Cette déprime qui vient en revenant du site Facebook , voir des connaissances , des amis devenu homme , voir les autres faire leur vie , et toi t'avance pas (quand je dit toi je parle de moi évidemment) , ne pas avoir eu une puberté complète , se sentiments quand on sait qu'on est différent des autres , tout le monde évolue , avance , et toi non bordel
Le 08 janvier 2021 à 02:17:17 Pinkrosecom a écrit :
Cette déprime qui vient en revenant du site Facebook , voir des connaissances , des amis devenu homme , voir les autres faire leur vie , et toi t'avance pas (quand je dit toi je parle de moi évidemment) , ne pas avoir eu une puberté complète , se sentiments quand on sait qu'on est différent des autres , tout le monde évolue , avance , et toi non bordel
Il faut savoir avant que je commence que j'ai, comme beaucoup de monde ici, un passé assez complexe et d'énormes carences affectives. Je n'ai pas vraiment été élevé par mes parents, j'ai subi des attouchements, je suis ostracisé depuis petit que ça soit à l'école ou dans ma famille et je n'ai globalement, jamais réussi à développer une estime de moi consistance ou une amitié solide avec quelqu'un.
Voilà. Maintenant que le portrait est établi, j'espère que vous comprendrez mieux ce qui va suivre.
Je l'ai rencontrée sur un topic de musique. C'est elle qui m'a mp. Au bout d'un jour, comme on accrochait bien, je lui ai donné mon discord.
J'avais mis ma tronche de profil pour la draguer. Elle a fait pareil. Très, très mignonne. On se regarde de plus près assez vite. 8/10. Elle a un peu le physique de mes rêves, pour être tout à fait honnête.
Sa culture me fascine. Je n'ai jamais connu quelqu'un d'aussi cultivé de ma vie, surtout à son âge. Tout ce que je croyais n'appartenir qu'à moi devient subitement commun. Je peux enfin parler de ce qui me touche profondément à quelqu'un d'autre.
Ca me monte au sang et le sang me monte à la tête. Je n'ai qu'une envie, c'est de la rencontrer. Ca tombe bien, elle aussi. On fixe une date très vite : Le 29. C'est moi qui irait chez elle.
Tout est parfait. Pourtant, un premier contrecoup brutal de cette drogue se manifeste. Quelques jours après s'être dit "Je t'aime" beaucoup trop vite, j'ai ressenti un vide. Le vide de la chasse. Celui qu'on a quant on a réussi à obtenir quelqu'un. Que ses pattes sont posées sur sa proie, et qu'il ne reste plus qu'à manger. Sauf que je n'ai aucun appétit.
Je suis terrifié. Je me demande pourquoi mon système limbique pète un câble comme ça. Je me mets à vriller, angoisser. En fait, ce n'est pas tant que je ne ressens plus rien pour elle mais que je n'ai pas envie de me confronter à mes traumatismes. Elle me fait subitement très peur. L'ampleur de nos sentiments. Elle avait tout le potentiel de m'épanouir, et de me sortir par réaction, de plus de 22 ans de convictions solides sur moi-même et l'extérieur. A elle seule, elle commençait à incarner une vérité trop pure et intense pour moi. Un symbole trop aveuglant.
Quand je recevais ses messages, je me mettais littéralemment à chialer comme une merde, serrer les mâchoires, me crisper, parfois tomber par terre. Je ne pleure vraiment, mais alors vraiment pas souvent. Et en quelques jours, je suis devenu une loque humaine. Je rampais dans mes larmes et mes crises d'angoisse, en faisant semblant que tout allait bien par message. J'ai même eu des crises de délire abominables un peu avant Noël. J'avais des fous rires, des envies de suicide, tout est monté en moi trop haut, j'étais comme un diapason surchargé.
Mais finalement, ça s'est calmé. Je suis allé chez elle le 29, calme. Le seul stress en moi était celui lié à une rencontre. Rien d'anormal. Quand je pose mes yeux sur elle, je me sens revivre. Je sens des litres de sang pompés dans tout mon organisme me parcourir. Elle est magnifique. Vraiment, vraiment magnifique. Un peu trop. Tout est parfait. Je me sens brumeux les premières heures.
