Johlthan
2021-01-25 18:43:58
et le lâché des poissons, nageant dans l'origan et le doux supplice de l'infamie. Et dans cette folie, dans ce nectar délicieux, plonge avec lui l'envolée des crustacées et le balancement des dauphins entre deux eaux, nourricières entres elles. La carte est posé, elle se débat et s'étale sur la table, c'est les dauphins que nous sommes venus cherchés. Harpons et fer, nous plongeons dans la mer, pour y découvrir l'épouvantail de nos restes, la survie de l'espèce. Ainsi l'Homme est arrivé, il trempe sa main dans le bac a glaçon et y retient du sang qu'il ne saurait scarifier pour la peine. Le sang jaillit, oui il jaillit. La fleur éclot et laisse apparaître les pétales de la charnalité, du corps glacé d'épouvante laissant apparaître la nuée glaciale de l'eau trouble et du sang estampillé du sceau des templiers. La croix se hisse, elle se dresse devant nous. Nous y abandonnons toute notre vertu, car c'est là que nous y voyons notre plus grande pleine, notre sentinelle qui s'étonne qu'il n'y ait pas encore de soldats qui passent.
Voit chevalier, regarde l'horizon et dit nous si tu vois des lucioles s'entrechoquant et faisant haleter la douce mélisse de notre emphase.