Le 08 février 2021 à 23:31:38 x0x0x0x a écrit : faut être abonné non
Non,
Oh, heck no. The Trumpites next door to our pandemic getaway, who seem as devoted to the ex-president as you can get without being Q fans, just plowed our driveway without being asked and did a great job.
How am I going to resist demands for unity in the face of this act of aggressive niceness?
Of course, on some level, I realize I owe them thanks — and, man, it really looks like the guy back-dragged the driveway like a pro — but how much thanks?
These neighbors are staunch partisans of blue lives, and there aren’t a lot of anything other than white lives in the neighborhood.
This is also kind of weird. Back in the city, people don’t sweep other people’s walkways for nothing.
Maybe it’s like what Eddie Murphy discovered in that old “Saturday Night Live” sketch “White Like Me.” He goes undercover in white makeup and finds that when white people are among their own, they pop free champagne and live the high life. As Murphy puts it: “Slowly I began to realize that when white people are alone, they give things to each other. For free.”
Hezbollah, the Shiite Islamist political party in Lebanon, also gives things away for free. The favors Hezbollah does for people in the cities Tyre and Sidon probably don’t involve snowplows, but, like other mafias, Hezbollah tends to its own — the Shiite sick, elderly and hungry. They offer protection and hospitality and win loyalty that way. And they also demand devotion to their brutal, us-versus-them anti-Sunni cause. Some of us are family, the favors say; the rest are infidels.
The same is true with Louis Farrakhan, who currently helms the Nation of Islam. While the Southern Poverty Law Center classifies him as a dangerous anti-Semite, much of his flock says he’s just a little screwy and unfailingly magnanimous. To them.
When someone helps you when you’re down, or snowed in, it’s almost impossible to regard them as a blight on the world. In fact, you’re more likely to be overwhelmed with gratitude and convinced of the person’s inherent goodness.
You might end up like the upper-middle-class family I stayed with in France as a teenager. They did not attend a citywide celebration for the 100th birthday of Charles de Gaulle, the war hero who orchestrated the liberation of his country from Nazi Germany in 1944. They did have several portraits of Philippe Pétain, Nazi collaborator, on their wall.
When I screwed up the courage to ask how it was for them during the occupation, the lady of the house replied, “We were happy because the Nazis were very polis.” I didn’t know the word, so I excused myself to consult a French-English dictionary. I was in tears when I found the entry: “polite.”
So when I accept generosity from my pandemic neighbors, acknowledging the legitimate kindness with a wave or a plate of cookies, am I also sealing us in as fellow travelers who are very polis to each other but not so much to “them”?
Loving your neighbor is evidently much easier when your neighborhood is full of people just like you.
What do we do about the Trumpites around us? Like Rep. Alexandria Ocasio-Cortez (D-N.Y.), who spoke eloquently this week about her terrifying experience during the insurrection at the Capitol on Jan. 6, Americans are expected to forgive and forget before we’ve even stitched up our wounds. Or gotten our vaccines against the pandemic that former President Trump utterly failed to mitigate.
My neighbors supported a man who showed near-murderous contempt for the majority of Americans. They kept him in business with their support.
But the plowing.
On Jan. 6, after the insurrection, Sen. Ben Sasse (R-Neb.) issued an aw-shucks plea for all Americans to love their neighbors. The United States, he said, “isn’t Hatfields and McCoys, this blood feud forever.” And, he added, “You can’t hate someone who shovels your driveway.”
At the time, I seethed; the Capitol had just been desecrated. But maybe my neighbor heard Sasse and was determined to make a bid for reconciliation.
So here’s my response to my plowed driveway, for now. Politely, but not profusely, I’ll acknowledge the Sassian move. With a wave and a thanks, a minimal start on building back trust. I’m not ready to knock on the door with a covered dish yet.
I also can’t give my neighbors absolution; it’s not mine to give. Free driveway work, as nice as it is, is just not the same currency as justice and truth. To pretend it is would be to lie, and they probably aren’t looking for absolution anyway.
But I can offer a standing invitation to make amends. Not with a snowplow but by recognizing the truth about the Trump administration and, more important, by working for justice for all those whom the administration harmed. Only when we work shoulder to shoulder to repair the damage of the last four years will we even begin to dig out of this storm.
Oh, bon sang non. Les Trumpites, voisins de notre escapade pandémique, qui semblent aussi dévoués à l'ex-président que vous pouvez l'être sans être des fans du Q, ont juste labouré notre allée sans qu'on leur demande et ont fait un excellent travail.
Comment vais-je résister aux demandes d'unité face à cet acte de gentillesse agressif ?
Bien sûr, à un certain niveau, je me rends compte que je leur dois des remerciements - et, mec, on dirait vraiment que le gars a labouré l'allée comme un pro - mais combien de remerciements ?
Ces voisins sont de fervents partisans des vies bleues, et il n'y a pas beaucoup de choses autres que des vies blanches dans le quartier.
C'est aussi un peu bizarre. De retour en ville, les gens ne balayent pas les allées des autres pour rien.