Trop. J'essaye de garder cap. Au début, j'étais hors sol, mes mots m'échappaient, ma pensée aussi. C'était comme si je n'étais pas vraiment là. J'avais du mal à tenir une conversation. Pourtant, je ne suis pas timide et même plutôt avenant. On arrive chez elle et on essaye de baiser très vite...Première fois de ma vie que j'ai une impuissance.
C'était trop submergeant.
Mon stress s'amplifie mais elle est rassurante. Elle aussi n'était pas prête de toute façon.
Je ne sais plus ce qu'on fait à partir de là. Je me souviens juste qu'à force de se rouler des patins, j'ai laissé ma tête tombe en cendres, et le sang est revenu.
On a passé deux jours à baiser, baiser encore et encore, en permanence. Je n'arrêtais pas de vouloir la prendre. Le moindre effleurement me tentait. Et elle aussi. Je voulais attraper ses orgasmes avec ma main. Je lui ai presque rentré mon poing dans la chatte tellement elle mouillait. C'était extraordinairement fusionnel. Le temps a disparu. O na disparu aussi.
Et pourtant, sur ces deux soirs, j'ai chialé. J'ai chialé comme un tas de merde humain. Les mêmes crises que chez moi. Je voulais, quelque part, tester son amour et tout sortir. Elle n'arrêtait pas de me dire "Je t'aime", et j'avais besoin de frapper, cogner dans cet amour incroyable pour moi, en la confrontant à l'état le plus lamentable que je puisse sortir de moi.
Elle continuait de me le dire. Et je ne continuais de ne pas y croire. Je m'accrochais à ses lèvres et aux sensations qui braisaient dessus, électriques. C'était comme sucer le cul d'une clope pour en extraire la moindre bouffée goudronneuse de drogue. Je n'arrêtais pas d'aller prendre encore et encore dans sa salive, une raison de vivre.
J'aurai pu me consumer à l'embrasser.
Le 31 tombe, et on doit aller faire le nouvel an chez des amis qu'elle dit comme elle. On doit aussi prendre du LSD. C'était un peu le sommet de cette fusion entre nous.
J'accroche bien avec ses amis et ils accrochent bien avec moi. Ils sont effectivement "comme elle", au moins sur le plan artistique et culturel. On écoute de la musique que je ne pensais jamais écotuer en soirée. On danse. Ils me proposent de la cocaïne et j'en prends. Trois fois. Je n'en avais jamais pris.
Je vide tout en moi. Je me déconnecte de l'atmosphère. Je me sens bien et extrêmement seul. La danse est une transe pour moi et je déteste qu'on interfère avec moi. Mais en soi, tout se passe bien. On accroche de plus en plus. Toutes nos atomes accrochent ensemble. Il n'y a rien à craindre.
A minuit, on prend un buvard entier. Je décolle.
Je décolle bien. Je décolle trop. Encore. Une de ses amies me raconte ses problèmes passés. J'essaye de rebondir, de la faire rire, de creuser, mais elle ne m'écoute pas. Elle est seule.
Tant pis. Je la laisse parler, si ça lui fait du bien
Quand la kheyette est là, on s'embrasse interminablement. Je la doigte sous sa robe. Elle me repousse, et ça m'amuse. J'aurai pu la baiser en public.
La meuf qui me parlait de sa vie se met à me menacer sans raison. Sur le ton de l'humour, mais avec beaucoup, beaucoup d'insistance. Elle me dit que si je fais du mal à la kheyette, elle va venir dans ma ville pour me tuer. A nouveau, j'essaye de rire avec elle, mais elle ne m'écoute pas. Elle continue de me menacer.
Finalement, je ne sais plus comment, mais toutes mes angoisses reviennent comme une armée organisée. Je sens leurs pas bottés, militaires, disciplinés. Je sens que je vais éclater en public. Je me relève. Je pars pisser. J'avais vraiment envie de pisser et je ne pouvais plus me retenir. Dans les chiottes, j'explose. Je vois mon reflet dans un miroir : Je n'ai jamais été aussi laid et misérable de ma vie.
Je me déteste au plus haut degré. J'essaye de me reprendre, mais l'émotion m'enterre dans ces chiottes, je m'affaisse, je m'écroule. Je n'ai plus aucun appui. Il y a une part de moi qui voulait absolument tout cacher, une autre qui voulait être seul, seul à l'échelle astrale. Et une dernière qui rêvait de faire savoir au monde entier que je souffrais. J'ai essayé de me ressaissir, mais j'ai été faible. Ils ont terminé par remarquer mo nabsence et m'ont emmené sur le canapé. La kheyette s'est occupée de moi.
