Nous devons préserver l'existence notre peuple et assurer un avenir pour nos enfants car la beauté de la femme européenne ne doit pas disparaître de la terre, car nous sommes sur cette Terre pour donner à notre peuple la vie éternelle.
https://youtu.be/k05uQZym4QY https://youtu.be/LlGRZrzgO5k
Nous n'avons pas à rougir de penser ce que nous pensons car tous les peuples de la Terre ont depuis toujours été attaché à leur survivance ethno-culturelle, jusqu'à l'avènement des boomers individualistes-consuméristes. Imagine-t-on un seul instant que les indiens d'amérique se seraient laissés remplacer aussi passivement ? https://youtu.be/_ytJG8X6obk
Si vous vous sentez seuls, sentez-en vous le pouls des millénaires, songez que tous vos ancêtres sont derrière vous et que vos descendants seront reconnaissants de votre combat car la réalité anthropologique rattrapera tôt ou tard la posthumanité, ces mutants vivent dans un monde factice qui n'en a plus pour longtemps.
J'ai identifié trois attitudes possibles face au discours antiraciste dominant, les deux premières nous condamnent au statut de paillasson, seule la dernière est viable sur le long terme.
L'ethnomasochiste :
- Les blancs ont inventé le racisme scientifique, pratiqué l'esclavage, la colonisation et le génocide à une échelle inédite, ils sont méchants. Leur domination actuelle est le fruit de leur crimes passés, le monde se porterait mieux sans eux.
Réponse du cuck :
- Certes mais ces pratique étaient universelles jusqu'à ce que nous y ayons mis fin. On a aussi inventé les droits de l'homme, le droit d'asile, le regroupement familial et l'universalisme, on est quand même gentils. En outre, le racisme anti-blanc existe donc nous sommes aussi des victimes. Ayez un peu pitié de nous je vous en prie
Réponse du chofchof nietzschéen :
- Oui c'est vrai nous sommes un peuple violent et dominateur, c'est ce qui nous a permis de dominer le monde depuis 5 000 ans et ça marchait plutôt bien jusqu'à ce qu'on nous empoisonne l'esprit en nous culpabilisant avec leur morale d'esclave.
https://youtu.be/XAaPkiiUTeI?t=1m47s
https://www.courrierinternational.com/article/histoire-le-peuple-le-plus-meurtrier-de-tous-les-temps
Imagine-t-on des Mongols regretter Genghis Khan ? Des Ouzbeks se repentir pour Tamerlan ? Les Turcs pour Soliman ? Les Zoulous pour Shaka, les Indiens Ashoka, les Maliens Mansa Moussa etc... ?
Non, bien entendu car tous les peuples au monde sont fiers d'avoir dominé d'autres peuples, bâti des empires par leurs hauts faits d'armes et apporté leurs mœurs aux vaincus, tous à l'exception des Blancs.
Oui, nous avons colonisé avec quelques milliers de soldats des continents entiers situés à l'autre bout du monde, devrait-on pour autant avoir honte d'avoir été les plus forts ? Marcher les pieds en dedans et la tête baissée, renier notre histoire et nos grands hommes pour permettre l'avénement de l'utopie postraciale ?
Comment croire en cette réconciliation universelle lorsqu'on explique à des peuples qui ne connaissaient ni l'écriture, ni la roue il y a à peine un siècle à quel point ils sont géniaux et que vous êtes l'unique responsable de leur débilité ?
Non vous avez compris que vos enfants vivront un enfer, que l'homme blanc sera l'effigie à brûler.
Nous devons alors nous défaire dès à présent de ce logiciel inadapté, la race blanche joue sa survie sur sa propre capacité à changer totalement de paradigme.
Quand s’affrontent les droits inconciliables de deux peuples, il n’y a pas de cause juste et injuste. Il n’y a que la guerre, arbitre impartial et froid pour décider entre deux forces, deux logiques, deux mondes, lequel va l’emporter.
