Melwas
2024-09-28 21:02:39
Le 28 septembre 2024 à 19:52:29 :
Je pense aussi la même chose car beaucoup d'indices peuvent le faire penser et par ailleurs je crois aussi que l'humain a un bon potentiel pour perdurer.
Mais on ne peut pas s'empêcher de se demander pourquoi après tout.
Pourquoi faut il vaincre l'entropie et pourquoi ne faudrait il pas qu'il y est du néant.
J'ai vraiment du mal à me dire que l'on doit subsister juste pour subsister en gros.
Il est possible que la recette de l'élément qui s'oppose à l'entropie soit naturellement incluse lors de la dispersion/transformation de l'entièreté des éléments présents à l'origine, et donc que quoi qu'il arrive peu importe comment, l'univers prévient sa dissolution totale en changeant de nature par ce biais.
Peut-être que peu importe le biais l'univers redémarre cycliquement dans une dimension intégralement différente dés lors qu'en un point "hasardeux" qu'on appelle une singularité, l'entropie finit par cesser.https://image.noelshack.com/fichiers/2024/39/6/1727550039-auron3.png
Un peu comme avec les fractales de Mandelbrot
Tom-Berenger8
2024-09-29 14:18:55
Le 28 septembre 2024 à 17:43:18 :
Le 28 septembre 2024 à 17:35:45 :
Le 28 septembre 2024 à 17:31:54 :
Je pose à chaque fois la question suivante sur ce genre de topics, je n'ai jamais de réponse.
Pourquoi faudrait-il un sens à la vie ?
C'est un peu aussi ma réponse : il n'y en a pas.
C'est à nous de s'en trouver un, c'est toujours apaisant, en tout cas pour beaucoup de gens.
Mais dans l'absolu, il ne faut pas forcément un sens, d'autant plus que sur un plan collectif et universel, l'individu n'est rien. On sera oublié après deux-trois génération (et si on devient un être exceptionnel comme Napoléon, on ne fait que repousser l'échéance car même lui sera un jour dans le néant total ).
Par contre, je pense qu'on cherche tous le bonheur (aussi un terme polysémique), et le bonheur ce n'est pas la boucle postmoderne : voyage, bouffer, faire la fête... pour être heureux faut des choses plus profondes.
Merci pour ce développement khey
Pour le bonheur, je dirais que c'est plus subjectif. Certains ont besoin de voyager, d'autres de faire du sport, d'autres encore un bouquin au coin du feu avec leur femme près d'eux
Merci pour ton commentaire également !
Il est vrai qu'il y a différents types de tempérament. Sinon il n'y aurait pas eu des explorateurs et d'autres des scientifiques/intellectuels dans leur bibliothèque.
Par contre, ce que je voulais dire, c'est que l'on a une vision très superficiel du bonheur, d'ailleurs c'est un terme intéressant à analyser en philosophie. On l'a souvent réduit à sa part "animal" (jouir de la vie), mais en réalité derrière ce mot il y a tout un concept, par exemple dans la constitution américaine le terme bonheur à l'origine renvoyait au fait de pouvoir se réaliser (exemple : si on a l'étoffe d'un grand scientifique devenir cela donc), ou de vivre par exemple pleinement sa foi si c'est son but.
Et dans la vie postmoderne, je vois beaucoup de gens lâcher bêtement "le bonheur pour moi ça serait de pouvoir voyager tout le temps", puis quand tu décortiques, tu vois que c'est juste un truc qu'ils veulent faire car on leur a dit de le faire, et que c'est aussi surtout pour impressionner leurs contemporains (car on leur a dit que pour exister pleinement il fallait voyager). En réalité, plus de gens ont des attentes très simple, mais ils n'ont jamais réfléchis à cela...