La chirurgie de réattribution sexuelle est la honte du milieu médical
Elnoobator11
2021-02-27 20:54:56
1 : La chirurgie de réattribution sexuelle mutile un corps sain et dépourvu de maladies. Entreprendre une opération chirurgicale sur un corps qui n'est pas malade implique obligatoirement des risques non-nécessaires. La chirurgie de réattribution sexuelle viole donc le principe hippocratique : "primum non nocere" : ”d'abord, ne pas nuire."
2 : Les personnes qui demandent une chirurgie de réattribution sexuelle peuvent penser qu'elles sont piégées dans un corps d'un sexe qui ne correspond pas au leur. Cependant, cette croyance est engendrée par une perception de soi biaisée et faussée. En termes médicale, on parle de diagnostic d'illusion sensorielle dans laquelle la personne détient "une opinion trompeuse basée sur l'inférence incorrecte au sujet de la réalité externe qui est ferme supportée en dépit de ce que presque tous les autres croit et en dépit de ce qui constitue l'épreuve ou la preuve inconvertible et évidente à l'effet contraire".
3 : La chirurgie de réattribution sexuelle offre donc une solution chirurgicale à des problèmes psychiatriques, tels que le refus d'accepter la qualité de sa propre masculinité ou féminité, l'absence de relations émotionnelles stables durant l'enfance avec des personnes du même sexe ou avec des parents, le rejet de soi, le trouble de l'identité sexuelle, l'addiction à la masturbation et à l'assouvissement des fantasmes, l'image déséquilibrée du corps humain, des excès colériques et rebelles, et une sévère pscyhopathologie liée à l'enfance.
4 : La chirurgie de réattributions sexuelle n'accomplit pas ce qu'elle prétend accomplir. Cela ne transforme pas le sexe de la personne (celui-ci étant déterminé génétiquement par les chromosomes). Par conséquent, la chirurgie de réattribution sexuelle ne procure strictement aucun bénéfice réel au patient.
5 : La chirurgie de réattribution sexuelle est une transformation permantente, fonctionnellement irréversible, et constitue une tentative souvent insatisfaisante de changer, par la chirurgie, ce qui n'est probablement qu'un trouble psychiatrique (pouvant être soigné par des méthodes psychothérapeutiques) temporaire.
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En conclusion, la chirurgie de réattribution sexuelle est une pratique honteuse qui viole totalement les principes fondamentaux qui ont guidé et permis au fil des siècles la constitution d'une médecine efficace et éthique.
Elnoobator11
2021-02-27 20:55:39
up, j'ai été ban pour l'ancien topic
on peut plus faire de la recherche sans être persécuté dans ce monde de fou
Marcurito
2021-02-27 20:58:07
t'as bien raison
Ampacher2
2021-02-27 21:00:49
Bref, j'ai commencé à lire ton études et outre que ça soulève des problèmes qui sont effectivement constatés (srs, ffs, hrt pas toujours réussi pour atténuer la dysphorie de genre), le médecin qui à mené l'étude est tout de même ouvertement homophobe et transphobe.
Ceci dis, une études orienté dans l'autre sens, ne serait pas très crédible non plus.
Tu n'en as pas une plus neutre?
Elnoobator11
2021-02-27 21:04:34
Le 27 février 2021 à 21:00:49 Ampacher2 a écrit :
Bref, j'ai commencé à lire ton études et outre que ça soulève des problèmes qui sont effectivement constatés (srs, ffs, hrt pas toujours réussi pour atténuer la dysphorie de genre), le médecin qui à mené l'étude est tout de même ouvertement homophobe et transphobe.
Ceci dis, une études orienté dans l'autre sens, ne serait pas très crédible non plus.
T'as pas une études plus neutre?
Preuve ?
TarteAuRicard
2021-02-27 21:04:58
On peut aussi noter que si on demande explicitement à des personnes transgenres si leur transition a amélioré leur confort de vie, on aura une majorité de réponses positives.
En revanche si on essaye de mesurer leur niveau de bonheur de manière plus objective, on obtient des résultats de nature très différente (= la transition ne change à peu près que dalle). La flemme de retrouver la source, c'était sur le blog/site d'un.e détranstionneur.euse.