Il nous faut recouvrir l'épée magique dont parlait Ernst Jünger pour dominer à nouveau.
Le 13 janvier 2021 à 16:17:02 SamyLaChance a écrit :
Je upPs: Merci pour les photos
De rien cher ami
Je vais démystifier sous vos yeux ébahis le plus grand dogme cosmopolite en vogue depuis plus de 40 ans : l'inexistence des races humaines. Souvent dissimulé derrière un verni scientifique, il s'agit en réalité d'un choix idéologique, je vais vous montrer que les trois arguments qui reviennent en boucle ne résistent pas à l'analyse approfondie.
1/Le sophisme de Lewontin
C'est celui qui revient le plus souvent chez les PNJ demi-habiles, vous l'avez sans-doute déjà rencontré. Il dénote une incompétence profonde en statistique et une vision périmée de la génétique.
Il se formule ainsi :
Affirmation très contre-intuitive s'il en est car on est tous capables de différencier des pygmées de japonais et de les catégoriser sans erreur. On peut même les identifier par leur microbiote de leur salive ou en scrutant leur cerveau à l'IRM.
Le simple fait que cette affirmation vaut également pour les chiens devrait nous alerter sur son manque de pertinence (seule 30% de la variation génétique au sens de Lewontin se situe entre les races de chiens). https://t.co/YWD33vzDY7?amp=1
Alors, où est l'erreur ?
Elle se trouve dans l'ambiguité de la notion de distance génétique. En effet, en mathématiques comme en génétique, il existe plusieurs façons très différentes de mesurer les distances.
La distance qu'utilise Lewontin pour réfuter le concept de race n'est pas pertinente : les généticiens ont abandonné l'approche univariante ne s'attachant qu'à analyser une petite somme de gènes rattachée à un seul locus, pour privilégier des analyses polygéniques et multi-locales. Or, Lewontin est resté sur cette approche simpliste et univariante, c'est une erreur statistique qui oblitère les effets d'agrégation des variables inter-groupes dans les fréquences alléliques situées dans une plus grande quantité de loci.
On sent que son approche est beaucoup trop univariante pour être valide quand il pose cette mauvaise question : "À quel point les fréquences des groupes sanguins A, B, AB et O doivent différer pour déclarer que que deux populations locales sont des "races" séparées ?".
La question ne se pose pas dans ces termes : personne n'a jamais prétendu que les races devaient se distinguer les unes des autres par une seule grosse différence exceptionnelle dans un seul trait, mais plutôt par la combinaison d'un nombre de différences légères ou modérées dans une multiplicité de traits. Ainsi, une distance polyvariante est plus appropriée que la distance utilisée par Lewontin. https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/12879450/
Contre Lewontin, a fortiori, les analyses montrent que si elles sont menées à un degré polygénique et multi-local, alors, observe Whiterspoon et al en 2007, à la question : "à quelle fréquence apparaît il qu'une paire d'individus d'une population soit génétiquement plus dissemblable que deux individus choisis de deux différentes populations ?" il s'agit de répondre : jamais. https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC1893020/
The number of loci analyzed is the most critical variable: with 100 polymorphisms, accurate classification is possible, but ω remains sizable, even when using populations as distinct as sub-Saharan Africans and Europeans. Phenotypes controlled by a dozen or fewer loci can therefore be expected to show substantial overlap between human populations. This provides empirical justification for caution when using population labels in biomedical settings, with broad implications for personalized medicine, pharmacogenetics, and the meaning of race.
2/ L'argument du continuum
Il se formule ainsi :
"Toute catégorisation raciale est arbitraire car il y a un continuum entre chaque race et à l'intérieur des races."
Une variante étant "et les métisses ils sont de quelle race gros malin ?"
Certes il y a un continuum, mais le gradiant de différentiacion génétique n'est pas réparti de manière homogène, il est infiniment plus fort au niveau des barrières naturelles telles que le Sahara, la chaîne hymalayenne, ouralienne ou les Océans.
