Le 06 décembre 2016 à 00:07:01 risitasissou a écrit :
lis : celor est le plus grand des mongoles, il suce tous les zgueg du 64
Le 06 décembre 2016 à 00:09:12 risitasissou a écrit :
dit : celor la prochaine fois que tu te ramenes dans le 64 on te chie à l'arret ta compris espece de fiante puante
Le 06 décembre 2016 à 00:09:28 ToyAf3 a écrit :
" Si elle a pas de bite entre les cuisses j'osef total "
Le 06 décembre 2016 à 00:10:55 risitasissou a écrit :
garrec cherche des plans sympas sur Toulouse aidez le svp, il tappe dans tout : escort, transexuels, prostitués...
Le 06 décembre 2016 à 00:10:20 cilmanga_bisX49 a écrit :
Le 06 décembre 2016 à 00:09:28 ToyAf3 a écrit :
" Si elle a pas de bite entre les cuisses j'osef total "
Cool j'aurai plus cas C/C ce vocaroo sur les topics "cette 10/10 vous lui faite quoi"
Un amour lacéré à la chair entamée
Chaque jours par des vers aux instincts affamés.
Ta matière qui graduellement s’estompe
Est à chacune de mes visites moins prompte
A être l’usage de mes desseins lascifs
Qui en tout âge sont divins et agressifs.
L’hérésie frénétique intacte de mon acte
Dans le contraste de mon corps toujours intact
Et du tiens souffrant sans sueur sous le suaire.
Tu t’effrites à travers mes plaisirs mortuaires
Dont l’émérite de ceux-ci en est si fier
Qu’il en perd la raison, je tombe dans l’avenir de hier.
Mon éphémère folie cesse lorsque ton corps
Je délaisse, et que je fuis ce morne décor.
Je reviendrai encore de manière identique,
Te souiller dans un an en ce jour romantique.
Hop hop hop
Le 06 décembre 2016 à 00:20:02 ecarllates a écrit :
Un amour lacéré à la chair entamée
Chaque jours par des vers aux instincts affamés.
Ta matière qui graduellement s’estompe
Est à chacune de mes visites moins prompteA être l’usage de mes desseins lascifs
Qui en tout âge sont divins et agressifs.
L’hérésie frénétique intacte de mon acte
Dans le contraste de mon corps toujours intactEt du tiens souffrant sans sueur sous le suaire.
Tu t’effrites à travers mes plaisirs mortuaires
Dont l’émérite de ceux-ci en est si fier
Qu’il en perd la raison, je tombe dans l’avenir de hier.Mon éphémère folie cesse lorsque ton corps
Je délaisse, et que je fuis ce morne décor.
Je reviendrai encore de manière identique,
Te souiller dans un an en ce jour romantique.Hop hop hop
Le 06 décembre 2016 à 00:21:43 holyprane a écrit :
я люблу тебя малинка мая
Le 06 décembre 2016 à 00:24:56 cilmanga_bisX49 a écrit :
Le 06 décembre 2016 à 00:20:02 ecarllates a écrit :
Un amour lacéré à la chair entamée
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Ta matière qui graduellement s’estompe
Est à chacune de mes visites moins prompteA être l’usage de mes desseins lascifs
Qui en tout âge sont divins et agressifs.
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Tu t’effrites à travers mes plaisirs mortuaires
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Je reviendrai encore de manière identique,
Te souiller dans un an en ce jour romantique.Hop hop hop
t'as oublié le "hop hop hop"
recommence
Le 06 décembre 2016 à 00:26:26 holyprane a écrit :
Le 06 décembre 2016 à 00:24:56 cilmanga_bisX49 a écrit :
Le 06 décembre 2016 à 00:20:02 ecarllates a écrit :
Un amour lacéré à la chair entamée
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Ta matière qui graduellement s’estompe
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Dans le contraste de mon corps toujours intactEt du tiens souffrant sans sueur sous le suaire.
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Le 06 décembre 2016 à 00:26:26 holyprane a écrit :
Le 06 décembre 2016 à 00:24:56 cilmanga_bisX49 a écrit :
Le 06 décembre 2016 à 00:20:02 ecarllates a écrit :
Un amour lacéré à la chair entamée
Chaque jours par des vers aux instincts affamés.
Ta matière qui graduellement s’estompe
Est à chacune de mes visites moins prompteA être l’usage de mes desseins lascifs
Qui en tout âge sont divins et agressifs.
L’hérésie frénétique intacte de mon acte
Dans le contraste de mon corps toujours intactEt du tiens souffrant sans sueur sous le suaire.
