Ce qu’il a fait est très grave, il est inexcusable. » Mais, au fil d’une démonstration sur la question du consentement, M. Finkielkraut estime que, lorsqu’« on essaie » d’examiner les faits de pédocriminalité et qu’« on » se demande « y a-t-il eu consentement ? A quel âge ça a commencé ? Y a-t-il eu ou non une forme de réciprocité ?, on vous tombe immédiatement dessus ». Lorsque le présentateur lui rappelle qu’il parle, en l’occurrence, « d’un enfant de 14 ans », le polémiste rétorque : « Et alors ? D’abord, on parle d’un adolescent, c’est pas la même chose. »