J'attribuerais ça à un énorme biais qui fait que leur transition leur ayant coûté du fric, du temps et sans aucun doute des amis et des proches, iels auront énormément de mal à reconnaître que ça n'a finalement rien changé ou presque.
Onizuka1915
2021-02-27 21:05:31
Go Thaïlande l'auteur. Je sais que tu es meurt d'envie
Ampacher2
2021-02-27 21:06:00
Le 27 février 2021 à 21:04:34 Elnoobator11 a écrit :
Le 27 février 2021 à 21:00:49 Ampacher2 a écrit :
Bref, j'ai commencé à lire ton études et outre que ça soulève des problèmes qui sont effectivement constatés (srs, ffs, hrt pas toujours réussi pour atténuer la dysphorie de genre), le médecin qui à mené l'étude est tout de même ouvertement homophobe et transphobe.
Ceci dis, une études orienté dans l'autre sens, ne serait pas très crédible non plus.
T'as pas une études plus neutre?
Preuve ?
'''Prises de position sur l'homosexualité et la transidentité
Selon McHugh, la transidentité est un « trouble mental » et le changement de sexe est « biologiquement impossible » et « prétendre qu'il s'agit là d'une question de droits civils et encourager l'intervention chirurgicale, c'est en réalité collaborer avec un trouble mental et en faire la promotion »18.
McHugh s'oppose à la chirurgie de réattribution sexuelle pour les transgenres19. En 1979, il ferme la clinique de l'identité sexuelle à Johns Hopkins avec pour justification que la plupart des personnes qui avaient subi des traitements de chirurgie étaient satisfaites de ce qu'elles avaient fait et que seules quelques personnes le regrettaient mais à tous les autres égards, leur état psychologique n'avait guère changé. Ils avaient à peu près les mêmes problèmes de relations, de travail et d'émotions qu'auparavant19. Pour McHugh, la chirurgie de réattribution sexuelle pour les jeunes transgenres est comparable à faire « une liposuccion à un enfant anorexique »20,21.
Le Dr McHugh a critiqué les lois de Californie, du New Jersey et du Massachusetts interdisant les traitements psychiatriques de mineurs avec troubles de l’identité sexuelle22.
McHugh considère l'homosexualité comme un « désir erroné » (erroneous desire)23 et appuie la Proposition 8 de la Californie. Il est coauteur d'une critique du traitement médical des jeunes transgenres24 publiée par le American College of Pediatricians.
En août 2016, McHugh a participé à une revue de littérature scientifique sur le genre et la sexualité dans The New Atlantis, une revue publiée sous les auspices du Ethics and Public Policy Center25,26.
Publications'''
https://fr.wikipedia.org/wiki/Paul_R._McHugh
C'est le médecin qui à mené l'étude en question
Elnoobator11
2021-02-27 21:07:36
Non, le médecin qui a mené l'étude s'appelle Richard P. Fitzgibbons, par contre il cite McHugh il est vrai.
Ampacher2
2021-02-27 21:08:28
Le 27 février 2021 à 21:04:58 TarteAuRicard a écrit :
On peut aussi noter que si on demande explicitement à des personnes transgenres si leur transition a amélioré leur confort de vie, on aura une majorité de réponses positives.
En revanche si on essaye de mesurer leur niveau de bonheur de manière plus objective, on obtient des résultats de nature très différente (= la transition ne change à peu près que dalle). La flemme de retrouver la source, c'était sur le blog/site d'un.e détranstionneur.euse.
J'attribuerais ça à un énorme biais qui fait que leur transition leur ayant coûté du fric, du temps et sans aucun doute des amis et des proches, iels auront énormément de mal à reconnaître que ça n'a finalement rien changé ou presque.
Ouais, il y aussi le problème des parents qui cède au caprice des mômes et ceux qui tombent sur des médecins bien trop conciliants.
Il y a un manque cruel d'encadrement dans ce domaine, j'ai bien l'impression.
TarteAuRicard
2021-02-27 21:09:36
Le 27 février 2021 à 21:06:00 Ampacher2 a écrit :
Le 27 février 2021 à 21:04:34 Elnoobator11 a écrit :
Le 27 février 2021 à 21:00:49 Ampacher2 a écrit :
Bref, j'ai commencé à lire ton études et outre que ça soulève des problèmes qui sont effectivement constatés (srs, ffs, hrt pas toujours réussi pour atténuer la dysphorie de genre), le médecin qui à mené l'étude est tout de même ouvertement homophobe et transphobe.
