, qui n’aspirent qu’au bonheur et à la liberté. Ces esclaves de leurs désirs sont ceux qui défendent ardemment cette société, que certains nomment "gauchos progresssites". Ils ne pourraient accomplir ne serait-ce qu’une infime partie des sacrifices de nos pères. Leur bassesse d’esprit ne peut endurer de telles contraintes pour des aspirations aussi nobles. Leur quête absolue individualiste s’accomplit au détriment des êtres plus sages aspirant à la grandeur de leur Nation. Ces derniers menacent cette société de l’hédonisme et du plaisir. Vous les menacez. Ils vous craignent et c’est pour cela qu’ils vous combattent de toute leur force, vous dépeignant comme des monstres.Voici le dessein de nos ennemis. Les post-modernes, fruits de 50 ans de soumission aux intérêts privés totalitaire, rejettent le beau, la virilité, le concept de Nation, la violence, la mort, et toute ce qui pourrait illustrer une contrainte sur leur être. A la célébration des héros, ils préfèrent célébrer les victimes, les faibles, les faux opprimés. Ce schéma de pensée, jugé par ces adorateurs comme subversif, est défendu par nos élites, nos médias, nos institutions, qui adhèrent quasi unanimement à cette idéologie, en feignant une apparence de pluralisme.
Je ne pense pas qu’il soit nécessaire de vous expliquer pourquoi le néolibéralisme et le postmodernisme qui en découle nuit à notre Nation et en quoi celui-ci est la cause de la déchéance de ce pays dans la plupart des domaines politiques. De la délocalisation de nos industries à l’invasion migratoire, en passant par la déconstruction du « genre », l'opposition du peuple contre lui même, la destruction de nos services publics, l’affaiblissement de l’Etat et de notre souveraineté ainsi que la soumission de l’Homme blanc désigné comme responsable de tous les maux. Mon but est de décrire un bref tableau du portrait de notre ennemi. Non de décrire chaque aspect, conséquences et évènements historiques nous ayant menés à ces jours terribles.
Maintenant que vous savez qui sont nos ennemis - les postmodernes -, à quelle idéologie ils sont soumis économiquement et socialement – Le néolibéralisme – vous pouvez désormais identifier assez facilement qui sont ceux que vous devez politiquement et idéologiquement combattre. Ne vous enfermez pas dans les clivages réducteurs de droite et de gauche. Ils se situent à tous bords et leurs opposants, nous, nous situons également de tous bords.
Que faire me diriez vous ?
Beaucoup souhaitent lutter par les urnes. Ce serait pour eux le seul moyen. C'est oublier que dans nos pays, le capital débridé règne. En réalité, la plupart des journaux et autres outils de propagandes sont largement détenus par quelques propriétaires néolibéraux
https://image.noelshack.com/fichiers/2021/12/3/1616591368-ppa16-2-1-d2778.png
La presse façonne ainsi l'opinion publique. Tous les partis politiques n'ont en réalité aucune différence. Nous savons très bien quelle sera la politique menée, à quelques nuances près, d'ici quelques années. Nous savons déjà qui sera ou ne sera pas élu. Les anciens politiciens, se camouflant derrière le fameux clivage "droite-gauche" sont en réalité tous les mêmes. Ainsi, le peuple pense que dans nos pays se trouve la liberté et la prospérité, alors même que nos conditions de vie et nos libertés reculent chaque année !
Dans ces soi-disants démocraties, le peuple n'est plus l'objet principal des préoccupations. Ce qui compte réellement, est l'intérêt de cette petite élite néolibérale 'faiseuse de démocratie et de liberté'. Ainsi, seuls quelques milliers de capitalistes corrompus possèdent toutes les industries, tous les moyens de pouvoirs et dirigent utlimement le peuple. Ils ne sont pas intéressés une seule seconde dans la grande masse des personnes qui constitue le peuple. Ces mondialistes conduisent leurs affaires partout où ils le peuvent et répandent leur venin à chaque recoin de la planète. Une petite clique internationale utilisant la misère des uns et tournant leur colère vers les autres, pour que nous ne puissions agir contre eux.La conclusion logique est qu'il nous faut lutter autrement. A ce propos, je vous rappellerais simplement que la République, célébrée et considérée comme légitime par nos citoyens, s'est erigée par la violence et l'exécution d'un roi. La violence était considérée comme légitime pour ces révolutionnaires et nous leur donnons raisons en célébrant le 14 juillet. Elle l'est également aujourd'hui.