Elle m'a dit "Je ne sais pas ce que tu attends de moi" et s'est relevée. A ce moment là, tout mon mal-être a disparu. J'ai senti l'urgence. Elle est partie s'isoler dans les toilettes à so ntour. J'ai voulu lui rendre la pareille. La relever. Lui dire que tout irait bien et que si elle se mettait là, elle allait finir dans le même état que moi. Mais elle a commencé à me dire qu'elle avait besoin d'être seule. Que "elle, n'avait besoin de personne et n'avait jamais eu besoin de personne". J'ai compris quelle me reprochait de m'être affiché. Je suis parti. Je suis resté devant la porte. Je n'ai pas supporté de l'entendre pleurer alors je suis revenu. Sa colère a enflé. Elle m'a hurlé dessus : C'était moi le problème.
Je suis parti chercher ses amis et ils l'ont fait redescendre. Elle a quand même voulu rester seule. Je lu iai liassé un peu de temps et on a fini par parler ensemble. L'amour infini qu'elle avait pour moi a viré en haine. Ca sonne cliché, mais c'était vraiment de la haine. La fille bienveillante et douce de la veille me détestait avec un aplomb et une lucidité que je n'aurai pas soupçonné. Elle me traitait de "Monstre d'ego, d'AW", me reprochait de n'en n'avoir rien à foutre des autres, d'être un comédien, etc, etc.
Avec le recul, je pense quelle a tort, ou plutôt, de n'avoir que partiellement raison. Sur l'instant, tout est entré en éruption en moi. J'ai nié en bloc. J'ai essayé de lui montrer quelle avait une vision biaisée de moi et quelle se trompait sur mes attentions, mais elle était convaincue. Elle pensait par dessus tout que je ne m'étais jamais intéressé à elle. Ce qui est faux
J'ai senti toute ma maladie mentale pulser dans mon lobe frontal. Je ne m'étais jamais autant détesté de toute mon existence. Je ne sais pas combien de temps a duré cette conversation infernale dans les chiottes, mais elle a duré. Elle est partie, et je suis resté. J'ai passé le restant de mon trip à vomir, chialer. J'ai appelé une ex et je lui ai raconté. Je lui ai dis des choses que vous n'avez pas besoin de savoir. Et pendant 8 heures environs, je les ai entendus rires, rires avec tellement d'ampleur. Surtout elle. Je l'entendais rire partout où j'allais. J'étais puni pour ma faiblesse. J'étais puni pour tout. Je n'ai pas pu me dire que c'était injuste. Cruel, oui, mais certainement pas injuste. J'avais mérité tout ça.
Le lendemain, après avori entendu ces rires interminables me rentrer encore et encore de force dans la tête, on a essayé de parler à geint, mais il n'y avait plus la moindre trace d'affection en elle pour moi. Je suis rentré chez moi. 5 h de train sous acide. On a parlé par messages, et elle voulait que je reconnaisse à tout prix que j'étais une merde égocentrique.
J'ai tenté jusqu'au bout de la faire relativiser, et puis au final, j'ai abandonné.
L'ironie, c'est que j'ai eu le sentiment de ne jamais l'aimer, comme elle me le reprochait ,tout le long du week-end. Je passais d'états extatiques à un immense vide sentimental. Mais je n'écoutais pas ce vide, car j'étais persuadé que c'était un réflexe de protection.
Maintenant que je suis loin d'elle, et que c'est terminé, je ressens un amour immense pour elle. Quelque chose de concret, sans variation, interminable. Je me laisse du temps pour voir si c'est vrai ou non.
En tout cas, même si ça ne ressort pas forcément, j'ai été légèrement traumatisé par cette expérience. Soyez prudent avec vos rencontres, n'allez pas trop vite, ne vous promettez pas tout et n'importe quoi. On parlait d'emménager ensemble et d'avoir un enfant.
Même si j'ai énormément de torts dans cette histoire, il est clair qu'elle traîne ses propres stigmates et que je ne la connaissais tout simplement pas
Je ne vous révèlerai pas son pseudo évidemment ni de détails personnels. Je crois quelle ne va plus sur le forum depuis de toute façon.
Les gens ne montrent que ce qu'ils ont envie de montrer, généralement ce qui les met en valeur.
