épreuver de la sympathie envers l'auteur d'un roman, c'est une espèce de branlette émotive ?

La branlette émotive détruit la vie d'un individu, c'est la boucle interminable des idées négatives et tant qu'il ne s'ouvre pas parfaitement, PARFAITEMENT au monde extérieur ou n'atteint pas Nirvana comme Niestché, bon, c'est fichu

alors, quand vous lisez un roman, comment vous vous gardez de vous mettre dans la peau de personnages ?

J'étais grand fan de badass de romans comme Voldemort, Frodon, alors, à l'époque, j'aimais bien lire leur paroles pour tenir ça comme la sainte bible
Maintenant, le manque de cohérence dans le scénario et la lecture d'interview des auteurs de romans ( J.K. Rowlling) m'ont déçu et je me suis rendu compte que Voldemort est un pantin du bois créé par la femme qui vit dans la maison de luxe, qui mange des boeufs de Corse tous les soirs...

Donc, mon poit de vue est de s'éloigner de la fiction et de prendre en compte la philosopihe des auteurs. Si son profil, sa vie, sa carrière ne me plaisent pas, bon, c'est fini, j'abandonne leur livres