https://image.noelshack.com/fichiers/2017/01/1483871441-risitas-a-mort.png
tout a fait l'OP, mais pourquoi vouloir ramener le "peuple" à nous, ne devrions pas "nous" trouver la force de migrer dans un lieu, nous rassembler "nous" pour faire peuple. "Nous" conscient du besoin de collectif et attirer à nous plutôt que de geindre pour rien, qui a t'il de plus réaliste à faire que cela ? la force d'inertie avec le confort moderne est bien trop forte pour espérer amorcer un mouvement de défense de la "masse". Il faut nous autonomiser en région façon catalogne, exiger notre indépendance via RIC séparatiste
très intéressant et je partage la grande majorité des idées/ points de vue évoqués
Sauf que je suis sceptique sur la porte de sortie violente, je pense que c'est notre avenir inévitable (notamment à cause d'une potentielle guerre civile entre natio+français vs islamiste+musulmans/minorités), mais est-ce souhaitable ?
ceci dit, je préfère encore que ça arrive plutôt que de faire la politique de "la paix à tout prix"
Est-ce qu'une révolution fonctionnerait ? j'ai l'impression que l'individualisme est allé trop loin, s'est implanté trop profondément dans les gens, ils ne se soulèveront plus, même si j'espère avoir tort..
C'est allé tellement loin que même la pratique du catholicisme est plutôt une minorité en France comme tu as décrit rapidement dans ce pavé..
Le 24 mars 2021 à 14:56:25 Ardat a écrit :
Le 24 mars 2021 à 14:42:58 Chanclure3004 a écrit :
Pour cela, nous devons identifier la source de nos maux.
Nous sommes divisés. A droite comme à gauche, nous pensons que les maux de ces pays ont une cause bien différente. Certains voient les problèmes sociaux et économiques, les inégalités, d'autres voient plutôt l'immigration, la perte d'identité, de valeurs, de tradition. Tout cela ne découle en réalité que d'une même cause, et nos divergences sont futiles.
Je n'ai pas besoin de vous faire un dessin, vous êtes pour la plupart bien conscients, peu importe vos orientations politiques, des dérives de ce pays et plus généralement de l'Occident.
Il est assez évident de décrire la plupart des maux de ce pays. Toute personne née et vivant sur ce sol, pour des raisons et des causes qui lui sont propres, pourra s’accorder sur le fait que notre Nation tend à régresser. Je ne m'attarderais pas à en faire une liste inutile.https://image.noelshack.com/fichiers/2017/06/1486469513-kermit-pensif.png
Pourtant, nous ne faisons rien. Nous attendons, nous plaignons et rêvons secrètement d'un changement qui n'arrive pas. Nous devons changer cet état de passivité, car le péril que nous traversons sera irréversible dans quelques années seulement et nous le savons pertinemment.
La plupart des difficultés que nous traversons proviennent d’une même cause. Une idéologie s’étant emparée de nos élites, de nos institutions, de nos médias et de la quasi-totalité de l’appareil étatique depuis plus de 50 ans. Certains la nomme « néolibéralisme ». D'autres rejettent cette appellation. Peu importe. Les élites occidentales, sous une fausse apparence de pluralité, visent toutes un même objectif : Le marché. Ils dirigent, légifèrent et travaillent pour celui ci au détriment du peuple. Cette emprise du pouvoir, que nous datons souvent des années Thatcher/Reagan a entrainé une politique bien définie :
- Suppression des frontières,
- disparition des nations,
- affaiblissement de l'Etat,
- soumission au "marché unique" en Europe,
- financiarisation de l'économie,
- privatisation de nos services publics et politiques d'austérité,
- délocalisations massives, désindustrialisations, et soumission aux puissances étrangères,
- soumission face aux entreprises privées
- Effacement de l'identité et des cultures
- Pouvoir des grands groupes financiers
Voilà seulement quelques exemples de politiques n'ayant qu'une même cause idéologique. Cette œuvre permet à une petite élite financière et mondialisée d'accumuler plus de richesses, de vivre dans le faste, le luxe et la débauche. Tant mieux pour eux. Le problème n'est pas tant l'énormité de leurs gains. Leur crime est de vivre sur le dos de la grande majorité de la population qui subi largement les conséquences de cette doctrine. Ils ont volé notre souveraineté pour l'attribuer à la petite technocratie de Bruxelles, qui ose légiférer à notre place selon une politique que le peuple rejette et a déjà rejeté. Ils nous contraignent, sous peine d'amende de plusieurs millions d'euros, à nous soumettre à leur politique. La CEDH nous impose de même la vision droit de l'Hommiste qui est sienne, toujours au profit non pas des individus et des Nations, mais de l'élite et du marché.
Cette élite néolibérale, par nature minoritaire, à la tête de nos institutions, politiques, étatiques, sociales internationale et économiques, s'appuie sur une force bien plus nombreuses : Les postmodernes.