Le 08 janvier 2021 à 02:17:39 SpermeEtFoutre a écrit :
Le 08 janvier 2021 à 02:17:17 Pinkrosecom a écrit :
Cette déprime qui vient en revenant du site Facebook , voir des connaissances , des amis devenu homme , voir les autres faire leur vie , et toi t'avance pas (quand je dit toi je parle de moi évidemment) , ne pas avoir eu une puberté complète , se sentiments quand on sait qu'on est différent des autres , tout le monde évolue , avance , et toi non bordelIl faut savoir avant que je commence que j'ai, comme beaucoup de monde ici, un passé assez complexe et d'énormes carences affectives. Je n'ai pas vraiment été élevé par mes parents, j'ai subi des attouchements, je suis ostracisé depuis petit que ça soit à l'école ou dans ma famille et je n'ai globalement, jamais réussi à développer une estime de moi consistance ou une amitié solide avec quelqu'un.
Voilà. Maintenant que le portrait est établi, j'espère que vous comprendrez mieux ce qui va suivre.Je l'ai rencontrée sur un topic de musique. C'est elle qui m'a mp. Au bout d'un jour, comme on accrochait bien, je lui ai donné mon discord.
J'avais mis ma tronche de profil pour la draguer. Elle a fait pareil. Très, très mignonne. On se regarde de plus près assez vite. 8/10. Elle a un peu le physique de mes rêves, pour être tout à fait honnête.
Sa culture me fascine. Je n'ai jamais connu quelqu'un d'aussi cultivé de ma vie, surtout à son âge. Tout ce que je croyais n'appartenir qu'à moi devient subitement commun. Je peux enfin parler de ce qui me touche profondément à quelqu'un d'autre.Ca me monte au sang et le sang me monte à la tête. Je n'ai qu'une envie, c'est de la rencontrer. Ca tombe bien, elle aussi. On fixe une date très vite : Le 29. C'est moi qui irait chez elle.
Tout est parfait. Pourtant, un premier contrecoup brutal de cette drogue se manifeste. Quelques jours après s'être dit "Je t'aime" beaucoup trop vite, j'ai ressenti un vide. Le vide de la chasse. Celui qu'on a quant on a réussi à obtenir quelqu'un. Que ses pattes sont posées sur sa proie, et qu'il ne reste plus qu'à manger. Sauf que je n'ai aucun appétit.
Je suis terrifié. Je me demande pourquoi mon système limbique pète un câble comme ça. Je me mets à vriller, angoisser. En fait, ce n'est pas tant que je ne ressens plus rien pour elle mais que je n'ai pas envie de me confronter à mes traumatismes. Elle me fait subitement très peur. L'ampleur de nos sentiments. Elle avait tout le potentiel de m'épanouir, et de me sortir par réaction, de plus de 22 ans de convictions solides sur moi-même et l'extérieur. A elle seule, elle commençait à incarner une vérité trop pure et intense pour moi. Un symbole trop aveuglant.
Quand je recevais ses messages, je me mettais littéralemment à chialer comme une merde, serrer les mâchoires, me crisper, parfois tomber par terre. Je ne pleure vraiment, mais alors vraiment pas souvent. Et en quelques jours, je suis devenu une loque humaine. Je rampais dans mes larmes et mes crises d'angoisse, en faisant semblant que tout allait bien par message. J'ai même eu des crises de délire abominables un peu avant Noël. J'avais des fous rires, des envies de suicide, tout est monté en moi trop haut, j'étais comme un diapason surchargé.
Mais finalement, ça s'est calmé. Je suis allé chez elle le 29, calme. Le seul stress en moi était celui lié à une rencontre. Rien d'anormal. Quand je pose mes yeux sur elle, je me sens revivre. Je sens des litres de sang pompés dans tout mon organisme me parcourir. Elle est magnifique. Vraiment, vraiment magnifique. Un peu trop. Tout est parfait. Je me sens brumeux les premières heures.
Trop. J'essaye de garder cap. Au début, j'étais hors sol, mes mots m'échappaient, ma pensée aussi. C'était comme si je n'étais pas vraiment là. J'avais du mal à tenir une conversation. Pourtant, je ne suis pas timide et même plutôt avenant. On arrive chez elle et on essaye de baiser très vite...Première fois de ma vie que j'ai une impuissance.
C'était trop submergeant.
