manbearpig2014
2019-04-26 20:01:14
Bon, je vous préviens tout de suite, ça risque d'être un peu gay, donc si vous êtes homophobes, pas la peine de tout lire pour poster ensuite "J'ai vomi", inutile de vous rendre malades pour rien
Mon pote est assez BG. Il n’est pas très grand (dans les 1 mètres 75), il est blond avec des cheveux qui partent un peu dans tout les sens, il a des tâches de rousseur, un tout petit nez et des yeux bleus très clairs, l’ensemble donne à son visage un air un peu naïf et enfantin. Il est assez fin et a une musculature bien dessinée. A ce que je sais (ou à ce que je savais jusqu’à hier), il est hétéro. En ce qui me concerne, je suis bi, il le sait, et ça ne lui a jamais posé de problèmes, et j’ai toujours tout fait pour qu’il n’y ait pas d’ambiguités entre nous, qu’il ait pas « peur » de moi.
Mais il fallait bien que cet équilibre soit rompu un jour On était en soirée tous les deux, hier, des connaissances communes, dans une grande baraque en banlieue lointaine de Paris, presque la cambrousse. Vers 1 heure, je ne le voyais plus, et comme je sais qu’il tient pas des masses l’alcool, je me suis dit qu’il était sans doute en train de finir la soirée la tête dans les chiottes
Comme il ne réaparraissait pas, je suis quand même monté à l’étage. Pas de trace de lui dans les chiottes, ni dans la salle de bains, j’ai regardé vers les chambres (c’était une grande baraque, donc beaucoup de chambres). Je l’ai trouvé dans une des piaules. Il était allongé sur le dos en diagonale sur un lit double, et, détail qui a son importance , il était en boxer. Son T-shirt, son pantalon, ses chaussures et ses chaussettes étaient en vrac à côté du lit. Je dois vous dire que voir mon pote presque nu m’a fait un certain effet, mais je me suis dit tout de suite : Calme-toi, Romain, c’est pas sa came.
Mais tout de même, j’ai pas quitté la chambre, j’ai dit : « Ca va, Nico ? » - « Ouais, ouais... » Je suis entré carrément et j’ai refermé la porte. Il a ajouté : « Jérôme (le mec qui organisait la soirée) a dit que je pouvais prendre sa piaule, je crois que je vais rester ici, je suis pas trop en état de rentrer. » - « Ouais, je vois ça », j’ai répondu. Je me suis assis en tailleur sur le lit à côté de lui, et on a discuté un peu, surtout de nos soirées précédentes. Et tout en parlant, je ne pouvais pas m’empêcher de le regarder. Je regardais son torse nu et imberbe se soulever avec sa respiration, ses minuscules tétons, son ventre plat et la petite ligne de poils allant de son nombril à l’élastique de son boxer Il avait les mains derrière la tête, et je regardais ses bras fins et musclées, les quelques poils blonds et peu nombreux de ses aisselles
J’étais assez alcoolisé, et j’avais grave envie de le toucher, mais je ne trouvais pas de prétexte (oui, c’est con). Sans y penser, presque automatiquement, j’ai mis ma main gauche sur son torse. Il n’a même pas sursauté, ni paru surpris. Je sentais son coeur battre sous sa peau. « Tu continues la muscu ? » j’ai demandé. - « Non, pas trop, en ce moment, avec la fac et tout... » - « En tout cas t’es bien tracé mon salaud ! », ma main glissant doucement sur la peau douce de son ventre. Il a rigolé : « Tu profites du fait que je suis torché pour abuser de moi, c’est ça ? » (apparemment ça ne lui déplaisait pas ) - « Tu sais, je crois que je suis presque aussi déchiré que toi ! » Ce était vrai J’ai vu que son boxer était tendu à craquer, mais je ne le lui ai pas fait remarquer pour pas le faire flipper. Avec ma main droite, je carressais son torse et son ventre du bout des doigts tandis que ma main gauche s’aventurait sur son cou et sur ses épaules, et je lui ai dit : « De toute façon, si ça te gave, tu me dis stop » - « Non, il a dit d’un air moqueur, je sais que tu kiffes ! » Mais j’ai été ravi de remarquer une légère tension dans sa voix, tandis que ma main droite descendait doucement vers l’élastique du boxer. Puis, tout doucement, j’ai soulevé l’élastique et j’ai fait glisser son boxer, en dévoilant son magnifique chibre bien tendu qui se déployait devant mes yeux