L'élite néolibérale se sert des postmodernes et ces derniers se complaisent dans le monde néolibéral, bien que chaque camp poursuit des objectifs bien différents.Qui sont les postmodernes ?
Nous pourrions résumer très brièvement notre Histoire contemporaine sous trois étapes décisives :
Nous avons d’abord exécuté Dieu, représenté par l’assassinat de son représentant en janvier 1793.
Puis nous nous sommes libérés des chaines étatiques, détruisant le fascisme et organisant le triomphe de la liberté en France en mai 68
Désormais, nous déconstruisons le modèle traditionnel familial, l'identité de genre, l'ethnie...Toutes ces étapes ne sont guidées que par une seule et même idée : La liberté.
Toute notre Histoire moderne gravite autour de cette idée centrale de liberté, individuelle. Nous pourrions objecter que la liberté n’est pas, en soi, mauvaise. C’est vrai. Mais l’hypertrophie des libertés individuelles a dévoré tout ce qui nous permettait de nous élever, de nous guider et de faire de nous des êtres meilleurs.
Si la religion possédait ses vices, elle nous guidait moralement et nous a permis de créer des civilisations millénaires.
Si l’Etat a engendré des guerres, il a également permis de bâtir de formidables Empire et de construire ce que nous n’aurions pas pu faire sans sa puissance.
La famille quant à elle, a toujours servi de relais à nos mœurs, nos traditions, notre récit, notre identité, et tout ce qui nous compose.
Nous avons été tant épris de liberté que nous avons piétiné et humilier une à une ces institutions. Celles-ci étaient mauvaises, engendraient souffrances, guerres, oppression et malheur. C’est oublier qu’elles nous servaient également de guide. Un guide nécessaire depuis que la grande et terrible question du sens est revenue dans nos vies.Jamais nous n’avons été aussi libre. Jamais nous n’avons été aussi seuls. Jamais nous n’avons été aussi perdus. Une perte de sens et de quête nous poussant à adopter une vision morale suicidaire. Nous voulons jouir, non plus construire. Chacun aspire à être reconnus par les autres mais daigne reconnaitre les siens.
https://image.noelshack.com/fichiers/2017/34/1/1503348150-prions-progres.jpg C’est le premier point qui définit l’idéologie des postmodernes : L’individualisme. Aucune entrave pour l’Homme-Dieu, si ce n’est de respecter les autres Dieux. Mais qu’est ce qu’un Dieu n’aspirant qu’a ses propres intérêts et son propre bonheur ? Un tyran. Un tyran pour lui-même mais aussi pour la société. A la volonté de construction, de grandeur, à la volonté de continuer le récit de nos pères, nous avons préféré la poursuite de notre plaisir instantané. Voici le monde libre de la société de consommation. Un monde où l’instantanéité et l’absence de contrainte nous pousse à un nihilisme destructeur. Nous ne voulons rien d’autre que notre plaisir, en consommant toujours et beaucoup. Ils imposons leur caprice, obligeant chacun à les considérer selon le sexe qu'ils ont choisi. Car même la réalité ne peux les contraindre. Leur être est tout puissant. Cette société est louée par chaque institution en Occident. Voici nos ennemis.
Nous ne devons pas rejeter la liberté. Nous devons rejeter ceux qui ne s’en servent que pour accomplir leurs désirs primaires et réducteurs. Ceux qui ne visent que leur confort, leur bien être et leur personne. Ceux qui ne veulent aucune contrainte, qui n’aspirent qu’au bonheur et à la liberté. Ces esclaves de leurs désirs sont ceux qui défendent ardemment cette société, que certains nomment "gauchos progresssites". Ils ne pourraient accomplir ne serait-ce qu’une infime partie des sacrifices de nos pères. Leur bassesse d’esprit ne peut endurer de telles contraintes pour des aspirations aussi nobles. Leur quête absolue individualiste s’accomplit au détriment des êtres plus sages aspirant à la grandeur de leur Nation. Ces derniers menacent cette société de l’hédonisme et du plaisir. Vous les menacez. Ils vous craignent et c’est pour cela qu’ils vous combattent de toute leur force, vous dépeignant comme des monstres.Voici le dessein de nos ennemis. Les post-modernes, fruits de 50 ans de soumission aux intérêts privés totalitaire, rejettent le beau, la virilité, le concept de Nation, la violence, la mort, et toute ce qui pourrait illustrer une contrainte sur leur être. A la célébration des héros, ils préfèrent célébrer les victimes, les faibles, les faux opprimés. Ce schéma de pensée, jugé par ces adorateurs comme subversif, est défendu par nos élites, nos médias, nos institutions, qui adhèrent quasi unanimement à cette idéologie, en feignant une apparence de pluralisme.