Mon stress s'amplifie mais elle est rassurante. Elle aussi n'était pas prête de toute façon.
Je ne sais plus ce qu'on fait à partir de là. Je me souviens juste qu'à force de se rouler des patins, j'ai laissé ma tête tombe en cendres, et le sang est revenu.
On a passé deux jours à baiser, baiser encore et encore, en permanence. Je n'arrêtais pas de vouloir la prendre. Le moindre effleurement me tentait. Et elle aussi. Je voulais attraper ses orgasmes avec ma main. Je lui ai presque rentré mon poing dans la chatte tellement elle mouillait. C'était extraordinairement fusionnel. Le temps a disparu. O na disparu aussi.Et pourtant, sur ces deux soirs, j'ai chialé. J'ai chialé comme un tas de merde humain. Les mêmes crises que chez moi. Je voulais, quelque part, tester son amour et tout sortir. Elle n'arrêtait pas de me dire "Je t'aime", et j'avais besoin de frapper, cogner dans cet amour incroyable pour moi, en la confrontant à l'état le plus lamentable que je puisse sortir de moi.
Elle continuait de me le dire. Et je ne continuais de ne pas y croire. Je m'accrochais à ses lèvres et aux sensations qui braisaient dessus, électriques. C'était comme sucer le cul d'une clope pour en extraire la moindre bouffée goudronneuse de drogue. Je n'arrêtais pas d'aller prendre encore et encore dans sa salive, une raison de vivre.
J'aurai pu me consumer à l'embrasser.
Le 31 tombe, et on doit aller faire le nouvel an chez des amis qu'elle dit comme elle. On doit aussi prendre du LSD. C'était un peu le sommet de cette fusion entre nous.
J'accroche bien avec ses amis et ils accrochent bien avec moi. Ils sont effectivement "comme elle", au moins sur le plan artistique et culturel. On écoute de la musique que je ne pensais jamais écotuer en soirée. On danse. Ils me proposent de la cocaïne et j'en prends. Trois fois. Je n'en avais jamais pris.Je vide tout en moi. Je me déconnecte de l'atmosphère. Je me sens bien et extrêmement seul. La danse est une transe pour moi et je déteste qu'on interfère avec moi. Mais en soi, tout se passe bien. On accroche de plus en plus. Toutes nos atomes accrochent ensemble. Il n'y a rien à craindre.
A minuit, on prend un buvard entier. Je décolle.
Je décolle bien. Je décolle trop. Encore. Une de ses amies me raconte ses problèmes passés. J'essaye de rebondir, de la faire rire, de creuser, mais elle ne m'écoute pas. Elle est seule.
Tant pis. Je la laisse parler, si ça lui fait du bien
Quand la kheyette est là, on s'embrasse interminablement. Je la doigte sous sa robe. Elle me repousse, et ça m'amuse. J'aurai pu la baiser en public.
La meuf qui me parlait de sa vie se met à me menacer sans raison. Sur le ton de l'humour, mais avec beaucoup, beaucoup d'insistance. Elle me dit que si je fais du mal à la kheyette, elle va venir dans ma ville pour me tuer. A nouveau, j'essaye de rire avec elle, mais elle ne m'écoute pas. Elle continue de me menacer.Finalement, je ne sais plus comment, mais toutes mes angoisses reviennent comme une armée organisée. Je sens leurs pas bottés, militaires, disciplinés. Je sens que je vais éclater en public. Je me relève. Je pars pisser. J'avais vraiment envie de pisser et je ne pouvais plus me retenir. Dans les chiottes, j'explose. Je vois mon reflet dans un miroir : Je n'ai jamais été aussi laid et misérable de ma vie.
Je me déteste au plus haut degré. J'essaye de me reprendre, mais l'émotion m'enterre dans ces chiottes, je m'affaisse, je m'écroule. Je n'ai plus aucun appui. Il y a une part de moi qui voulait absolument tout cacher, une autre qui voulait être seul, seul à l'échelle astrale. Et une dernière qui rêvait de faire savoir au monde entier que je souffrais. J'ai essayé de me ressaissir, mais j'ai été faible. Ils ont terminé par remarquer mo nabsence et m'ont emmené sur le canapé. La kheyette s'est occupée de moi.