Tu t’effrites à travers mes plaisirs mortuaires
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Qu’il en perd la raison, je tombe dans l’avenir de hier.Mon éphémère folie cesse lorsque ton corps
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La notion d'atome est particulièrement bien admise par le grand public, pourtant, paradoxalement, les atomes ne peuvent pas être observés par des moyens optiques et seuls quelques rares physiciens manipulent des atomes isolés. L'atome est donc un modèle essentiellement théorique. Bien que ce modèle ne soit plus aujourd'hui remis en cause, il a beaucoup évolué au cours du temps pour répondre aux exigences des nouvelles théories physiques et rendre compte des résultats expérimentaux obtenus au fil du temps.
Antiquité : un concept philosophique[modifier | modifier le code]
Il est probable que plusieurs peuples aient développé la notion de « grain composant la matière », tant ce concept semble évident lorsque l'on morcelle une motte de terre, ou en regardant une dune.
Dans la culture européenne, ce concept apparaît pour la première fois dans la Grèce antique au ve siècle av. J.-C., chez les philosophes présocratiques, notamment Leucippe, env. 460-370 av. J.-C., Démocrite et, plus tard, Épicure. La théorie atomiste sera ensuite magnifiquement exposée par le Romain Lucrèce dans son œuvre De rerum natura2, qui nous est parvenue.
Il s'agit d'une conception du monde qui fait partie de la recherche des principes de la réalité, recherche qui caractérise les premiers philosophes : on suppose que la matière ne peut se diviser indéfiniment, qu'il y a donc une conservation des éléments du monde, qui se transforment ou se combinent selon des processus variés. La décomposition du monde en quatre éléments (eau, air, terre, feu) peut donc compléter cette thèse. L'atomisme est une solution concurrente, qui naît de l'opposition de l'être et du néant : l'atome est une parcelle d'être qui se conserve éternellement, sans quoi, les choses finiraient par disparaître. Les atomes sont indivisibles ; ils composent la matière comme les lettres composent les mots. Ce fut, sans aucun doute, un tournant philosophique majeur, à l'origine du matérialisme et de la séparation de la science et de la religion. Cependant, même si l'empirisme épicurien tente d'établir cette hypothèse sur des bases scientifiques, l'atome demeure une intuition sans confirmation.
La chimie du xviiie siècle — les éléments[modifier | modifier le code]
Depuis des millénaires, on a remarqué que les produits se transforment : le feu, la métallurgie (transformation du minerai en métal), la corrosion (dégradation du métal), la vie, la cuisson des aliments, la décomposition de la matière organique… Par exemple, pour Empédocle, les transformations de la matière s'expliquaient de la manière suivante : il y avait quatre types d'éléments (eau, air, terre, feu) qui s'associaient et se dissociaient, en fonction de l'amour ou de la haine qu'ils se portaient — les fameux « atomes crochus ». Au Moyen Âge, les alchimistes ont étudié ces transformations et remarqué qu'elles suivent des règles bien précises. Vers 1760, des chimistes britanniques commencent à s'intéresser aux gaz produits par les réactions, afin d'en mesurer le volume et de les peser. Ainsi, Joseph Black, Henry Cavendish et Joseph Priestley découvrent différents « airs » (c'est-à-dire gaz) : l'« air fixe » (le dioxyde de carbone), l'« air inflammable » (le dihydrogène), l'« air phlogistiqué » (le diazote), l'« air déphlogistiqué » (le dioxygène)… (Le terme « phlogistique » provient de la théorie du chimiste allemand Georg Ernst Stahl, au début du xviiie siècle, pour expliquer la combustion ; cette théorie fut balayée par Lavoisier.)
Antoine Laurent de Lavoisier (chimiste français) énonce en 1775 que3 : « Rien ne se perd, rien ne se crée, tout se transforme » (formulé d'une manière légèrement différente à l'époque) signifiant par là que :
la masse se conserve pendant les réactions chimiques.
Les scientifiques avaient observé que si l'on pesait la matière solide avant et après la combustion, on avait une variation de masse ; ceci provient d'un échange avec l'air (l'oxygène s'incorpore et alourdit, le dioxyde de carbone et la vapeur d'eau s'en vont et allègent). Il suffit pour s'en rendre compte de faire brûler dans une cloche fermée, et de peser la cloche en entier, somme solide et gaz (compris) : la masse totale ne change pas ;
les substances se décomposent en « éléments », c'est l'organisation de ces éléments qui change lors d'une réaction.