Je ne pense pas qu’il soit nécessaire de vous expliquer pourquoi le néolibéralisme et le postmodernisme qui en découle nuit à notre Nation et en quoi celui-ci est la cause de la déchéance de ce pays dans la plupart des domaines politiques. De la délocalisation de nos industries à l’invasion migratoire, en passant par la déconstruction du « genre », l'opposition du peuple contre lui même, la destruction de nos services publics, l’affaiblissement de l’Etat et de notre souveraineté ainsi que la soumission de l’Homme blanc désigné comme responsable de tous les maux. Mon but est de décrire un bref tableau du portrait de notre ennemi. Non de décrire chaque aspect, conséquences et évènements historiques nous ayant menés à ces jours terribles.
Maintenant que vous savez qui sont nos ennemis - les postmodernes -, à quelle idéologie ils sont soumis économiquement et socialement – Le néolibéralisme – vous pouvez désormais identifier assez facilement qui sont ceux que vous devez politiquement et idéologiquement combattre. Ne vous enfermez pas dans les clivages réducteurs de droite et de gauche. Ils se situent à tous bords et leurs opposants, nous, nous situons également de tous bords.
Que faire me diriez vous ?
Beaucoup souhaitent lutter par les urnes. Ce serait pour eux le seul moyen. C'est oublier que dans nos pays, le capital débridé règne. En réalité, la plupart des journaux et autres outils de propagandes sont largement détenus par quelques propriétaires néolibéraux
https://image.noelshack.com/fichiers/2021/12/3/1616591368-ppa16-2-1-d2778.png
La presse façonne ainsi l'opinion publique. Tous les partis politiques n'ont en réalité aucune différence. Nous savons très bien quelle sera la politique menée, à quelques nuances près, d'ici quelques années. Nous savons déjà qui sera ou ne sera pas élu. Les anciens politiciens, se camouflant derrière le fameux clivage "droite-gauche" sont en réalité tous les mêmes. Ainsi, le peuple pense que dans nos pays se trouve la liberté et la prospérité, alors même que nos conditions de vie et nos libertés reculent chaque année !
Dans ces soi-disants démocraties, le peuple n'est plus l'objet principal des préoccupations. Ce qui compte réellement, est l'intérêt de cette petite élite néolibérale 'faiseuse de démocratie et de liberté'. Ainsi, seuls quelques milliers de capitalistes corrompus possèdent toutes les industries, tous les moyens de pouvoirs et dirigent utlimement le peuple. Ils ne sont pas intéressés une seule seconde dans la grande masse des personnes qui constitue le peuple. Ces mondialistes conduisent leurs affaires partout où ils le peuvent et répandent leur venin à chaque recoin de la planète. Une petite clique internationale utilisant la misère des uns et tournant leur colère vers les autres, pour que nous ne puissions agir contre eux.La conclusion logique est qu'il nous faut lutter autrement. A ce propos, je vous rappellerais simplement que la République, célébrée et considérée comme légitime par nos citoyens, s'est erigée par la violence et l'exécution d'un roi. La violence était considérée comme légitime pour ces révolutionnaires et nous leur donnons raisons en célébrant le 14 juillet. Elle l'est également aujourd'hui.
https://image.noelshack.com/fichiers/2017/01/1483871441-risitas-a-mort.png tout a fait l'OP, mais pourquoi vouloir ramener le "peuple" à nous, ne devrions pas "nous" trouver la force de migrer dans un lieu, nous rassembler "nous" pour faire peuple. "Nous" conscient du besoin de collectif et attirer à nous plutôt que de geindre pour rien, qui a t'il de plus réaliste à faire que cela ? la force d'inertie avec le confort moderne est bien trop forte pour espérer amorcer un mouvement de défense de la "masse". Il faut nous autonomiser en région façon catalogne, exiger notre indépendance via RIC séparatiste
Parce que ce peuple dont tu parles, il a aussi un pays
et ce pays, c'est notre France kheyou
Le 24 mars 2021 à 14:56:25 Ardat a écrit :
Le 24 mars 2021 à 14:42:58 Chanclure3004 a écrit :
Pour cela, nous devons identifier la source de nos maux.
Nous sommes divisés. A droite comme à gauche, nous pensons que les maux de ces pays ont une cause bien différente. Certains voient les problèmes sociaux et économiques, les inégalités, d'autres voient plutôt l'immigration, la perte d'identité, de valeurs, de tradition. Tout cela ne découle en réalité que d'une même cause, et nos divergences sont futiles.
