nachocerda
2021-02-04 14:56:16
Précision : cette vidéo a disparu du web, si on vous la propose en téléchargement, sachez que sa détention est illégale. Interpol recherche toujours ceux qui ont réalisé cet enregistrement. Elle est connue sous diverses appellations : a feast for ants, gonzo flesh eating ants, the last feast of the cartels, cartel's pets flesh-eaters, cartel’s new pets.
La vidéo qui m'a le plus traumatisé est une vidéo du cartel où un homme était suspendu vivant au-dessus d'une fosse par une sorte de potence, saucissonné pour ne pas qu'il se débatte et enduit de sang de porc. Dans la fosse grouillait une grosse colonie de fourmis légionnaires. Au début de la vidéo, des hommes tatoués à l'accent mexicain, descendent l'homme de manière à ce que les fourmis le sentent et montent sur lui. Ils s'amusent à remonter régulièrement le gars et à le descendre en ricanant pendant une dizaine de minutes. Ensuite ils l'ont laissé à environ 50 cm du fond, les fourmis ont commencé à faire un pont vivant pour accéder au corps du prisonnier. Dans ce film, on entend les cris d'angoisses du pauvre homme et ses cris de douleurs à mesure que les fourmis dépècent son corps, petits morceaux, par petits morceaux. La vidéo était en time lapse avec une pause toutes les heures pour voir l'état du prisonnier. Au bout de 3 heures, toujours vivant, il pleurnichait encore en sortant des phrases incohérentes. Au bout de 4 heures les fourmis formèrent un deuxième pont et, détail fascinant montrant l'organisation de ces insectes, l'un des ponts servait à monter vers le corps et l'autre à redescendre les petits morceaux de chair vers le nid. Au bout de 6 heures, le pauvre gars poussait des cris qui ressemblaient à de longs hululements à peine humains et le blancs des os de ses membres et de son crâne devenait visible, pourtant le supplicié s'accrochait toujours à la vie. Au bout de 8 heures, le supplicié ne criait plus mais son corps écorché et décharné était toujours secoué de spasmes. On dit que son calvaire dura 12 heures, les fourmis faisant leur travail, inlassablement, petits morceaux par petits morceaux.
A l'arrière-plan de la vidéo, à côté du lieu du supplice, se trouvait une maison et à l'étage de cette maison, la lumière allumée d'une chambre dont la fenêtre était grand ouverte. Dans cette chambre était enfermé le chef de la police locale qui avait décidé de mener une croisade contre le cartel. Le supplicié était son fils aîné, dernier survivant d'une fratrie de trois.
LoserDeter
2021-02-04 15:01:08
Le 04 février 2021 à 14:56:16 NachoCerda a écrit :
Précision : cette vidéo a disparu du web, si on vous la propose en téléchargement, sachez que sa détention est illégale. Interpol recherche toujours ceux qui ont réalisé cet enregistrement. Elle est connue sous diverses appellations : a feast for ants, gonzo flesh eating ants, the last feast of the cartels, cartel's pets flesh-eaters, cartel’s new pets.
La vidéo qui m'a le plus traumatisé est une vidéo du cartel où un homme était suspendu vivant au-dessus d'une fosse par une sorte de potence, saucissonné pour ne pas qu'il se débatte et enduit de sang de porc. Dans la fosse grouillait une grosse colonie de fourmis légionnaires. Au début de la vidéo, des hommes tatoués à l'accent mexicain, descendent l'homme de manière à ce que les fourmis le sentent et montent sur lui. Ils s'amusent à remonter régulièrement le gars et à le descendre en ricanant pendant une dizaine de minutes. Ensuite ils l'ont laissé à environ 50 cm du fond, les fourmis ont commencé à faire un pont vivant pour accéder au corps du prisonnier. Dans ce film, on entend les cris d'angoisses du pauvre homme et ses cris de douleurs à mesure que les fourmis dépècent son corps, petits morceaux, par petits morceaux. La vidéo était en time lapse avec une pause toutes les heures pour voir l'état du prisonnier. Au bout de 3 heures, toujours vivant, il pleurnichait encore en sortant des phrases incohérentes. Au bout de 4 heures les fourmis formèrent un deuxième pont et, détail fascinant montrant l'organisation de ces insectes, l'un des ponts servait à monter vers le corps et l'autre à redescendre les petits morceaux de chair vers le nid. Au bout de 6 heures, le pauvre gars poussait des cris qui ressemblaient à de longs hululements à peine humains et le blancs des os de ses membres et de son crâne devenait visible, pourtant le supplicié s'accrochait toujours à la vie. Au bout de 8 heures, le supplicié ne criait plus mais son corps écorché et décharné était toujours secoué de spasmes. On dit que son calvaire dura 12 heures, les fourmis faisant leur travail, inlassablement, petits morceaux par petits morceaux.
