"Les RÉCIDIVISTES ont leur PLACE en FRANCE" (LFI)

WALKUREROMANZE
2021-03-05 12:08:16

Multirécidiviste algérien clandestin ayant mis un photographe de presse dans le coma : « il a autant sa place en France que n’importe quel autre récidiviste » lance Aurélien Le Coq (LFI)

https://twitter.com/ange_agostini/status/1367543252669390850

Portrait de l'individu en question :

Un multirécidiviste déjà condamné à huit reprises
Né le 18 avril 1999 en Algérie, Anes Saïd Khebbeb n’a pas encore 22 ans mais déjà un solide passé judiciaire : huit condamnations prononcées en 2018 et 2019 pour des affaires de « vols avec effraction, violences et usage de stupéfiants ». Les premières peines sont tombées pour des faits commis alors qu’il était encore mineur, prononcées par le tribunal pour enfants de Bobigny, en Seine-Saint-Denis, où il vivait auparavant, à Stains, après avoir grandi en Espagne (il est titulaire d’une carte de séjour espagnole).

Comme nombre de familles domiciliées en région parisienne, la sienne a ensuite rejoint le parc social rémois, « il y a environ trois ans », pour s’installer à Croix-du-Sud (l’un des sous-quartiers de Croix-Rouge).

ADDICTION AU CANNABIS

Grand brun longiligne, tout mince, visage encore adolescent qui contraste avec la gravité des faits qui lui sont reprochés, Anes Saïd Khebbeb n’a pas mis longtemps pour apparaître sur les radars du commissariat de Reims. Au chapitre des « usages de stupéfiants », une première arrestation est intervenue en mars 2019, une deuxième en mai 2019 (300 euros d’amende), une troisième le 2 juillet 2019 (90 jours-amende à 10 euros), une quatrième dès le 15 juillet 2019.

Ce jour-là, surpris par une patrouille rue Berthe-Morisot à Croix-du-Sud, il fut trouvé en possession de 14 barrettes de cannabis dans sa sacoche. Au total, 88 grammes qu’il réservait pour sa consommation personnelle, avait-il dit. Déféré au parquet dans le cadre d’un plaider-coupable, il fut condamné à six mois de prison dont deux mois ferme aménageables.

ARRIVÉE MOUVEMENTÉE AU PALAIS DE JUSTICE

Jugé à la même époque pour des « violences en réunion », il fut brièvement incarcéré l’année suivante, du 16 avril au 19 mai 2020, pour ne pas avoir effectué un travail d’intérêt général. Il était actuellement suivi par le juge d’application des peines dans le cadre de l’exécution d’une peine de sursis assortie de l’obligation d’effectuer un autre travail d’intérêt général.

Sans emploi ni formation, Anes Saïd Khebbeb a gardé le silence devant le juge des libertés et de la détention, tête basse, calme. Il était dans un tout autre état lors de son arrivée au palais de justice.

Sans doute électrisé par la présence de sa mère, qui hurlait en larmes contre la porte de la souricière qui venait de se refermer, le jeune homme a vociféré on ne sait trop quoi, avant que ses cris ne se perdent dans les couloirs du tribunal. Alerté par le remue-ménage, le procureur de la République Matthieu Bourrette est sorti pour discuter avec la mère, qu’il a réussi à calmer.

https://www.lunion.fr/id237759/article/2021-03-04/agression-de-notre-journaliste-reims-57secondes-de-violence-extreme

WALKUREROMANZE
2021-03-05 12:09:12

Aurélien Le Cuck est très foncé par ailleurs :(

BullyMcguire
2021-03-05 12:10:07

comment on peut valider les propos d'Aurélien Le cuck ?