Cette notion marque la véritable naissance de la chimie. Les chimistes ont donc commencé à recenser les éléments dont sont composées toutes les substances et à créer une nomenclature systématique — oxygène : qui produit des acides (οξυs signifie « acide » en grec) — hydrogène : qui produit de l'eau… Par exemple, en 1774, Lavoisier, en suivant les travaux des chimistes britanniques, établit que l'air se compose en « air vital » (dioxygène) et en « air vicié et méphitique, mofette » (diazote) ; en 1785, il décompose l'eau (en faisant passer de la vapeur d'eau sur du fer chauffé au rouge) et montre donc que ce n'est pas un élément, mais que l'eau est décomposable en éléments (c'est en fait une pyrolyse). Le terme d'« analyse » provient d'ailleurs de cette notion de décomposition, lusis (λυσιs) signifie « dissolution » en grec : on décompose les produits (par attaque acide, en les brûlant, en les distillant, etc.) jusqu'à obtenir des substances simples reconnaissables facilement (l'hydrogène, l'oxygène, le carbone, le fer, etc.).
On a donc la première constatation expérimentale de la décomposition de la matière en substances élémentaires.
La physique du xviiie siècle — les particules[modifier | modifier le code]
Un autre pas, fait en parallèle, vient de l'étude des propriétés des gaz et de la chaleur (thermodynamique).
Les fluides (liquides et gaz) sont étudiés en Europe depuis l'Antiquité, mais c'est au milieu du xviie siècle que l'on commence vraiment à cerner leurs propriétés, avec l'invention du thermomètre (thermoscope de Santorre Santario, 1612), du baromètre et du vide pompé (Evangelista Torricelli, 1643), l'étude de l'expansion des gaz (Gilles Personne de Roberval, 1647), la pression atmosphérique (Blaise Pascal et Florin Perrier, 1648), les relations entre pression et volume (Robert Boyle en 1660, Edmé Mariotte en 1685), la notion de zéro absolu (Guillaume Amontons, 1702), etc.
René Descartes (mathématicien, physicien et philosophe français) émet l'idée, en 1644, que les gaz sont composés de particules tourbillonnantes. Mais il ne s'agit là encore que d'une conception imagée, sans appui expérimental ; dans le même ordre d'idées, Descartes pensait que c'était aussi un tourbillon de « matière subtile » qui entraînait la rotation des planètes (ceci fut mis en défaut par Isaac Newton avec l'attraction universelle en 1687).
Cependant, cette notion de corpuscules inspira d'autres scientifiques. Les mathématiciens suisses Jakob Hermann (1716) et Leonhard Euler (1729), mais surtout le physicien suisse Daniel Bernoulli (1733), effectuent des calculs en supposant que les gaz sont formés de particules s'entrechoquant, et leurs résultats sont en accord avec l'expérience. C'est la conception « cinétique » des gaz, c'est-à-dire l'explication de la température et de la pression par des particules en mouvement.
Une autre science se développe à la fin du xviiie siècle : la cristallographie. Ce qui intrigue les scientifiques, c'est l'observation des formes géométriques des cristaux naturels, et leur capacité à se cliver selon des plans lisses respectant ces symétries. Reprenant l'idée de classification des êtres vivants de Carl von Linné, on commence à rechercher et classer les minéraux (Jean-Baptiste Romé de L'Isle, minéralogiste français, 1772). L'abbé René-Just Haüy (cristallographe français), en 1781, suppose que la forme des cristaux reflète la symétrie d'une « brique élémentaire », le cristal étant un assemblage de ces briques. On retrouve ici cette notion de composant élémentaire de la matière.
xixe siècle — le triomphe de l'atome[modifier | modifier le code]
À ce stade, ressortaient trois notions :
les corps chimiques sont décomposables en substances élémentaires ;
les gaz sont composés de corpuscules qui volent et s'entrechoquent ;
les cristaux sont composés de cellules dont la forme détermine la forme extérieure du cristal.
Ces notions ont en commun le fait que la matière homogène est composée de corpuscules tous semblables entre eux, mais trop petits pour être visibles. Les découvertes du xixe siècle vont permettre de faire converger ces trois notions, et d'établir les notions de molécule et d'atome.
John Dalton (chimiste et physicien britannique), en 1804, mesure les masses des réactifs et des produits de réaction, et en déduit que les substances sont composées d'atomes sphériques, identiques pour un élément, mais différents d'un élément à l'autre, notamment par la masse de ces atomes. Il découvre également la notion de pression partielle (dans un mélange de gaz, la contribution d'un gaz donné à la pression totale). Il fut le premier à émettre les idées de la théorie atomique.
En 1807, Louis Joseph Gay-Lussac (physicien et chimiste français), établit la loi reliant la température et la pression d'un gaz. En 1808, il établit que les gaz réagissent en proportions déterminées ; les rapports des volumes des réactifs et des produits de réaction sont des nombres entiers petits. Le fait que ce soit des nombres entiers, a induit fortement à penser que la matière n'est pas « continue » (pensée dominante à cette époque), mais faite d'éléments discontinus.