Peut-être que c'est comme ce qu'a découvert Eddie Murphy dans ce vieux sketch "Saturday Night Live" "White Like Me". Il s'infiltre sous un maquillage blanc et découvre que lorsque les blancs sont parmi les leurs, ils sabrent le champagne gratuitement et vivent la grande vie. Comme le dit Murphy : "Lentement, j'ai commencé à réaliser que lorsque les blancs sont seuls, ils se donnent des choses les uns aux autres. Gratuitement".
Le Hezbollah, le parti politique chiite islamiste au Liban, donne aussi des choses gratuitement. Les faveurs que le Hezbollah accorde aux habitants des villes de Tyr et de Sidon ne concernent probablement pas les chasse-neige, mais, comme d'autres mafias, le Hezbollah s'occupe des siens - les chiites malades, âgés et affamés. Ils offrent protection et hospitalité et gagnent ainsi en loyauté. Et ils exigent également un dévouement à leur cause brutale, nous - contre eux - anti-sunni. Certains d'entre nous sont de la famille, disent les faveurs, les autres sont des infidèles.
Il en va de même pour Louis Farrakhan, qui dirige actuellement la Nation de l'Islam. Alors que le Southern Poverty Law Center le classe comme un dangereux antisémite, une grande partie de son troupeau dit qu'il est juste un peu fou et indéfectiblement magnanime. Pour eux.
Quand quelqu'un vous aide quand vous êtes à terre ou sous la neige, il est presque impossible de le considérer comme un fléau pour le monde. En fait, il est plus probable que vous soyez submergé par la gratitude et convaincu de la bonté inhérente de la personne.
Vous pourriez finir comme la famille de la classe moyenne supérieure dans laquelle j'ai vécu en France à l'adolescence. Ils n'ont pas assisté à une célébration à l'échelle de la ville pour le 100e anniversaire de Charles de Gaulle, le héros de guerre qui a orchestré la libération de son pays de l'Allemagne nazie en 1944. Ils ont cependant eu plusieurs portraits de Philippe Pétain, collaborateur nazi, sur leur mur.
Quand j'ai gâché le courage de leur demander comment c'était pour eux pendant l'occupation, la maîtresse de maison m'a répondu : "Nous étions heureux parce que les nazis étaient très polis". Je ne connaissais pas le mot, alors je me suis excusé pour consulter un dictionnaire français-anglais. J'étais en larmes quand j'ai trouvé l'entrée : "polis".
Alors, quand j'accepte la générosité de mes voisins pandémiques, en reconnaissant la gentillesse légitime par une vague ou une assiette de biscuits, est-ce que je nous enferme aussi comme des compagnons de voyage très polis les uns envers les autres mais pas tellement envers "eux" ?
Il est évidemment beaucoup plus facile d'aimer son voisin lorsque votre quartier est peuplé de gens comme vous.
Que faisons-nous pour les Trumpites qui nous entourent ? Comme la députée Alexandria Ocasio-Cortez (D-N.Y.), qui a parlé avec éloquence cette semaine de son expérience terrifiante lors de l'insurrection au Capitole le 6 janvier, les Américains sont censés pardonner et oublier avant même d'avoir recousu leurs blessures. Ou que nous ayons reçu nos vaccins contre la pandémie que l'ancien président Trump n'a absolument pas réussi à atténuer.
Mes voisins ont soutenu un homme qui a fait preuve d'un mépris presque meurtrier pour la majorité des Américains. Ils l'ont maintenu en activité grâce à leur soutien.
Mais le labourage.
Le 6 janvier, après l'insurrection, le sénateur Ben Sasse (R-Neb.) a lancé un appel à tous les Américains pour qu'ils aiment leurs voisins. Les États-Unis, disait-il, "ne sont pas les Hatfield et les McCoy, cette querelle du sang pour toujours." Et, il a ajouté, "Vous ne pouvez pas détester quelqu'un qui pellette votre allée."
A l'époque, j'ai vu que le Capitole venait d'être profané. Mais peut-être que mon voisin avait entendu Sasse et était déterminé à faire une tentative de réconciliation.
Voici donc ma réponse à mon allée déneigée, pour l'instant. Poliment, mais pas abondamment, je reconnais le geste de Sassien. Avec un signe de la main et des remerciements, c'est un début minimal pour rétablir la confiance. Je ne suis pas encore prêt à frapper à la porte avec un plat couvert.
Je ne peux pas non plus donner l'absolution à mes voisins ; ce n'est pas à moi de la donner. Le travail gratuit dans les allées, aussi agréable soit-il, n'est pas la même monnaie d'échange que la justice et la vérité. Prétendre que c'est le cas serait mentir, et ils ne cherchent probablement pas l'absolution de toute façon.
Mais je peux offrir une invitation permanente à faire amende honorable. Non pas avec un chasse-neige, mais en reconnaissant la vérité sur l'administration Trump et, plus important encore, en œuvrant pour que justice soit rendue à tous ceux que l'administration a lésés. Ce n'est que lorsque nous travaillerons côte à côte pour réparer les dégâts des quatre dernières années que nous pourrons commencer à sortir de cette tempête.
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Le 08 février 2021 à 23:35:04 FromageErectus a écrit : J'ai même pas envi de lire ça a l'air stupide d'avancehttps://image.noelshack.com/fichiers/2017/02/1484127234-jesusah.png
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