Ceci dis, une études orienté dans l'autre sens, ne serait pas très crédible non plus.
T'as pas une études plus neutre?
Preuve ?
'''Prises de position sur l'homosexualité et la transidentité
Selon McHugh, la transidentité est un « trouble mental » et le changement de sexe est « biologiquement impossible » et « prétendre qu'il s'agit là d'une question de droits civils et encourager l'intervention chirurgicale, c'est en réalité collaborer avec un trouble mental et en faire la promotion »18.
McHugh s'oppose à la chirurgie de réattribution sexuelle pour les transgenres19. En 1979, il ferme la clinique de l'identité sexuelle à Johns Hopkins avec pour justification que la plupart des personnes qui avaient subi des traitements de chirurgie étaient satisfaites de ce qu'elles avaient fait et que seules quelques personnes le regrettaient mais à tous les autres égards, leur état psychologique n'avait guère changé. Ils avaient à peu près les mêmes problèmes de relations, de travail et d'émotions qu'auparavant19. Pour McHugh, la chirurgie de réattribution sexuelle pour les jeunes transgenres est comparable à faire « une liposuccion à un enfant anorexique »20,21.
Le Dr McHugh a critiqué les lois de Californie, du New Jersey et du Massachusetts interdisant les traitements psychiatriques de mineurs avec troubles de l’identité sexuelle22.
McHugh considère l'homosexualité comme un « désir erroné » (erroneous desire)23 et appuie la Proposition 8 de la Californie. Il est coauteur d'une critique du traitement médical des jeunes transgenres24 publiée par le American College of Pediatricians.
En août 2016, McHugh a participé à une revue de littérature scientifique sur le genre et la sexualité dans The New Atlantis, une revue publiée sous les auspices du Ethics and Public Policy Center25,26.
Publications'''
https://fr.wikipedia.org/wiki/Paul_R._McHugh
C'est le médecin qui à mené l'étude en question
L'éternel débat : est-ce de la transphobie ou du bon sens ?
Ampacher2
2021-02-27 21:11:49
Le 27 février 2021 à 21:07:36 Elnoobator11 a écrit :
Non, le médecin qui a mené l'étude s'appelle Richard P. Fitzgibbons, par contre il cite McHugh il est vrai.
Oui enfin bon, reprendre l'étude d'un mec orienté ne rend pas une étude plus neutre, hein?
Moi j'attends une véritable études menée par plusieurs professionnels de la questions histoire qu'on ai une vrai conclusion.
Pour l'instant, c'est orienté des deux côtés.
Les pro ne montre que le positif, les anti que le négatifs.
Celle-ci ne fait que montrer des problèmes qui sont connus et régulièrement évoqués d'ailleurs.
C'est bien ce que je reproche.
parpaingfacup
2021-02-27 21:12:22
C'est d'une laideur inouïe, il faut l'interdire.
JacobYemin
2021-02-27 21:12:50
la plupart des médecins se torchent avec le serment d'hippocrate l'auteur tu crois quoi ?
il est écrit dans ce serment par exemple :
je ne remettrai à aucune femme un pessaire abortif
la plupart des médecins ont aucun scrupule à faire des couilles en or en aspirant des gosses
en même temps le serment consiste à jurer devant Apollon
Ampacher2
2021-02-27 21:15:05
Le 27 février 2021 à 21:09:36 TarteAuRicard a écrit :
Le 27 février 2021 à 21:06:00 Ampacher2 a écrit :
Le 27 février 2021 à 21:04:34 Elnoobator11 a écrit :
Le 27 février 2021 à 21:00:49 Ampacher2 a écrit :
Bref, j'ai commencé à lire ton études et outre que ça soulève des problèmes qui sont effectivement constatés (srs, ffs, hrt pas toujours réussi pour atténuer la dysphorie de genre), le médecin qui à mené l'étude est tout de même ouvertement homophobe et transphobe.
Ceci dis, une études orienté dans l'autre sens, ne serait pas très crédible non plus.
T'as pas une études plus neutre?
Preuve ?