Notez bien que l'échelle des taux de migration de la carte ci-dessus est logarithmique, la barrière que constitue le Sahara est extrêmement imperméable.
https://www.researchgate.net/publication/337648141_Genetic_landscapes_reveal_how_human_genetic_diversity_aligns_with_geography
L'Europe quant à elle est une des régions les plus homogènes à l'échelle du monde.
Ansi, on peut parfaitement parler de race selon la définition qu'en donne Jacques Ruffié en 1982
Une race est donc formée par des population qui partagent entre elles des échanges génétiques plus massifs qu'avec les autres groupes raciaux. Elle constitue une super population au sein de laquelle les échanges ont un caractère préférentiel. C'est pourquoi la race coïncide fréquemment avec une zone géographique bien délimitée [...] c'est un isolat partiel mais de plus grande taille qu'une population.
On ne peut donc pas mettre sur le même plan le synœcisme celto-romano-germanique à la naissance de la France et le métissage actuel, ils n'ont rien à voir en terme de distance génétique.
On ne perçoit pas aussi bien cela si on se contente de parler de populations, ce terme nivelle les différences génétiques.
Ainsi, on peut dire que les siciliens et les suèdois sont de même race caucasoïde comme on peut dire que le bordeaux et le pourpe sont tous deux des couleurs rouges. Le continuum n'a jamais empêché personne de parler de couleur, il ne doit pas non-plus nous empêcher de parler de race.
Notez que ces antiracistes si pointilleux lorsqu'il est question de races (focalisation sur l'abitraire des délimitations, comparaison des diversités intragroupes et intergroupes...) sont prompts à oublier leurs exigences sémantiques délirantes lorsqu'ils parlent de classes sociales, de dominants, de dominés, d'ethnies... lors même que tous ces termes souffrent des mêmes imperfections sémantiques ! Et pour cause, ses limites floues se retrouvent partout, dans la définition de l'espèce ou même l'individu, car c'est une imperfection inhérente au langage !
Toute classification comporte une part d'arbitraire, ne serait-ce que classifier ces points par exemple.
On pourrait former une classe pour chaque point tout comme l'on peut inventer un nom de couleur pour chaque longueur d'onde (avec des noms quelques peu barbares à cause de l'indénombrabilité des réels ).
L'on peut ainsi concevoir un langage avec des délimitations objectives, mais il sera totalement inopérant si le but est de distinguer chaque chose de chaque autre afin de les étudier pour ce qu'elles sont proprement.
3/L'euphémisation des différences raciales par la réduction à la couleur de peau
On le retrouve dans des phrases du type
"En quoi la couleur de peau est importante ?"
" La couleur de peau n'a rien à voir avec la psychologie / le comportement / la physiologie /... "
Alors là encore on se demande s'ils ont les yeux en face des trous car les différences anatomiques sautent aux yeux entre les caucasoïdes et les congoïdes albinos par exemple
Les différences raciales ne se limitent évidement pas à la pigmentation de la peau. Les scientifiques ont étudié le niveau de différenciation génétique entre les races.
Le système nerveux représente le plus gros de la variation au sein des populations humaines, largement plus que la pigmentation.
https://bmcevolbiol.biomedcentral.com/articles/10.1186/1471-2148-11-16
Pour enfoncer le clou je vais reprendre ce à quoi j'ai fait allusion dans ma réponse naïve au premier sophisme.
À savoir qu'on peut identifier la race d'une personne avec une précision raisonnable en analysant seulement le microbiote présent dans sa salive https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/24194878
Oral infections have a strong ethnic predilection; suggesting that ethnicity is a critical determinant of oral microbial colonization. [...] The classifier identified African Americans with a 100% sensitivity and 74% specificity and Caucasians with a 50% sensitivity and 91% specificity. The data demonstrates a significant association between ethnic affiliation and the composition of the oral microbiome; to the extent that these microbial signatures appear to be capable of discriminating between ethnicities.
