TrollDWbukater
2017-04-14 09:50:46
General-Rageux General-Rageux
14 avril 2017 à 09:48:43
Alerte
Les maths, l'astronomie, la médecine, la justice,ça n'a pas été créer par des blancs
Et toi tes au rsa alors ferme la
Et galilée il etait noir?
Seguondaire_III
2017-04-14 10:10:44
Le 14 avril 2017 à 09:48:43 General-Rageux a écrit :
Les maths, l'astronomie, la médecine, la justice,ça n'a pas été créer par des blancs
Et toi tes au rsa alors ferme la
Chaque civilisation avait sa forme de math, d'astronomie, de médecine, de justice.
Le zéro "0" n'a pas été inventé, ce n'est pas possible qu'une civilisation, même la plus primitive possible, n'ait pas de notion de "quantité nulle", le "0" n'étant qu'un symbole appliqué à diverses notions mathématiques.
Quoiqu'il en soit, les européens ont développé ces domaines mieux que quiconque, et encore aujourd'hui, ils dominent sur les plans théoriques.
L'extinction de la race blanche n'amènera pas à l'âge de pierre, elle signera tout simplement la disparition de peuples devenus trop riches, vivant trop bien et étant trop libres pour être rentables et maîtrisables. La finance internationale ne veut pas de ces blancs aux conditions sociales et matérielles élevées, et donc exigeants.
Regardez le japonais. Il n'a pu continuer à exister après la seconde guerre mondiale et rejeter l'immigration uniquement en acceptant de vivre dans un placard à balais et en se châtrant. Beaucoup de japonais ont souffert de voir leur pays se transformer après la seconde guerre mondiale, car ils avaient à la base une paysannerie et une vie rurale assez développées.
Les peuples blancs subissent le déclassement par le combo immigration / délocalisation, toujours actif aujourd'hui, et ne concernant pas que les métiers sans qualification. Tout ce qui n'est pas blanc n'est pas idiot et il existe beaucoup d'africains et de maghrébins parfaitement capables de devenir ingénieurs et d'apprendre le français. C'est du vu et du vécu, et pas à Paris.
La seule vérité, la seule question importante, c'est : "voulez vous continuer à vivre, et comment ? Dans quelles conditions ?".
Le mérite n'est pas la question. La nécessité n'est pas la question. Trop de gens se posent les mauvaises questions. Trop de gens sacralisent béatement le progrès technique, la rentabilité économique et les besoins alimentaires. Ce sont des soumis, en dépit de leurs discours parfois élitistes. Ils gobent naïvement (ou à dessein, dans le cas de certains pervers) ce qu'on leur présente. Notre degré d'évolution nous permettrait de vivre exactement comme on l'entendrait. Mais cela exigerait de la discipline, de l'organisation de la violence, et paradoxalement une forme de tempérance que les esprits prétendument "modérés" de notre époque ne conçoivent pas.