Je n'ai pas besoin de vous faire un dessin, vous êtes pour la plupart bien conscients, peu importe vos orientations politiques, des dérives de ce pays et plus généralement de l'Occident.
Il est assez évident de décrire la plupart des maux de ce pays. Toute personne née et vivant sur ce sol, pour des raisons et des causes qui lui sont propres, pourra s’accorder sur le fait que notre Nation tend à régresser. Je ne m'attarderais pas à en faire une liste inutile.https://image.noelshack.com/fichiers/2017/06/1486469513-kermit-pensif.png
Pourtant, nous ne faisons rien. Nous attendons, nous plaignons et rêvons secrètement d'un changement qui n'arrive pas. Nous devons changer cet état de passivité, car le péril que nous traversons sera irréversible dans quelques années seulement et nous le savons pertinemment.
La plupart des difficultés que nous traversons proviennent d’une même cause. Une idéologie s’étant emparée de nos élites, de nos institutions, de nos médias et de la quasi-totalité de l’appareil étatique depuis plus de 50 ans. Certains la nomme « néolibéralisme ». D'autres rejettent cette appellation. Peu importe. Les élites occidentales, sous une fausse apparence de pluralité, visent toutes un même objectif : Le marché. Ils dirigent, légifèrent et travaillent pour celui ci au détriment du peuple. Cette emprise du pouvoir, que nous datons souvent des années Thatcher/Reagan a entrainé une politique bien définie :* Suppression des frontières,
- disparition des nations,
- affaiblissement de l'Etat,
- soumission au "marché unique" en Europe,
- financiarisation de l'économie,
- privatisation de nos services publics et politiques d'austérité,
- délocalisations massives, désindustrialisations, et soumission aux puissances étrangères,
- soumission face aux entreprises privées
- Effacement de l'identité et des cultures
- Pouvoir des grands groupes financiers
Voilà seulement quelques exemples de politiques n'ayant qu'une même cause idéologique. Cette œuvre permet à une petite élite financière et mondialisée d'accumuler plus de richesses, de vivre dans le faste, le luxe et la débauche. Tant mieux pour eux. Le problème n'est pas tant l'énormité de leurs gains. Leur crime est de vivre sur le dos de la grande majorité de la population qui subi largement les conséquences de cette doctrine. Ils ont volé notre souveraineté pour l'attribuer à la petite technocratie de Bruxelles, qui ose légiférer à notre place selon une politique que le peuple rejette et a déjà rejeté. Ils nous contraignent, sous peine d'amende de plusieurs millions d'euros, à nous soumettre à leur politique. La CEDH nous impose de même la vision droit de l'Hommiste qui est sienne, toujours au profit non pas des individus et des Nations, mais de l'élite et du marché.
Cette élite néolibérale, par nature minoritaire, à la tête de nos institutions, politiques, étatiques, sociales internationale et économiques, s'appuie sur une force bien plus nombreuses : Les postmodernes.
L'élite néolibérale se sert des postmodernes et ces derniers se complaisent dans le monde néolibéral, bien que chaque camp poursuit des objectifs bien différents.Qui sont les postmodernes ?
Nous pourrions résumer très brièvement notre Histoire contemporaine sous trois étapes décisives :
Nous avons d’abord exécuté Dieu, représenté par l’assassinat de son représentant en janvier 1793.
Puis nous nous sommes libérés des chaines étatiques, détruisant le fascisme et organisant le triomphe de la liberté en France en mai 68
Désormais, nous déconstruisons le modèle traditionnel familial, l'identité de genre, l'ethnie...Toutes ces étapes ne sont guidées que par une seule et même idée : La liberté.
Toute notre Histoire moderne gravite autour de cette idée centrale de liberté, individuelle. Nous pourrions objecter que la liberté n’est pas, en soi, mauvaise. C’est vrai. Mais l’hypertrophie des libertés individuelles a dévoré tout ce qui nous permettait de nous élever, de nous guider et de faire de nous des êtres meilleurs.
Si la religion possédait ses vices, elle nous guidait moralement et nous a permis de créer des civilisations millénaires.
Si l’Etat a engendré des guerres, il a également permis de bâtir de formidables Empire et de construire ce que nous n’aurions pas pu faire sans sa puissance.
La famille quant à elle, a toujours servi de relais à nos mœurs, nos traditions, notre récit, notre identité, et tout ce qui nous compose.
