Le monde : La misère sexuelle des meufs au temps du covid

Le 06 janvier 2021 à 05:58:50 Soojin a écrit :

Le 06 janvier 2021 à 05:52:35 ----[N]---- a écrit :
Je ne suis ni privilégié (je suis déjà resté plus d'un an celib sans rapport, je sais ce que c'est d'avoir personne) ni low testo (ça m'est déjà arrivé de me branler 3 fois par jour tellement j'étais en manque).

Mais en solo ou avec une meuf, après avoir joui, j'ai toujours un désintérêt immédiat pour le sexe qui arrive après l'orgasme. J'ai l'impression que le sexe n'est qu'un besoin animal qui me domine avec l'excitation mais qui s'évapore dès que l'orgasme est passé.

La seule différence quand je suis avec une meuf, c'est la possibilité d'être contre elle, après l'orgasme, se faire des bisous ou se genre de trucs. Et je pense que ça tient davantage à un besoin affectif qu'à un besoin sexuel en soi. C'est sentir que le sexe n'est pas du sexe pour le sexe.

Le sexe pour le sexe me paraît sans intérêt. Je préfère me branler plutôt qu'être avec une fille que je n'aime pas. Dans les deux cas ça évacuera mes hormones.

C'est l'affectif qu'une fille compatible peut combler (ou pas)

Je suis d'accord
Le sexe en lui même n'est pas un besoin physiologique
On meurt pas si on pratique pas
Par contre il répond à des besoins d'appartenance et d'estime et peut donc devenir nécessaire pour se sentir bien
Mais dans le besoin d'appartenance l'affection et tout aussi voir encore plus importante que le sexe du moins je pense mais ça dépend peut être des individus

C'est un besoin narcissique et il y a une énorme disparité entre les sexes de satisfaction de ce besoin narcissique.

La misère sexuelle n'existe que dans vos têtes

Le 06 janvier 2021 à 06:10:57 RTX8090Ti a écrit :
La misère sexuelle n'existe que dans vos têtes

https://fr.wikipedia.org/wiki/Gaslighting

Le 06 janvier 2021 à 06:03:10 Aeris0001 a écrit :

Le 06 janvier 2021 à 05:58:50 Soojin a écrit :

Le 06 janvier 2021 à 05:52:35 ----[N]---- a écrit :
Je ne suis ni privilégié (je suis déjà resté plus d'un an celib sans rapport, je sais ce que c'est d'avoir personne) ni low testo (ça m'est déjà arrivé de me branler 3 fois par jour tellement j'étais en manque).

Mais en solo ou avec une meuf, après avoir joui, j'ai toujours un désintérêt immédiat pour le sexe qui arrive après l'orgasme. J'ai l'impression que le sexe n'est qu'un besoin animal qui me domine avec l'excitation mais qui s'évapore dès que l'orgasme est passé.

La seule différence quand je suis avec une meuf, c'est la possibilité d'être contre elle, après l'orgasme, se faire des bisous ou se genre de trucs. Et je pense que ça tient davantage à un besoin affectif qu'à un besoin sexuel en soi. C'est sentir que le sexe n'est pas du sexe pour le sexe.

Le sexe pour le sexe me paraît sans intérêt. Je préfère me branler plutôt qu'être avec une fille que je n'aime pas. Dans les deux cas ça évacuera mes hormones.

C'est l'affectif qu'une fille compatible peut combler (ou pas)

Je suis d'accord
Le sexe en lui même n'est pas un besoin physiologique
On meurt pas si on pratique pas
Par contre il répond à des besoins d'appartenance et d'estime et peut donc devenir nécessaire pour se sentir bien
Mais dans le besoin d'appartenance l'affection et tout aussi voir encore plus importante que le sexe du moins je pense mais ça dépend peut être des individus

le sexe est un besoin comme boire et manger, ceux qui nient cette réalité sont littéralement des fils de pute, je parle de biologie pas d'un avis ancré dans l'émotion.

trouve un animal qui peut pas baiser, il lutte jusqu'à la mort pour y arriver, c'est littéralement un moteur à l'existence comme se nourrir.

le jour ou on aura des robots putes en vr on pourra dire qu'on a enraillé la misère sexuel.

Non
Tu peux pas comparer un besoin physiologique tu y réponds pas tu creves
Et un besoin qui va jouer sur ton bonheur
Même si il joue sur ta santé mentale ça à toujours moins d'impact que si il te permet de vivre ou non

Les animaux castré cherchent pas à se suicider ce qui devrait être le cas selon ta logique

Je nie pas que c'est un besoin important et que c'est nécessaire pour être heureux.

