Fenomenes
2017-08-28 00:50:46
C'est le seul rempart face à la décadence.
Les germants-scandinaves l'ont très bien compris et vivent aisément
Le sexisme ambiant sera définitivement abolie, ainsi que les revendications virilistes grotesques.
Ce système ne se baserait pas sur une discrimination sexuelle, mais sur l'importance accordée au féminin, car la femme incarnant la reproduction de l'espèce et son espoir de pérennité dans une dimension temporelle qui n'était pas linéaire comme elle le devint avec le patriarcat, mais circulaire et cyclique où prend naissance le mythe de « l'éternel retour ».
Dans cette société, les rapports entre femmes et hommes seraient assez égaux même si la prépondérance serait accordée au féminin en raison de la religiosité qui entoure la maternité. Le matriarcat ne doit probablement jamais maltraiter les hommes, et le passage au patriarcat doit se faire dans une relative égalité des sexes jusqu'à ce que pour des raisons qui restent à étudier celui-ci s'instaure définitivement dans la violence et par la discrimination qui est encore inhérente aujourd'hui.
On pourrait inaugurer ces sociétés matriarcales par une structure en familles élargies collectivistes (clans), matrilinéaires, sans mariage, ni paternité génétique reconnue. L’enfant appartiendra au clan de sa mère dont est exclu le géniteur.
Les enfants sont élevés par les hommes de leur clan (oncles maternels) et non pas par leur géniteur.
Il n’y aura pas de couple, ni de fidélité, ni de jalousie, ni de possessivité, ni de violence sexiste, ni de prostitution, ni aucune marchandisation du sexe. Quand bien même il existera certaines formes de mariage, on parlera plutôt de concubinage, d’unions temporaires à durée déterminée. L'oncle maternel restera le premier référent auprès de l’enfant, le père n’aura aucun droits, et les mœurs sexuelles resteront plutôt permissives et laxistes.
Les affaires internes à la famille sont plutôt gérées par les femmes, tandis que les affaires externes à la famille sont plutôt gérées par les hommes. La répartition du travail se fait au mérite. Ainsi, la mère n’est pas au-dessus mais au centre de la société. De manière générale, les femmes possèderont les enfants, les foyers, la terre, les commerces… Elle vont élire et révoquer les chefs mâles, et ont un droit de veto sur toutes leurs décisions. Par conséquent, la femme détient le pouvoir mais ne l’exerce pas. L'homme exercera le pouvoir mais ne le détiendra pas. Le pouvoir de l’homme procèdera toujours du consentement de la femme.
Je pourrais étayer plus si vous avez des questions