Nous avons été tant épris de liberté que nous avons piétiné et humilier une à une ces institutions. Celles-ci étaient mauvaises, engendraient souffrances, guerres, oppression et malheur. C’est oublier qu’elles nous servaient également de guide. Un guide nécessaire depuis que la grande et terrible question du sens est revenue dans nos vies.Jamais nous n’avons été aussi libre. Jamais nous n’avons été aussi seuls. Jamais nous n’avons été aussi perdus. Une perte de sens et de quête nous poussant à adopter une vision morale suicidaire. Nous voulons jouir, non plus construire. Chacun aspire à être reconnus par les autres mais daigne reconnaitre les siens.
https://image.noelshack.com/fichiers/2017/34/1/1503348150-prions-progres.jpg C’est le premier point qui définit l’idéologie des postmodernes : L’individualisme. Aucune entrave pour l’Homme-Dieu, si ce n’est de respecter les autres Dieux. Mais qu’est ce qu’un Dieu n’aspirant qu’a ses propres intérêts et son propre bonheur ? Un tyran. Un tyran pour lui-même mais aussi pour la société. A la volonté de construction, de grandeur, à la volonté de continuer le récit de nos pères, nous avons préféré la poursuite de notre plaisir instantané. Voici le monde libre de la société de consommation. Un monde où l’instantanéité et l’absence de contrainte nous pousse à un nihilisme destructeur. Nous ne voulons rien d’autre que notre plaisir, en consommant toujours et beaucoup. Ils imposons leur caprice, obligeant chacun à les considérer selon le sexe qu'ils ont choisi. Car même la réalité ne peux les contraindre. Leur être est tout puissant. Cette société est louée par chaque institution en Occident. Voici nos ennemis.
Nous ne devons pas rejeter la liberté. Nous devons rejeter ceux qui ne s’en servent que pour accomplir leurs désirs primaires et réducteurs. Ceux qui ne visent que leur confort, leur bien être et leur personne. Ceux qui ne veulent aucune contrainte, qui n’aspirent qu’au bonheur et à la liberté. Ces esclaves de leurs désirs sont ceux qui défendent ardemment cette société, que certains nomment "gauchos progresssites". Ils ne pourraient accomplir ne serait-ce qu’une infime partie des sacrifices de nos pères. Leur bassesse d’esprit ne peut endurer de telles contraintes pour des aspirations aussi nobles. Leur quête absolue individualiste s’accomplit au détriment des êtres plus sages aspirant à la grandeur de leur Nation. Ces derniers menacent cette société de l’hédonisme et du plaisir. Vous les menacez. Ils vous craignent et c’est pour cela qu’ils vous combattent de toute leur force, vous dépeignant comme des monstres.Voici le dessein de nos ennemis. Les post-modernes, fruits de 50 ans de soumission aux intérêts privés totalitaire, rejettent le beau, la virilité, le concept de Nation, la violence, la mort, et toute ce qui pourrait illustrer une contrainte sur leur être. A la célébration des héros, ils préfèrent célébrer les victimes, les faibles, les faux opprimés. Ce schéma de pensée, jugé par ces adorateurs comme subversif, est défendu par nos élites, nos médias, nos institutions, qui adhèrent quasi unanimement à cette idéologie, en feignant une apparence de pluralisme.
Je ne pense pas qu’il soit nécessaire de vous expliquer pourquoi le néolibéralisme et le postmodernisme qui en découle nuit à notre Nation et en quoi celui-ci est la cause de la déchéance de ce pays dans la plupart des domaines politiques. De la délocalisation de nos industries à l’invasion migratoire, en passant par la déconstruction du « genre », l'opposition du peuple contre lui même, la destruction de nos services publics, l’affaiblissement de l’Etat et de notre souveraineté ainsi que la soumission de l’Homme blanc désigné comme responsable de tous les maux. Mon but est de décrire un bref tableau du portrait de notre ennemi. Non de décrire chaque aspect, conséquences et évènements historiques nous ayant menés à ces jours terribles.
Maintenant que vous savez qui sont nos ennemis - les postmodernes -, à quelle idéologie ils sont soumis économiquement et socialement – Le néolibéralisme – vous pouvez désormais identifier assez facilement qui sont ceux que vous devez politiquement et idéologiquement combattre. Ne vous enfermez pas dans les clivages réducteurs de droite et de gauche. Ils se situent à tous bords et leurs opposants, nous, nous situons également de tous bords.
Que faire me diriez vous ?
