Je ne travaillerais pas si je n'aime pas mon travail

Et ca n'a rien à voir avec le salaire; j'aurais accepté un smic dans un domaine vraiment spécifique l'année dernière.
Simplement je n'aurais plus l'énergie et les capacités de me lever, seul, de prendre ma douche, de me rendre dans un bureau glacial et de faire des taches insipides tous les jours de la boucle que forme le travail.
Mes parents et grands-parents me traitent de fainéants.. Je me qualifierais plus de fragile. J'aimerais travailler mais seulement dans uns secteur qui me passionne, malheureusement rien ne me plait.

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Et bien que fais tu pour trouver qqch qui t'intéresse ?

Moi y a des trucs qui me plaisent mais qui ne sont pas lucratifs (ou alors seulement pour une infime minorité)

Donc plus tard je compte m'installer en forêt et faire ce qui me plait en toute autonomie/indépendance.

En fait je supporte pas qu'on me dise de faire-ci ou de faire-ça. Je veux pouvoir faire selon mon bon vouloir et selon le rythme qui me convient, ce qui est incompatible avec 99% des jobs à l'heure actuelle

Même un boulot que j'aime, je commence à vriller après 6 mois - 1 an, c'est la monotonie des horaires qui me débecte.

Le 27 janvier 2021 à 21:23:10 LeBonJarret a écrit :
Même un boulot que j'aime, je commence à vriller après 6 mois - 1 an, c'est la monotonie des horaires qui me débecte.

Un travail passe forcément par une forme de répétition, de routine et de monotonie. C’est du bullshit les jobs où chaque jour tu t’émerveilles.

Comme beaucoup. Je ne me vois pas non plus bosser toute ma vie pour un truc dont je me fous. Mais le problème étant que ce que j'aime est peu lucratif, difficile d'en faire un métier.
Vivre en produisant sa nourriture, en s'occuper de son terrain, avoir ses activités à côté pour générer un peu d'argent pour les besoins basiques, c'est mon objectif.

Le 27 janvier 2021 à 21:24:03 IamCoroned a écrit :

Le 27 janvier 2021 à 21:23:10 LeBonJarret a écrit :
Même un boulot que j'aime, je commence à vriller après 6 mois - 1 an, c'est la monotonie des horaires qui me débecte.

Un travail passe forcément par une forme de répétition, de routine et de monotonie. C’est du bullshit les jobs où chaque jour tu t’émerveilles.

C'est pourquoi pour moi le mal n'est pas dans la fonction, mais la condition.
Rien qu'avec un mi-temps condensé ça a changer ma vie. Moins de pognon certes, mais fini la de lassitude de la répétitivité 5/7. Avoir plus de jours libres que de jours de boulot, change complétement les perspectives et l’appréciation.