Mais en parler comme quelque chose de nécessaire physiologiquement c'est ridicule.

Si on se base sur la pyramide de Maslow pour moi c'est au niveau du besoin d'appartenance qu'il se situe
Après les besoins physiologique et les besoins de securités

Mais dans tout les cas on est d'accord pour dire que c'est nécessaire pour être heureux

Personnellement j'ai plus reelement fait l'amour depuis presque un an avec mon ex ensuite j'ai eu du mal a tourner la page et il y a eu pleins de confinements et tout le reste mais normalement je vais re baiser prochainement

A l’annonce du deuxième confinement, Jeanne en a pleuré.

Ahi on vit pas dans la même réalitéhttps://image.noelshack.com/fichiers/2016/26/1467335935-jesus1.png

Le 06 janvier 2021 à 06:06:21 dinosaur_war2 a écrit :
>Putain y a une pandémie
La pire récession depuis la WW2
> Le changement climatique est irréversible et inévitable.

Et on a un article sur Jeanne qui pleure de pas baiser les gens sont complètement déconnectés des réalités.

ahi mais si les gens veulent vraiment baiser ou faire des soirée elles peuvent le faire avec de l'organisation

après oui pour les provinciales qui allaient le weekend dans les pubs claqués à chatelet c'est pas la même

Je pense qu'on devrait davantage parler de misère affective pour décrire ce qu'on observe en ce moment

A partir du moment où la masturbation est possible, la misère sexuelle ne peut pas exister au sens strict, dans le sens où chimiquement, on peut provoquer un orgasme tout aussi fort qu'avec un partenaire en s'y prenant bien (tout n'est que chimie, dans le cerveau)

Par contre, sans partenaire et sans cadre affectif, cet orgasme peut manquer d'autre chose, mais qui n'est pas dû au sexe en lui-même

Et on en parle de ma misère sexuelle ?
Putain, je suis réveillé depuis 5 heures du mat avec le barrot parce que j'ai rêvé que j'embrasser tendrement une connaissance et que je baisais.
Connaissance que j'aurais pu baiser, mais refus car en couple avec un amis, maintenant je ne parle plus à cet amis et je suis toujours pulco.
Un conseil, les kheys, toujours favoriser le sexe avant les amis. Ceux qui font l'inverse sont des cucks.https://image.noelshack.com/fichiers/2017/21/1495991698-cuck.png

Le 06 janvier 2021 à 06:26:30 ----[N]---- a écrit :
Je pense qu'on devrait davantage parler de misère affective pour décrire ce qu'on observe en ce moment

A partir du moment où la masturbation est possible, la misère sexuelle ne peut pas exister au sens strict, dans le sens où chimiquement, on peut provoquer un orgasme tout aussi fort qu'avec un partenaire en s'y prenant bien (tout n'est que chimie, dans le cerveau)

Par contre, sans partenaire et sans cadre affectif, cet orgasme peut manquer d'autre chose, mais qui n'est pas dû au sexe en lui-même

Je pense que la branlette ne compensera jamais une relation sexuelle.

Le 06 janvier 2021 à 06:26:30 ----[N]---- a écrit :
Je pense qu'on devrait davantage parler de misère affective pour décrire ce qu'on observe en ce moment

A partir du moment où la masturbation est possible, la misère sexuelle ne peut pas exister au sens strict, dans le sens où chimiquement, on peut provoquer un orgasme tout aussi fort qu'avec un partenaire en s'y prenant bien (tout n'est que chimie, dans le cerveau)

Par contre, sans partenaire et sans cadre affectif, cet orgasme peut manquer d'autre chose, mais qui n'est pas dû au sexe en lui-même

Comme je l'ai dis pour moi ça relève du besoin d'appartenance
C'est le besoin d'être en couple ou du moins d'avoir quelqu'un avec qui partager son intimité
Si tu parles juste d'affection si t'as des amis ça pourrait suffire dans l'absolu
Et pourtant je ressens largement plus le manque affectif

Pauvres petites bichettes

De tte façon c'est la fertilité masculine qui subit le plus les conséquences des externalités négatives de notre monde. Quoi de plus important que de se reproduire ? A partir de la t'as compris toute l'arnaque de la victimisation féministe , les hommes prennent tout dans la gueule , le capital n'a plus besoin des mâles. Et c'est bien pour ça que la société du spectacle nous vend la misère féminine , le vrai c'est le faux.