Beaucoup souhaitent lutter par les urnes. Ce serait pour eux le seul moyen. C'est oublier que dans nos pays, le capital débridé règne. En réalité, la plupart des journaux et autres outils de propagandes sont largement détenus par quelques propriétaires néolibéraux
https://image.noelshack.com/fichiers/2021/12/3/1616591368-ppa16-2-1-d2778.png
La presse façonne ainsi l'opinion publique. Tous les partis politiques n'ont en réalité aucune différence. Nous savons très bien quelle sera la politique menée, à quelques nuances près, d'ici quelques années. Nous savons déjà qui sera ou ne sera pas élu. Les anciens politiciens, se camouflant derrière le fameux clivage "droite-gauche" sont en réalité tous les mêmes. Ainsi, le peuple pense que dans nos pays se trouve la liberté et la prospérité, alors même que nos conditions de vie et nos libertés reculent chaque année !
Dans ces soi-disants démocraties, le peuple n'est plus l'objet principal des préoccupations. Ce qui compte réellement, est l'intérêt de cette petite élite néolibérale 'faiseuse de démocratie et de liberté'. Ainsi, seuls quelques milliers de capitalistes corrompus possèdent toutes les industries, tous les moyens de pouvoirs et dirigent utlimement le peuple. Ils ne sont pas intéressés une seule seconde dans la grande masse des personnes qui constitue le peuple. Ces mondialistes conduisent leurs affaires partout où ils le peuvent et répandent leur venin à chaque recoin de la planète. Une petite clique internationale utilisant la misère des uns et tournant leur colère vers les autres, pour que nous ne puissions agir contre eux.La conclusion logique est qu'il nous faut lutter autrement. A ce propos, je vous rappellerais simplement que la République, célébrée et considérée comme légitime par nos citoyens, s'est erigée par la violence et l'exécution d'un roi. La violence était considérée comme légitime pour ces révolutionnaires et nous leur donnons raisons en célébrant le 14 juillet. Elle l'est également aujourd'hui.
https://image.noelshack.com/fichiers/2017/01/1483871441-risitas-a-mort.png tout a fait l'OP, mais pourquoi vouloir ramener le "peuple" à nous, ne devrions pas "nous" trouver la force de migrer dans un lieu, nous rassembler "nous" pour faire peuple. "Nous" conscient du besoin de collectif et attirer à nous plutôt que de geindre pour rien, qui a t'il de plus réaliste à faire que cela ? la force d'inertie avec le confort moderne est bien trop forte pour espérer amorcer un mouvement de défense de la "masse". Il faut nous autonomiser en région façon catalogne, exiger notre indépendance via RIC séparatiste
La plupart des idéologies début XXème sont nées de la volonté de contrer ce matérialisme décadent et cet esclavage moderne par le confort. Malgré toutes les forces institutionnelles, plusieurs régimes se sont levés pour contrer le libéralisme bourgeois décadant et le matérialisme. Voila la preuve que tout est poissible. Ces régimes furent toutefois autoritaires et se sont ultimement retournés contre leur propre peuple, dans les guerres et les épurations.
Entre le fascisme, le communisme et le néolibéralisme, il est un monde que nous devons atteindre.
J'appelle justement au rassemblement de tous les souverainistes, de gauche comme de droite, à agir concrètement. J'appelle à une violence contrôlée, non pas contre les personnes ou les biens privés, mais contre les institutions corrompues de ce pays qui nous détruisent littérallement et nous soumettent au Dieu-Marché, organisant le remplacement de notre peuple et son délitement culturel/identitaire.
Et je rappelle que la violence est légitime. Tous les régimes politiques nouveaux furent érigés sous une certiane forme de violence. Je n'appelle pas à la décapitation de qui que ce soit contrairement aux révolutionnaires et aux faiseurs de la République (coucou Louis Xvi et les vendées). Ma violence est donc bien plus légitime (et nécessaire).
Le 24 mars 2021 à 14:54:21 Chanclure3004 a écrit :
Le 24 mars 2021 à 14:52:35 loris51 a écrit :
Ton avis sur le marxisme, et l'intérêt de la lutte de classe donc ?Le marxisme est intéressant, mais dangereux, car incomplet. Il n'offre qu'une vision partielle, productiviste et matérialiste du monde. Il est par nature internationaliste car il omet les notions d'identité, de Nation, de culture....Il ne voit que les classes sociales.
De même, le marxisme propose un enfer pour arriver à une utopie (qui est par nature impossible à atteindre). C'est pourquoi les régimes communistes ont TOUS foiré et ne se sont limités qu'a un capitalisme d'Etat totalitaire, opressif et humiliant pour le peuplehttps://image.noelshack.com/fichiers/2017/30/4/1501187858-risitassebestreup.png
Et c'est la chute en-tête de peloton
Comme tu as l'air d'être honnête dans ta réflexion, je te corrige, tu en fais ce que tu veux.
