Malandjo ne vient pas ici seulement pour dormir mais pour y trouver l’occasion d’y « trier ses papiers, travailler un peu » au chaud. Le choix ne se fait pas entre sa voiture ou le gymnase mais « sur la possibilité d’aller de l’avant ». « Le problème ce n’est pas le froid, c’est l’ambiance, affirme quant à lui Riadh à quelques mètres de là pendant qu’il recharge son téléphone. Si je dois me battre tous les soirs, c’est un peu chiant. Paris n’est plus sûre pour personne, le soir, c’est chacun pour soi »