Elle m'a dit "Je ne sais pas ce que tu attends de moi" et s'est relevée. A ce moment là, tout mon mal-être a disparu. J'ai senti l'urgence. Elle est partie s'isoler dans les toilettes à so ntour. J'ai voulu lui rendre la pareille. La relever. Lui dire que tout irait bien et que si elle se mettait là, elle allait finir dans le même état que moi. Mais elle a commencé à me dire qu'elle avait besoin d'être seule. Que "elle, n'avait besoin de personne et n'avait jamais eu besoin de personne". J'ai compris quelle me reprochait de m'être affiché. Je suis parti. Je suis resté devant la porte. Je n'ai pas supporté de l'entendre pleurer alors je suis revenu. Sa colère a enflé. Elle m'a hurlé dessus : C'était moi le problème.
Je suis parti chercher ses amis et ils l'ont fait redescendre. Elle a quand même voulu rester seule. Je lu iai liassé un peu de temps et on a fini par parler ensemble. L'amour infini qu'elle avait pour moi a viré en haine. Ca sonne cliché, mais c'était vraiment de la haine. La fille bienveillante et douce de la veille me détestait avec un aplomb et une lucidité que je n'aurai pas soupçonné. Elle me traitait de "Monstre d'ego, d'AW", me reprochait de n'en n'avoir rien à foutre des autres, d'être un comédien, etc, etc.
Avec le recul, je pense quelle a tort, ou plutôt, de n'avoir que partiellement raison. Sur l'instant, tout est entré en éruption en moi. J'ai nié en bloc. J'ai essayé de lui montrer quelle avait une vision biaisée de moi et quelle se trompait sur mes attentions, mais elle était convaincue. Elle pensait par dessus tout que je ne m'étais jamais intéressé à elle. Ce qui est faux
J'ai senti toute ma maladie mentale pulser dans mon lobe frontal. Je ne m'étais jamais autant détesté de toute mon existence. Je ne sais pas combien de temps a duré cette conversation infernale dans les chiottes, mais elle a duré. Elle est partie, et je suis resté. J'ai passé le restant de mon trip à vomir, chialer. J'ai appelé une ex et je lui ai raconté. Je lui ai dis des choses que vous n'avez pas besoin de savoir. Et pendant 8 heures environs, je les ai entendus rires, rires avec tellement d'ampleur. Surtout elle. Je l'entendais rire partout où j'allais. J'étais puni pour ma faiblesse. J'étais puni pour tout. Je n'ai pas pu me dire que c'était injuste. Cruel, oui, mais certainement pas injuste. J'avais mérité tout ça.
Le lendemain, après avori entendu ces rires interminables me rentrer encore et encore de force dans la tête, on a essayé de parler à geint, mais il n'y avait plus la moindre trace d'affection en elle pour moi. Je suis rentré chez moi. 5 h de train sous acide. On a parlé par messages, et elle voulait que je reconnaisse à tout prix que j'étais une merde égocentrique.
J'ai tenté jusqu'au bout de la faire relativiser, et puis au final, j'ai abandonné.L'ironie, c'est que j'ai eu le sentiment de ne jamais l'aimer, comme elle me le reprochait ,tout le long du week-end. Je passais d'états extatiques à un immense vide sentimental. Mais je n'écoutais pas ce vide, car j'étais persuadé que c'était un réflexe de protection.
Maintenant que je suis loin d'elle, et que c'est terminé, je ressens un amour immense pour elle. Quelque chose de concret, sans variation, interminable. Je me laisse du temps pour voir si c'est vrai ou non.
En tout cas, même si ça ne ressort pas forcément, j'ai été légèrement traumatisé par cette expérience. Soyez prudent avec vos rencontres, n'allez pas trop vite, ne vous promettez pas tout et n'importe quoi. On parlait d'emménager ensemble et d'avoir un enfant.
Même si j'ai énormément de torts dans cette histoire, il est clair qu'elle traîne ses propres stigmates et que je ne la connaissais tout simplement pas
Je ne vous révèlerai pas son pseudo évidemment ni de détails personnels. Je crois quelle ne va plus sur le forum depuis de toute façon.
J'ai pas tout lu khey pour être honnête un résumé ? En tout cas j'ai lu le début et te souhaite énormément de courage.
Le 08 janvier 2021 à 02:19:08 GlarthirComplot a écrit :
Les gens ne montrent que ce qu'ils ont envie de montrer, généralement ce qui les met en valeur.