De même, on peut identifier la race d'une personne en scrutant seulement son IRM.
https://www.biorxiv.org/content/10.1101/440776v1
In this work we predicted genetic ancestry from rs-fMRI connectivity data at very high performance (area under the ROC curve of 0.93). Thereby, we demonstrated that genetic ancestry is encoded in the functional connectivity pattern of the brain at rest.
https://image.noelshack.com/fichiers/2019/23/7/1560103983-20181108-101951.jpg
En particulier, le cortex cérébral forme des repliements (gyrus et sillons) spécifiques à chaque ascendance racial
https://www.sciencedirect.com/science/article/pii/S0960982215006715
In our group’s previous study, we found that area measures of cortical surface and total brain volumes of individuals of European descent in the United States correlate significantly with their ancestral geographic locations in Europe [9]. Here, we demonstrate that the three-dimensional geometry of cortical surface is highly predictive of individuals’ genetic ancestry in West Africa, Europe, East Asia, and America, even though their genetic background has been shaped by multiple waves of migratory and admixture events.
[...]
Besides explaining more ancestry variance than other brain imaging measurements, the 3D geometry of the cortical surface further characterizes distinct regional patterns in the folding and gyrification of the human brain associated with each ancestral lineage.
Cette petite animation montre comment évolue le cerveau quand on passe d'une race à une autre :
https://ars.els-cdn.com/content/image/1-s2.0-S0960982215006715-mmc6.mp4
L'étude suivante compare des cerveaux de singapouriens à des cerveaux d'americains blancs du même âge
https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC3361742/?fbclid=IwAR11slZlfM1GSEUnri10f6XZz6SFcPhCu6XEDoaWgPVkkm7sYvnCfFCG3CA#!po=46.7742
We found robust differences in cortical thickness in polymodal frontal and parietal association cortex between cognitively well-matched young adults who differed in ethnicity and culture using two semiautomated brain morphometric techniques. We have adopted a conservative interpretation of these data and suggest that the findings could have arisen from cultural (external) as well as genetic (inherent) influences that ultimately could be interrelated, meriting further investigation.
Le cortex le plus influencé par la génétique est le cortex associatif, qui désigne les régions du cerveau impliquées dans des opérations complexes de traitement de l'information liées à l'intégration multisensorielle ; la mémoire ; le langage ; la planification, etc.
Cette observation concorde avec le fait que l'intelligence, qui peut être reliée à l'épaisseur corticale dans les lobes frontaux et pariétaux (qui sont les deux principaux représentants du cortex associatif), est hautement héritable.
Interestingly, cortex with the most complex laminar architecture—association cortex—appears to be under the strongest influence of genetic factors. This is congruent with the related observation that intelligence has a high degree of heritability (Hulshoff Pol et al., 2006; Posthuma et al., 2002), which may be in turn captured in the form of variation in cortical thickness within the frontal and parietal lobes (Narr et al., 2007) of persons belonging to a particular population.
Je pourrais continuer longtemps à disserter sur les différences de forme et de capacité crâniennes
https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC2668913/#b101
Sur ce point les falsifications de Gould sont édifiantes https://www.nytimes.com/2011/06/14/science/14skull.html
Et surtout sur les différences de trait d'histoire de vie comme les différences de temps de gestation
https://www.google.com/url?sa=t&source=web&rct=j&url=https://dumas.ccsd.cnrs.fr/dumas-00623929/document&ved=2ahUKEwjD44GAq5PqAhX-BGMBHagqCQwQFjABegQIDBAH&usg=AOvVaw1se4dVAlnOoZAROWWKAX0g de maturation dentaire plus rapide chez les noirs https://onlinelibrary.wiley.com/doi/abs/10.1002/ajpa.20490 ou de puberté plus précoce d'un an chez les filles noires par rapport aux filles blanches https://www.google.com/url?sa=t&source=web&rct=j&url=https://www.fertstert.org/article/S0015-0282(09)03967-3/pdf&ved=2ahUKEwiYta_a2JPqAhWtx4UKHRblCX84ChAWMAN6BAgIEAE&usg=AOvVaw0W7DoxCGBTdqhMFBuMrgK7
Ce sont des marqueurs fondamentaux pour repérer les stratégies évolutives des différentes races sur le spectre r/K, c'est passionant mais le topic est déjà beaucoup trop long.