Je lui ai complètement retiré son boxer (il a même inconsciemment soulevé les fesses pour m’aider dans cette opération délicate), et je lui ai dit en riant : « Eh bien enfoiré, tu m’avais caché ça ? » Et lui, faussement décontracté, a fait : « T’as vu ça un peu ? » mais je savais qu’au fond de lui il était un peu anxieux et attendait la suite. Ses couilles étaient bien rondes et fermes, bien accrochées au reste. J’ai passé ma main droite sur son pénis et j’ai commencé à le branler doucement, en le décalottant et en le recallottant délicatement. « Tu sais que tu peux toujours dire stop », j’ai dit en continuant, mais je savais qu’il ne le ferait pas, il respirait avec de plus en plus de difficulté et regardait le plafond, les yeux à moitié clos. Son ventre se creusait plus, et je voyais presque sous la peau de son torse les pulsations de son coeur.
Je kiffais le voir comme ça, pas sûr de lui, nu devant moi et entièrement à ma merci, se laissant totalement faire et ne pouvant plus me cacher le plaisir qu’il ressentait J’ai accéléré le mouvement et il n’a pas tardé à pousser des petits gémissements, genre « Han ! » Ses abdos se tendaient, son visage devenait de plus en plus rouge, et son cou aussi était de plus en plus tendu, je savais que ça n’allait pas tarder à arriver Quand j'ai senti qu'il était au bord de l'orgasme, j'ai ralenti le mouvement et je l'ai laissé redescendre, pour reprendre ensuite et faire durer le plaisir
A la troisième fois où je lui ai fait ça, il y a un moment où il pouvait plus tenir, il a dit : « Euh… Romain », tout en continuant à respirer difficilement, puis il a poussé une sorte de « Aaaah ! », j’ai senti une secousse au niveau de son sexe et deux jets sont partis, atterrissant sur son torse, pile entre ses tétons. Puis son corps s’est détendu, il respirait comme un coureur qui vient de finir un cent mètres.
Je sentais arriver le malaise Je lui ai dit : « Ca va ? », du genre : on reste toujours potes, malgré ce petit écart ? Il m’a dit : « Ca va. » Et il a souri, tout en continuant à reprendre son souffle : « Clotilde se débrouillait quand même mieux que toi ! » - « Enfoiré », puis je lui ai dit : « Attends, bouge pas. » Je me suis levé et j’ai sorti discrètement la tête par la porte. Il n’y avait personne à l’étage, on entendait toujours la musique, les cris et les rires en bas. J’ai fait une excursion jusqu’aux chiottes, et je suis revenu dans la piaule avec du P-cul. Nico était dans la position où je l’avais laissé, étendu de tout son long, les mains derrière la tête. J’ai nettoyé le sperme sur son torse.
On a continué à discuter un peu, puis il s’est endormi peu à peu. Je l’ai laissé là, j’ai balancé le P-cul utilisé dans les chiottes, puis je suis retourné en bas, j’ai discuté avec deux-trois personnes, et je me suis cassé, vers 2 heures et demie. Depuis hier, plus de nouvelles, il ne m’a pas envoyé de textos, rien…
Je me demande comment va se passer la suite. Il a va s'en souvenir, c'est sûr Toutes les traces du « crime » ont été effacées, on l’a sans doute retrouvé juste à poil sur un lit, mais rien de particulièrement anormal. Mais je me demande si il va faire allusion à ça quand on va se revoir, ou s'il va faire semblant d'avoir oublié