A l'arrière-plan de la vidéo, à côté du lieu du supplice, se trouvait une maison et à l'étage de cette maison, la lumière allumée d'une chambre dont la fenêtre était grand ouverte. Dans cette chambre était enfermé le chef de la police locale qui avait décidé de mener une croisade contre le cartel. Le supplicié était son fils aîné, dernier survivant d'une fratrie de trois.
Comme quoi les membres de cartels sont pas seulement violents, ils sont intelligents.
nachocerda
2021-02-04 15:02:13
Le 04 février 2021 à 15:01:08 LoserDeter a écrit :
Le 04 février 2021 à 14:56:16 NachoCerda a écrit :
Précision : cette vidéo a disparu du web, si on vous la propose en téléchargement, sachez que sa détention est illégale. Interpol recherche toujours ceux qui ont réalisé cet enregistrement. Elle est connue sous diverses appellations : a feast for ants, gonzo flesh eating ants, the last feast of the cartels, cartel's pets flesh-eaters, cartel’s new pets.
La vidéo qui m'a le plus traumatisé est une vidéo du cartel où un homme était suspendu vivant au-dessus d'une fosse par une sorte de potence, saucissonné pour ne pas qu'il se débatte et enduit de sang de porc. Dans la fosse grouillait une grosse colonie de fourmis légionnaires. Au début de la vidéo, des hommes tatoués à l'accent mexicain, descendent l'homme de manière à ce que les fourmis le sentent et montent sur lui. Ils s'amusent à remonter régulièrement le gars et à le descendre en ricanant pendant une dizaine de minutes. Ensuite ils l'ont laissé à environ 50 cm du fond, les fourmis ont commencé à faire un pont vivant pour accéder au corps du prisonnier. Dans ce film, on entend les cris d'angoisses du pauvre homme et ses cris de douleurs à mesure que les fourmis dépècent son corps, petits morceaux, par petits morceaux. La vidéo était en time lapse avec une pause toutes les heures pour voir l'état du prisonnier. Au bout de 3 heures, toujours vivant, il pleurnichait encore en sortant des phrases incohérentes. Au bout de 4 heures les fourmis formèrent un deuxième pont et, détail fascinant montrant l'organisation de ces insectes, l'un des ponts servait à monter vers le corps et l'autre à redescendre les petits morceaux de chair vers le nid. Au bout de 6 heures, le pauvre gars poussait des cris qui ressemblaient à de longs hululements à peine humains et le blancs des os de ses membres et de son crâne devenait visible, pourtant le supplicié s'accrochait toujours à la vie. Au bout de 8 heures, le supplicié ne criait plus mais son corps écorché et décharné était toujours secoué de spasmes. On dit que son calvaire dura 12 heures, les fourmis faisant leur travail, inlassablement, petits morceaux par petits morceaux.
A l'arrière-plan de la vidéo, à côté du lieu du supplice, se trouvait une maison et à l'étage de cette maison, la lumière allumée d'une chambre dont la fenêtre était grand ouverte. Dans cette chambre était enfermé le chef de la police locale qui avait décidé de mener une croisade contre le cartel. Le supplicié était son fils aîné, dernier survivant d'une fratrie de trois.
Comme quoi les membres de cartels sont pas seulement violents, ils sont intelligents.
C'est dingue on dirait un retour à la culture aztèque mais sans la religion