EXPLICATION ce qu'est la PSYCHIATRIE en France (j'étais en Hp)
Qu’est-ce que la psychiatrie ? 
Qu’est-ce qu’un problème mental ? L’acteur et ses jugements sont considérés comme compromis. Les décisions d’une personne sont mal avisées ou ne prennent pas en compte l’entourage, l’environnement. Exemple : Franchir un feu rouge est mal avisé. Mais dira-t-on que le résistant en France en 1942 pendant l’occupation était mal avisé lorsqu’il distribuait des tracts contre le nazisme et l’occupation allemande ? On peut dire ainsi qu’il ne prend pas en compte le danger et il aurait, donc, un problème mental. Je note, que, il était d’ailleurs jugé fou et cité comme « extrémiste » (c’est-à-dire diabolisé) par la presse française sous occupation. Y’aurait-il un lien entre la folie suggéré d’une personne et sa diabolisation. Toutes personnes ayant des troubles mentaux est, quasiment tout le temps, en conflit avec la société (ou son entourage). Dans le cadre d’un conflit, nous sommes d’accord pour dire que l’ennemi est diabolisé en toutes circonstances. De ce fait, l’on peut dire que l’homme développant des troubles mentaux, étant en conflit avec ses voisins, la société, est diabolisé. Diabolisé par qui ? Le psychiatre, qui n’est qu’autres que le sous fifre de l’Etat. Il est la Main de l’Etat. La psychiatrie, ayant la volonté de résoudre des conflits et désignant le coupable (le responsable), a donc un lien fort avec le politique. La politique et la psychiatrie ne font en réalité qu’un. Qu’est-ce que la politique ? C’est agencer et réguler la société selon des règles, partant du principe que des conflits qu’ils soient petits ou grands, éclatent entre les citoyens. Comment l’esprit serait perturbé, à quel moment considère-t-on qu’il y a un trouble de l’esprit, autrement dit que l’esprit est défaillant ?
Tout d’abord, le psychiatre considère que l’esprit d’une personne est défaillante lorsque son attitude, ses réactions provoquent un trouble dans l’espace public. L’objectif du psychiatre est de rendre la personne soumise, elle doit se soumettre aux règles imposées par l’Etat pour que nous puissions tous vivres ensemble, dit-on. Il s’agit en effet du « bien commun » qui suggère que chacun peut trouver son propre bonheur en respectant une diatribe de règles imposés. Ces règles, dit-on, empêcherait « sa nature » de prendre le dessus pour faire un acte immoral. Le psychiatre aurait donc une mission morale. Celle de rendre les gens moraux (les sujets ayant des troubles mentaux) et celle de donner à l’espace public un caractère sain. Il faut pacifier la zone. Avec quels outils le psychiatre agit-il ? Il à sa disposition dans un premier temps des médicaments, et dans un second temps « la mise en prison », la détention de l’individu en Hôpital psychiatrique. La carte de l’Hôpital psychiatrique peut être utilisée dans un premier temps lorsque les « cas psychiatriques » ne sont pas détectés à temps.
Quel est le but du médicament ? Quel est le but du neuroleptique ? Il s’agit de rendre le patient inerte, de lui dérober ses fonctions vitales. Il s’agit de diminuer son énergie, de nuire à sa capacité de vivre naturellement (au fonctionnement naturel de son corps). Le but caché est de rompre l’équilibre psychique du patient. Qu’est-ce qu’un équilibre psychique ? C’est la capacité du corps d’un être humain à réguler des substances, des liquides ou en produire dans le but de répondre à ses demandes, que ce soit dans un but moteur (le corps), ou intellectuel (l’esprit). Quelle substance vise-t-on à nuire dans le cadre du « médicament » neuroleptique ? Il s’agit de la dopamine. La dopamine est source d’énergie, elle régule les humeurs et se trouve en grand nombre lorsque l’esprit est agité. Elle est source de bonheur. C’est la dopamine qui crée un lien entre les frémissements de l’esprit et le mouvement du corps. Elle permet une indépendance mentale du sujet. S’attaquer à elle, c’est s’attaquer à la liberté de la personne. Le neuroleptique n’a pas le but unique de rendre la personne plus fatigué. En réalité elle a un second but bien plus recherché, celui de le rendre malléable aux injonctions du psychiatre, et donc de l’Etat. Le neuroleptique fatigue, mais ce n’est pas son but. Le but est de rendre l’élément perturbateur « le patient dit-on » docile. Il faut bien évidemment prendre en compte que les termes patient, soignant, médecin ou encore médicaments sont mensongers. Rendre docile, c’est rendre le patient apte à être influencer par l’extérieur, voilà le but du neuroleptique. Le but est de changer le comportement des gens par la Force. Nous utilisons d’abord la force immédiate, la force des mains et des barreaux, pour sécuriser l’espace publique et y éloigner tous les dangers. Puis l’on s’attaque à l’esprit du patient, en utilisant le neuroleptique. En essayant de diminuer ses fonctions vitales, on essaye de s’attaquer à l’esprit. On pourrait prendre pour exemple une machine de torture qui a pour but de faire souffrir le patient dans le but de lui faire concéder sa soumission. Ce qu’oublient les psychiatres, c’est qu’il y a une séparation nette entre le corps et l’esprit. On peut s’attaquer au corps d’un individu, mais cela ne changera rien à sa détermination. L’esprit est inatteignable, et il ne le sera jamais.
, dites moi ce que vous en pensez ?
Force à toi khey 
personne 
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