Il ont un physique d'homme pas moi
Le 08 janvier 2021 à 02:21:29 Pinkrosecom a écrit :
Le 08 janvier 2021 à 02:19:08 GlarthirComplot a écrit :
Les gens ne montrent que ce qu'ils ont envie de montrer, généralement ce qui les met en valeur.Il ont un physique d'homme pas moi
rien ne t'empeche de go muscu
Le 08 janvier 2021 à 02:22:19 Asmrkfc18 a écrit :
Le 08 janvier 2021 à 02:21:29 Pinkrosecom a écrit :
Le 08 janvier 2021 à 02:19:08 GlarthirComplot a écrit :
Les gens ne montrent que ce qu'ils ont envie de montrer, généralement ce qui les met en valeur.Il ont un physique d'homme pas moi
rien ne t'empeche de go muscu
J'ai déjà un z minuscule alors go muscu
Le 08 janvier 2021 à 02:23:15 Pinkrosecom a écrit :
Le 08 janvier 2021 à 02:22:19 Asmrkfc18 a écrit :
Le 08 janvier 2021 à 02:21:29 Pinkrosecom a écrit :
Le 08 janvier 2021 à 02:19:08 GlarthirComplot a écrit :
Les gens ne montrent que ce qu'ils ont envie de montrer, généralement ce qui les met en valeur.Il ont un physique d'homme pas moi
rien ne t'empeche de go muscu
J'ai déjà un z minuscule alors go muscu
combien de centimetre ? Tant que tu dépasse les 8-9 cm en érection osef du reste
Le 08 janvier 2021 à 02:19:08 GlarthirComplot a écrit :
Les gens ne montrent que ce qu'ils ont envie de montrer, généralement ce qui les met en valeur.
Le 08 janvier 2021 à 02:24:13 Asmrkfc18 a écrit :
Le 08 janvier 2021 à 02:23:15 Pinkrosecom a écrit :
Le 08 janvier 2021 à 02:22:19 Asmrkfc18 a écrit :
Le 08 janvier 2021 à 02:21:29 Pinkrosecom a écrit :
Le 08 janvier 2021 à 02:19:08 GlarthirComplot a écrit :
Les gens ne montrent que ce qu'ils ont envie de montrer, généralement ce qui les met en valeur.Il ont un physique d'homme pas moi
rien ne t'empeche de go muscu
J'ai déjà un z minuscule alors go muscu
combien de centimetre ? Tant que tu dépasse les 8-9 cm en érection osef du reste
7 cm au repos , 11 en action sans appuyer , 13 en appuyant , bien sûr très fin j'ai vu un endocrinologue apparemment puberté incomplètes
Le 08 janvier 2021 à 02:17:17 Pinkrosecom a écrit :
Cette déprime qui vient en revenant du site Facebook , voir des connaissances , des amis devenu homme , voir les autres faire leur vie , et toi t'avance pas (quand je dit toi je parle de moi évidemment) , ne pas avoir eu une puberté complète , se sentiments quand on sait qu'on est différent des autres , tout le monde évolue , avance , et toi non bordel
Tu fait juste une dépression, et tu as une perte de confiance en toi !
Essaye de te faire aider.
Le 08 janvier 2021 à 04:37:56 Y4nuke a écrit :
Le 08 janvier 2021 à 02:17:17 Pinkrosecom a écrit :
Cette déprime qui vient en revenant du site Facebook , voir des connaissances , des amis devenu homme , voir les autres faire leur vie , et toi t'avance pas (quand je dit toi je parle de moi évidemment) , ne pas avoir eu une puberté complète , se sentiments quand on sait qu'on est différent des autres , tout le monde évolue , avance , et toi non bordelTu fait juste une dépression, et tu as une perte de confiance en toi !
Essaye de te faire aider.
Je suis juste réaliste khey même l'endocrino ma dit que j'avais pas tout eu je doit avoir une puberté incomplète
Le 08 janvier 2021 à 04:41:12 chegar-et-fier a écrit :
ta qu’a te motiver au lieu de te plaindre
Tu m'explique comment grossir le penis ?
tu cherche juste des excuses pour justifier ta vie de merde alors qu’avec de la motivation tu pourrais t’en sortir
Le 08 janvier 2021 à 04:43:50 chegar-et-fier a écrit :
tu cherche juste des excuses pour justifier ta vie de merde alors qu’avec de la motivation tu pourrais t’en sortir
Je voit pas comment surmonter le complexe du petit penis