Quand on y pense, un djihadiste

Né parmi les talibans, qui n'a jamais écouté de musique, qui a subi plein de contraintes, qui n'a jamais voyagé et a rejeté les oeuvres des kouffars (de son point de vue, nous les Occidentaux), qui a dû vivre dans des conditions spartiates, qui a dû s'entraîner très dur pour finalement mourir dans son attentat-kamikaze à la voiture piégée, a dû être très heureux
Car il s'est senti pur, noble, héroïque même, a appris à accepter des conditions de vie draconiques, et a pensé qu'il irait au Paradis.

Vous n'êtes pas d'accord ?
Que doit-on en conclure ?

Que devenir un steck-haché tueur fais de toi un homme comblé

Que le bonheur est relatif ?

Première nouvelle.

Le chien est heureux quand on le sort chier dans un buisson. Qu'en conclure ?

Peut-être que la vérité, comme moyen d'accéder au bonheur, est inférieure aux illusions dans lesquelles on se berce.

On est pas obligé "d'en conclure".

Le 24 février 2016 à 05:53:39 BernoulliM4 a écrit :
Peut-être que la vérité, comme moyen d'accéder au bonheur, est inférieure aux illusions dans lesquelles on se berce.

Donc le kamikaze il dispose et dispense la vérité c'est ça que tu nous dis l'auteur ?

Ou alors il est heureux parce qu'en accord avec sa vérité, c'est déjà un débat plus intéressant et moins dangereux

Il sait pas ce que c'est que d'etre heureux

Attention au dérapage