On s'aperçoit ainsi qu'on peut parfaitement parler de race, selon cette définition qu'en donne l'académie française, qui recoupe finalement la définition de Ruffié :
Chacun des grands groupes entre lesquels on répartit superficiellement l’espèce humaine d’après les caractères physiques distinctifs qui se sont maintenus ou sont apparus chez les uns et les autres, du fait de leur isolement géographique pendant des périodes prolongées. Un homme de race noire, de race blanche, de race jaune. Le mélange, le métissage des races. S’emploie, abusivement, dans le sens d’Ethnie.
Même si vous avez pu voir au cours de cette partie que cette répartition est loin d'être superficielle.
En conclusion, la négation des races humaines est purement idéologique.
À cela doit s'ajouter des procédés d'intimidation dont même David Reich, le plus grand généticien des populations au monde, a été victime : il a eu le droit à une pétition de 67 matons de panurge universitaires contre lui pour avoir parlé trop ouvertement des différences raciales.
https://www.buzzfeednews.com/amphtml/bfopinion/race-genetics-david-reich?__twitter_impression=true
Permettez-moi de vous présenter un facteur génétique expliquant en partie la surcriminalité des congoïdes
En l'état actuel de nos connaissances, nous savons qu'il existe un gène qui joue un rôle dans le taux élevé de criminalité des Afro-Américains, le gène de la monoamine oxydase A (MAO-A). Ce gène produit une enzyme du même nom : l'enzyme MAOA qui décompose une classe de neurotransmetteurs appelés mono-amines, comme la dopamine, la sérotonine ou encore la noradrénaline; ceux-ci sont bien connus pour avoir un effet sur le comportement.
Certaines versions du gène MAOA conduisent à abaisser les niveaux de l'enzyme MAOA et, par conséquent, à augmenter l'activité du mono-amine dans le cerveau puisqu'il est décomposé plus lentement.
La différence moléculaire entre les différentes versions du gène MAOA réside dans le nombre de fois qu'une certaine section de sa région promotrice est répétée. Trois allèles répétés (3R) conduisent à des niveaux inférieurs à la moyenne de l'enzyme MAOA, deux allèles répétés (2R) conduisent à des niveaux encore plus bas de l'enzyme.
À partir des années 1990, les chercheurs ont commencé à soupçonner que la variation des niveaux de MAOA pourrait être liée à des traits comme l'agression ou le comportement criminel. Cette suspicion est survenue à la suite d'une étude sur une famille allemande qui portait une mutation rare conduisant à des niveaux extrêmement faibles de l'enzyme MAOA. Cette famille avait des violeurs, des incendiaires et d'autres criminels violents en son sein : https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC1682278/pdf/ajhg00064-0013.pdf
Plus tard, les généticiens ont introduit chez les rats une version artificielle du gène MAOA qui conduit à une faible production de l'enzyme MAOA. Il a été constaté que les rats agissaient de façon beaucoup plus violente que la normale :
https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/17441000/
En 2014, Beaver et son équipe ont découvert que les hommes afro-américains porteurs de 2R étaient plus susceptibles d'être impliqués dans des actes d'une violence extrême - coups de feu et coups de couteau - que les hommes afro-américains avec des allèles MAOA à plus forte répétition (3R, 4R, 5R). Ce gène n'est pas réparti également entre les races. Dans la base de données Add Health, 5,5% des hommes afro-américains, 0,1% des hommes de race blanche et 0,00067% des hommes asiatiques sont porteurs de 2R.
https://www.sciencedirect.com/science/article/abs/pii/S0191886912004047