NordicFrontier
2021-03-05 12:12:14

Un Algérien ? Bizarre :)

Lambda3
2021-03-05 12:12:40

:hap:

Streaming
2021-03-05 12:13:54

LFI est absolument ridicule, heureusement que Mélenchon a fini 4ème (même 5ème derrière l'abstention) en 2017, on a évité qu'il soit "premier opposant" à Macron (car évidemment il aurait perdu au second tour face à Macron) :)

ZtouchRP
2021-03-05 12:13:56

Le 05 mars 2021 à 12:08:16 WALKUREROMANZE a écrit :
Multirécidiviste algérien clandestin ayant mis un photographe de presse dans le coma : « il a autant sa place en France que n’importe quel autre récidiviste » lance Aurélien Le Coq (LFI)

https://twitter.com/ange_agostini/status/1367543252669390850

Portrait de l'individu en question :

Un multirécidiviste déjà condamné à huit reprises
Né le 18 avril 1999 en Algérie, Anes Saïd Khebbeb n’a pas encore 22 ans mais déjà un solide passé judiciaire : huit condamnations prononcées en 2018 et 2019 pour des affaires de « vols avec effraction, violences et usage de stupéfiants ». Les premières peines sont tombées pour des faits commis alors qu’il était encore mineur, prononcées par le tribunal pour enfants de Bobigny, en Seine-Saint-Denis, où il vivait auparavant, à Stains, après avoir grandi en Espagne (il est titulaire d’une carte de séjour espagnole).

Comme nombre de familles domiciliées en région parisienne, la sienne a ensuite rejoint le parc social rémois, « il y a environ trois ans », pour s’installer à Croix-du-Sud (l’un des sous-quartiers de Croix-Rouge).

ADDICTION AU CANNABIS

Grand brun longiligne, tout mince, visage encore adolescent qui contraste avec la gravité des faits qui lui sont reprochés, Anes Saïd Khebbeb n’a pas mis longtemps pour apparaître sur les radars du commissariat de Reims. Au chapitre des « usages de stupéfiants », une première arrestation est intervenue en mars 2019, une deuxième en mai 2019 (300 euros d’amende), une troisième le 2 juillet 2019 (90 jours-amende à 10 euros), une quatrième dès le 15 juillet 2019.

Ce jour-là, surpris par une patrouille rue Berthe-Morisot à Croix-du-Sud, il fut trouvé en possession de 14 barrettes de cannabis dans sa sacoche. Au total, 88 grammes qu’il réservait pour sa consommation personnelle, avait-il dit. Déféré au parquet dans le cadre d’un plaider-coupable, il fut condamné à six mois de prison dont deux mois ferme aménageables.

ARRIVÉE MOUVEMENTÉE AU PALAIS DE JUSTICE

Jugé à la même époque pour des « violences en réunion », il fut brièvement incarcéré l’année suivante, du 16 avril au 19 mai 2020, pour ne pas avoir effectué un travail d’intérêt général. Il était actuellement suivi par le juge d’application des peines dans le cadre de l’exécution d’une peine de sursis assortie de l’obligation d’effectuer un autre travail d’intérêt général.

Sans emploi ni formation, Anes Saïd Khebbeb a gardé le silence devant le juge des libertés et de la détention, tête basse, calme. Il était dans un tout autre état lors de son arrivée au palais de justice.

Sans doute électrisé par la présence de sa mère, qui hurlait en larmes contre la porte de la souricière qui venait de se refermer, le jeune homme a vociféré on ne sait trop quoi, avant que ses cris ne se perdent dans les couloirs du tribunal. Alerté par le remue-ménage, le procureur de la République Matthieu Bourrette est sorti pour discuter avec la mère, qu’il a réussi à calmer.

https://www.lunion.fr/id237759/article/2021-03-04/agression-de-notre-journaliste-reims-57secondes-de-violence-extreme

https://image.noelshack.com/fichiers/2021/09/5/1614942833-capture-d-ecran-2021-03-05-a-12-13-40.png

Conjugaison
2021-03-05 12:15:08

Les gauchistes, ces grands amis du peuple honnête et travailleur. :hap:

Reltz
2021-03-05 12:16:01

Les culs LF :malade:

FreeHateSpeech
2021-03-05 12:38:21

Au-delà de la caricature :rire:

LudwigEn60fps
2021-03-05 12:39:40

https://image.noelshack.com/fichiers/2017/21/1495884791-le-cuck-sportif.pnghttps://image.noelshack.com/fichiers/2017/21/1495991700-cuck2.pnghttps://image.noelshack.com/fichiers/2017/18/1493833836-maitre-cuck.jpg

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