XF902-R6
2021-02-03 00:44:37
Je veux sentir ses pieds, JUSTE les sentir, connaître leur odeur.
J'ai même rêvé d'elle putain..
Ce soir-là, ma Estelle à la crème rentrait à la maison après une harassante journée de cours, comme à son habitude.
Je m'empressais de la mettre à l'aise, la délestant de ses affaires, après l'avoir embrassé. Il était plutôt tard, mais il ne faisait pas encore nuit, nous étions en plein milieu de l'été. Ma partenaire avait suée toute la journée. J'imagine sa peau moite, enfermée sous une fine couche de vêtements, tandis qu'elle va s'installer confortablement sur le sofa, relâchant dans un gros soupir toute la tension qu'elle avait emmagasinée ces dernières heures.
Perdu dans mes divagations, je commence à transpirer à mon tour, admirant cette belle éphèbe à la merci de ma perversité. Je me dirige vers elle d'un pas hâtif et m'agenouille à ses pieds, scruté par son regard interrogateur.
- "Nyaaa que fais-tu X-01-F99 ?"
Sa voix attendrissante et apaisante, doublée de son air innocent, ne faisait qu'ajouter à l'érotisme de la situation. Poussé par des pulsions malsaines, j'attrape son mollet d'une main et lui enlève sa chaussure de l'autre, avant de la porter à mon visage. J'hume cet arôme acide mais addictif, je me sens comme un explorateur qui descelle un sarcophage vieux de plusieurs millénaires. Je peux presque visualier ces chaudes odeurs venir s'incruster sur mon visage, être aspirées par mes narines, emplir mes poumons, avant d'être libérées d'un long souffle.
Je pose son soulier après quelques reniflages pour prendre son pied en main. J'en dispose une autour de sa cheville, et la seconde sous sa voûte plantaire. Sa chaussette est trempée et très chaude, j'ai l'impression que son panard bouillonne à l'intérieur. Je retire soigneusement cette chaussette qui a servie d'éponge pour la transpiration de ma dulcinée, dont la senteur embaume presque toute la pièce. M'est ainsi révélé un peton d'un galbe divin, qui a exactement les proportions idéales, tout délicat, malgré sa moiteur.
Ni une ni deux, j'en approche mon visage, et le colle contre ma joue, comme si le maintenir ainsi aurait un quelconque effet thérapeutique. L'odeur de macération et de sueur impreigne mes narines et n'est pas près de se dissiper. Je passe lentement ma langue sous ce délicieux pied, ma compagne sursaute et frissonne. J'ai enfin l'occasion d'avoir le goût en plus de l'odeur, récoltant les quelques gouttes de sueur à même le dessous de son pied sensible. Mon nez et ma bouche sont pleins de ce fumet agressif, contrastant avec la douceur de mon amoureux.
Ses petits orteils aux ongles bien taillés s'agitent sous mes yeux, se crispent un peu à chaque passage de ma langue chaude et humide. Je pose mes lèvres sur ses orteils pour les prendre en bouche, un par un à tour de rôle, ma salive dégoulinant le long de ce pied royal. L'excitation est telle que je continue d'embrasser chaleuresement et sensuellement ses orteils pendant presque un quart d'heure.
À la fin, mes papilles et mes narines commençaient à s'habituer à cet arôme nauséabond, le charme se rompait donc. Je replaçais sa chaussette sur son pied majestueux, puis fis comme si de rien n'était.
D'autres kheys à qui c'est arrivé ?