Proletario
2017-05-05 12:41:26
Sans rigoler.
On parle de l'un des philosophes les plus importants de toute l'histoire de l'humanité.
Socrate n'était pas juste musclé, c’était une bête. A peu près tous les philosophes grecs, poètes, tragédiens, etc devaient l’être parce qu’ils étaient tous hommes, citoyens adultes et devaient donc se battre dans l’armée ou ramer au sein de la flotte. Ou les deux.
Les gens sous-estiment l’effort physique que ces choses demandaient. Ces mecs s’entrainaient tous les jours. Ils s’entrainaient tellement qu’ils finissaient par aimer ça. Ils vivaient pour l’entraînement.
Leur temps libre était principalement composé de deux choses : l’entraînement, pour ensuite s’extasier devant leurs corps musclés sous le Soleil méditerranéen. Dans le premier dialogue de Platon, les dix premières pages décrivent Socrate en train de s’extasier devant le torse transpirant et masculin d’un adolescent à travers son chiton. Socrate se trouve alors comme un lion prêt à bondir sur sa proie. Il arrive à peine à se contrôler.
C’est comme ça que la tradition philosophique Occidentale commence : un désir homo-érotique pour des abdos dessinés. Quand Alcibiade, l’homme le plus viril qui ait été donné d’exister débarque dans le fameux banquet au cours duquel les invités débattent à propos de l’Amour, c’est pour demander à Socrate pourquoi il n'a jamais voulu le baiser quand ils se caressaient. Vous voulez savoir comment le dialogue se termine ? Socrate part au gymnase s’entraîner.
Les reconstructions modernes n’ont pas réussis à imiter les exploits physiques reportés dans l’infanterie athénienne – c’est-à-dire, la citoyenneté athénienne. Souvent, les historiens modernes ont des doutes quant à l’existence de ces exploits, comme par exemple la ruée de l’armée sur toute la longueur du champ de Marathon.
Ça s’explique par le fait que les athlètes et bodybuilders modernes sont incapables de faire ces choses, même avec un équipement relativement léger en comparaison de ce que les soldats athéniens portaient. Il a fallu une équipe de rameurs Olympiques pour ne serait-ce que se rapprocher des techniques de navigation de la flotte athénienne, et en dehors de conditions de combats, sur une mer calme. La totalité de la flotte athénienne était régulièrement capable d’effectuer ces manœuvres, saison après saison, année après année, bataille après bataille.
Le seul moteur de ces manœuvres était le muscle. Un pur, transpirant et puissant muscle athénien. Les hommes d'Athènes étaient enviés par tous les peuples grecs.
On peut facilement comprendre que les historiens modernes, venant d’une société composés de flasques, faibles skinnyfats, ne puissent pas comprendre la pure virilité d’Athènes. Socrate a sauvé Alcibiade pendant une bataille durant la guerre du Péloponnèse. Eschyle, le tragédien, s’est battu à Marathon. Et chacun d’entre eux s’entraînent et baisaient des culs musclés à chacun des instants où ils n’étaient pas occupés à inventer la civilisation Occidentale.
Et toi ?
BITANPLOMB-
2017-05-05 12:51:36
Les spartiates rigolent
Imbattables sur terre, les Athéniens attendaient comme des puputes derrière leurs murs quand les spartiates mettaient à sac les terres de l'Attique, pour sortir leurs bateaux et aller saccager le Péloponnèse quand celui-ci était inoccupée.
Athènes est le plus grand centre d'enculés (sens propre et figuré) de l'antiquité, je ne te parles même pas de la Ligue de Delos