Le marxisme n'offre pas une "vision" du monde, il propose une analyse du réel historique par la méthode matérialiste dialectique. Cette méthode est totalisante, néanmoins ce qui est in fine a la base des sociétés humaines ce sont bien les classes sociales, et la lutte entre ces classes est le moteur de l'histoire. Le marxisme ne nie pas la culture, la Nation ou l'identité, il les relativise à la lutte des classes.
Le marxisme ne propose rien du tout, pas plus qu'il ne prétend atteindre a un idéal. C'est par l'analyse du mouvement réel du capitalisme qu'on peut saisir ses contradictions et donc son dépassement, parce que le reel est essentiellement dialectique. Les régimes communistes n'ont pas "foiré", pas plus que l'enfant qui tombe la première fois qu'il essaie de marcher n'a vécu un échec. C'est simplement le mouvement historique qui produit des formes d'abolition du capitalisme, qui d'abolir tôt ou tard.
Le 24 mars 2021 à 14:57:09 Sephix2030 a écrit :
très intéressant et je partage la grande majorité des idées/ points de vue évoquésSauf que je suis sceptique sur la porte de sortie violente, je pense que c'est notre avenir inévitable (notamment à cause d'une potentielle guerre civile entre natio+français vs islamiste+musulmans/minorités), mais est-ce souhaitable ?
ceci dit, je préfère encore que ça arrive plutôt que de faire la politique de "la paix à tout prix"Est-ce qu'une révolution fonctionnerait ? j'ai l'impression que l'individualisme est allé trop loin, s'est implanté trop profondément dans les gens, ils ne se soulèveront plus, même si j'espère avoir tort..
C'est allé tellement loin que même la pratique du catholicisme est plutôt une minorité en France comme tu as décrit rapidement dans ce pavé..
Il n'y aura aucune guerre. Un remplacement démographique, une Brésilation de la France (Ghettos, métissage, territoires perdus, gangs, pauvreté, inégalité, corruption) mais aucune guerre. Simplement parce que nous manquons d'armes, d'organisation ou même de volonté politique.
N'oubliez jamais que très nombreux sont les souverainistes et les amoureux de la Nation, de gauche comme de droite.
L'auteur j'ai tout lu et je suis d'accord avec toi sur beaucoup de chose .
Que proposes-tu de concret pour le forumeur moyen, si ce n'est bien sûr de ne pas adhérer à ces idéologies nauséabondes ( ce que je pense font déjà beaucoup de personne).
Et sinon, vive le Roi
J'ai arrêté quand t'as commencé à parler de néolibéralisme.
Ça veut dire que t'as rien compris à la situation actuelle en France. Et les postmodernes dont tu parles sont justement une opposition majeure au néolibéralisme et les différents mouvements de droite sont plus proches de Thatcher que de n'importe quoi d'autre.
Et sinon, le néolibéralisme veut à la fois tout et rien dire. Car il met dans le même sac des choses assez différentes juste car elles s'opposent aux politiques économiques de gauche.
Le 24 mars 2021 à 15:08:07 1028qwer a écrit :
L'auteur j'ai tout lu et je suis d'accord avec toi sur beaucoup de chose .Que proposes-tu de concret pour le forumeur moyen, si ce n'est bien sûr de ne pas adhérer à ces idéologies nauséabondes ( ce que je pense font déjà beaucoup de personne).
Et sinon, vive le Roi
https://image.noelshack.com/fichiers/2018/28/3/1531309016-maitre-course-rfc.png .
Partager ces vérités, redpill en masse, s'informer, créer des rassemblements de personnes pour agir physiquement sur le terrain et ainsi mieux diffuser nos idées. C'est une guerre. Une guerre idéologique et spirituelle. C'est un travail gigantesque et nécessaire. Une fois que le peuple aura compris quel est le véritable ennemi, alors nous pourrons éventuellement agir.
Mais nous devons agir et pas simplement rester derrière nos PC.
Le 24 mars 2021 à 15:09:04 Plasticoman013 a écrit :
J'ai arrêté quand t'as commencé à parler de néolibéralisme.Ça veut dire que t'as rien compris à la situation actuelle en France. Et les postmodernes dont tu parles sont justement une opposition majeure au néolibéralisme et les différents mouvements de droite sont plus proches de Thatcher que de n'importe quoi d'autre.
Et sinon, le néolibéralisme veut à la fois tout et rien dire. Car il met dans le même sac des choses assez différentes juste car elles s'opposent aux politiques économiques de gauche.
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Et dire que le problème vient de l'affaiblissement de l'état alors qu'on vit dans une économie à moitié collectivisée, en France...
Sinon le gros problème c'est que tu penses que le postmodernisme prône l'individualisme ce qui est faux, il prône au contraire l'effacement de l'individu derrière le groupe et ses caractéristiques.