'''Prises de position sur l'homosexualité et la transidentité
Selon McHugh, la transidentité est un « trouble mental » et le changement de sexe est « biologiquement impossible » et « prétendre qu'il s'agit là d'une question de droits civils et encourager l'intervention chirurgicale, c'est en réalité collaborer avec un trouble mental et en faire la promotion »18.
McHugh s'oppose à la chirurgie de réattribution sexuelle pour les transgenres19. En 1979, il ferme la clinique de l'identité sexuelle à Johns Hopkins avec pour justification que la plupart des personnes qui avaient subi des traitements de chirurgie étaient satisfaites de ce qu'elles avaient fait et que seules quelques personnes le regrettaient mais à tous les autres égards, leur état psychologique n'avait guère changé. Ils avaient à peu près les mêmes problèmes de relations, de travail et d'émotions qu'auparavant19. Pour McHugh, la chirurgie de réattribution sexuelle pour les jeunes transgenres est comparable à faire « une liposuccion à un enfant anorexique »20,21.
Le Dr McHugh a critiqué les lois de Californie, du New Jersey et du Massachusetts interdisant les traitements psychiatriques de mineurs avec troubles de l’identité sexuelle22.
McHugh considère l'homosexualité comme un « désir erroné » (erroneous desire)23 et appuie la Proposition 8 de la Californie. Il est coauteur d'une critique du traitement médical des jeunes transgenres24 publiée par le American College of Pediatricians.
En août 2016, McHugh a participé à une revue de littérature scientifique sur le genre et la sexualité dans The New Atlantis, une revue publiée sous les auspices du Ethics and Public Policy Center25,26.
Publications'''
https://fr.wikipedia.org/wiki/Paul_R._McHugh
C'est le médecin qui à mené l'étude en question
L'éternel débat : est-ce de la transphobie ou du bon sens ?
Il n'y a pas de réel débat.
Qu'est-ce qu'on s'en fiche en réalité?
Elnoobator11
2021-02-27 21:17:27
Le 27 février 2021 à 21:11:49 Ampacher2 a écrit :
Le 27 février 2021 à 21:07:36 Elnoobator11 a écrit :
Non, le médecin qui a mené l'étude s'appelle Richard P. Fitzgibbons, par contre il cite McHugh il est vrai.
Oui enfin bon, reprendre l'étude d'un mec orienté ne rend pas une étude plus neutre, hein?
Moi j'attends une véritable études menée par plusieurs professionnels de la questions histoire qu'on ai une vrai conclusion.
Pour l'instant, c'est orienté des deux côtés.
Les pro ne montre que le positif, les anti que le négatifs.
Celle-ci ne fait que montrer des problèmes qui sont connus et régulièrement évoqués d'ailleurs.
C'est bien ce que je reproche.
Le problème, c'est que de tels études ne sont pas publiés pour plusieurs raisons :
- d'abord, il y a réellement un risque sérieux de nuire à sa réputation et de compromettre sa carrière scientifique
- ensuite, le transsexualisme est trop récent pour qu'il y ait des études de long terme qui puissent évaluer ses conséquences
- et surtout, il y a un marché conséquent autour de tout le transgenrisme et plusieurs entreprises pharmaceutiques qui fondent une grande part de leurs profits sur les hormones de changement de sexe et sur tous les traitements secondaires que cela implique
Bonnearien4
2021-02-27 21:18:03
Je suis d'accord avec l'auteur
gjakova
2021-02-27 21:20:53
Après franchement, les transexuels en France ça court vraiment pas les rues, vous en avez déjà croisé vous ?
Je considère ça un peu comme un "faux débat", ça concerne quelques personnes rares à tout casser, un peu comme ceux qui ont une chirurgie à la Bognadov
C'est au Pakistan, en Iran ou en Thaïlande où ça porte vraiment débat, vu le nombre de transsexuels qui s'y trouvent (top 3 mondial)
Oxitriptan
2021-02-27 21:22:33
C'est ce que j'ai toujours dit et pensé en moins précis cependant
En plus j'ai toujours trouvé cette démarche curieuse à l'ère de l' "acceptation de soi et de son corps", genre les obèses doivent s'accepter tels qu'ils sont mais les transgenres non faut qu'ils changent de sexe
bref