JuliaHolter
2021-01-06 05:12:34
Quand la prof de français collait ses seins laiteux de quarantenaire bien conservée contre ton épaule, les gigotait vaillamment tandis que l’encre rouge de son stylo s’écoulait à flot sur la feuille qu’elle triturait d’une main marquée par le temps ; qu’elle lançait d’une voix dubitative : « Julia, comment peux-tu faire autant de fautes, quand d’ordinaire tes copies sont les plus propres et les mieux rédigées de toutes ? » ; que la tension, une fois redescendue à la fin de cette brève étreinte, te poussait à souffler d’un bégaiement nerveux d’inaudibles excuses, et en repensant aux autres fois où ce somptueux contact t’eut inspiré le soir à te branler furieusement sur cette image ancrée à jamais dans ton esprit, tu gravais ces souvenirs que quinze hivers ne purent refroidir ; et qu’encore aujourd’hui il t’arrive de repenser à ce moment divin en te questionnant sur le sort que le destin a réservé à ces deux attributs entre lesquels tu aurais jeté ton dévolu, et que lorsque, parcourant son profil facebook, tu réalises que même à cinquante-cinq ans elle reste toujours aussi bien conservée, tu décides de sacrifier une ultime fournée en l’honneur de la perfection qu’elle représente, avant de fermer les yeux et céder à un sommeil fœtal, ravivant les souvenirs oubliés de ta tendre enfance, où l’amour d’une mère dévouée, en donnant son sein, fit naître en toi l’indomptable désir de lui trouver digne successeur ; et qu’enfin sur un nuage, apaisé, tu sombres finalement dans le vide le plus total, toute énergie dissipée, le cœur ne battant plus que pour cette paire de loche bénie des dieux, sérieux, les kheys, ces moments parfaits, on en talk ou bien ?
MarsoZinzolino
2021-01-06 05:21:02
P'tain madame Colin
Prof de français remplaçante, je me souviendrai toujours, elle s'était penchée en avant sur son bureau pour écrire quelque chose tout en étant debout, on était tous debout, c'était la fin de l'heure. J'ai vu son décolleté, ses deux gros seins tout blancs. J'ai pas pu enlever mon regard, jusqu'à ce qu'elle me fixe quelques instants. J'étais tellement puceau que je me suis dit "oulalah Marso, c'est mal de faire ça"
Et aujourd'hui après avoir connu pas mal de nana, cette image reste en effet encrée dans mon psychique.
CR___SEPT
2021-01-06 05:24:09
Putain moi c'était une prof d'italien remplaçante que j'avais au lycée, une bonne petite narbonoïde un peu grasse avec un sourire parfait et un super teint, qu'est ce qu'elle m'excitait cette déesse romaine. J'aurais tant aimé qu'elles viennent poser ses gros seins sur mon épaule pendant qu'écrivais.