Amedeo Avogadro (physicien italien), en 1811, énonce, sans preuve, que pour une température et une pression fixées, un volume donné de gaz contient toujours le même nombre de molécules, et ce quel que soit le gaz. Il fait également l'hypothèse que les gaz sont polyatomiques, et définit nettement molécules et atomes. André-Marie Ampère (1814), Jean-Baptiste Dumas (1827) et William Prout (1834) arrivent à la même conclusion.
En 1813, Jöns Jacob Berzelius inventa et fit admettre universellement des formules chimiques analogues aux formules algébriques pour exprimer la composition des corps ; le système actuel de notation fut adopté grâce à lui qui le proposa.
En 1821, John Herapath (en) (mathématicien britannique) publie une théorie cinétique des gaz pour expliquer la propagation des sons, les changements de phase (vaporisation, liquéfaction) et la diffusion des gaz. Robert Brown (botaniste britannique), en 1827, observe le mouvement de particules à l'intérieur de grains de pollen ; ceux-ci vont en ligne droite, et ne changent de direction que lors d'un choc avec un autre grain ou bien contre une paroi. C'est de ce comportement, le « mouvement brownien », que s'inspireront les physiciens pour décrire le mouvement des molécules de gaz.
Gabriel Delafosse, en 1840, suppose que l'on peut dissocier la composante élémentaire du cristal et son organisation ; ainsi, la brique élémentaire de Haüy pourrait être un réseau aux nœuds duquel se trouveraient des « molécules » ; ce serait la forme du réseau qui donnerait la forme au cristal et non pas nécessairement la forme des molécules.
Louis Pasteur (chimiste et biologiste français), en 1847, établit le lien entre la forme des molécules et la forme des cristaux (en fait, la molécule donne sa forme au réseau, et le réseau sa forme au cristal). Auguste Bravais (physicien français), en 1849, détermine les 32 réseaux cristallins possibles.
En 1858, Stanislao Cannizzaro insiste sur la distinction, précédemment émise par Avogadro sous forme d'hypothèse, entre le poids moléculaire et atomique et montre comment le poids atomique des éléments contenus dans des composés volatils peut être déduit de la connaissance de leur chaleur spécifique et comment le poids atomique des composés dont la densité de vapeur est inconnue peut aussi être déduite de la chaleur spécifique. La même année, Rudolf Clausius (physicien allemand) définit le libre parcours moyen d'une molécule dans un gaz (distance moyenne parcourue entre deux chocs). Partant de là, en 1859, James Clerk Maxwell (physicien écossais) introduit la notion de dispersion statistique des vitesses des molécules dans la cinétique des gaz. Ceci permit à Ludwig Boltzmann (physicien autrichien), en 1858,
Cette masse est généralement exprimée en unités de masse atomique (« uma », ou « u »), définie comme la douzième partie de la masse d'un atome de 12C non lié et à son état fondamental, soit 1 uma = 1,66054×10-27 kg ; dans cette unité, la masse du nucléide 238U vaut 238,0507826 uma. Une unité alternative également très employée en physique des particules est l'électron-volt divisé par le carré de la vitesse de la lumière (eV/c2), qui est homogène à une masse en vertu de la fameuse équation E = mc 2 de la relativité restreinte, et qui vaut 1 eV/c2 = 1,783×10-36 kg ; dans cette unité, la masse du noyau 238U est égale à 221,7 GeV/c2.
Compte tenu de leur taille et de leur masse singulièrement réduites, les atomes sont toujours en très grand nombre dès qu'on manipule une quantité de matière macroscopique. On définit ainsi la mole comme étant la quantité de matière constituée par autant d'unités élémentaires (atomes, molécules, électrons, etc.) qu'il y a d'atomes dans 12 g de carbone 12, soit pas moins de 6,022×1023 unités élémentaires, ce qu'on appelle le nombre d'Avogadro.
Particules subatomiques[modifier | modifier le code]
Articles détaillés : Particule subatomique et Physique des particules.
Articles connexes : Particule élémentaire, Théorie quantique des champs et Modèle standard (physique des particules).
Bien que son étymologie signifie « indivisible » en grec ancien, un atome est en réalité constitué de particules élémentaires plus petites, et peut donc être divisé ; mais il constitue bien la plus petite unité indivisible d'un élément chimique en tant que tel : en brisant, par exemple, un atome d'hélium, on obtiendra des électrons, des protons et des neutrons, mais on n'aura plus un corps simple ayant les propriétés de l'hélium.