Les physicien / astrophysicien du forum : parlons naissance de l'univers

Ejaculandro
2024-10-23 00:21:15

Le 23 octobre 2024 à 00:08:48 :

Le 23 octobre 2024 à 00:05:28 :

Le 22 octobre 2024 à 23:58:30 :

Le 22 octobre 2024 à 23:53:44 :

Le 22 octobre 2024 à 23:50:44 :
un point infiniment petit ne peux pas exister en physique il me semble, seulement en maths

on en sait rien en fait :(

la limite de planck ne veut pas dire que plus petit ca existe pas, ca veut juste dire, qu'au dela de cette limite, les théories actuelles cessent de fonctionner :(

Non, il a raison, ou alors, tu rends possible une révolution considérablement plus grande que la quantique. Dès qu'il y a de l'infini/divergence, on sort de la physique.
Et plus sobrement, il va de soi qu'un point n'est qu'une idéalité. Qu'elle puisse avoir une portée descriptive (au même titre que les nb complexes, par exemple), ne permet pas.encore de sauter à l'évidence d'une "correspondance biunivoque" avec le monde physique

cette problématique est celle de savoir, qui découle de l'autre, est ce que le monde physique émane d'une couche mathématique sous jacente qui existait "avant" et qui a une existence a part entière, ou bien il existe un monde physique avec des lois mathématiques figées. Et que les maths inventées par l'homme ne sont qu'un outil mental dont seule une sous partie décrit la réalité existante :(

Pour le coup, belle question que celle du platonisme mathématique. Mais je la crois mal posée, si on raisonne en termes d'anterieur/postérieur.
Cette nuance mise à part, as-tu lu Tegmark ? Le gars pourrait t'intéresser

oui on peut pas raisonner en termes d'anterieur/postérieur, mais pour un humain habitué au temps, c'est difficile de trouver la bonne relation a utiliser, Tegmark, pas lu ses livres, juste quelques idées ici et la, j'aime l'idée d'univers mathématique :(

Perso je pense que démontrer l'existence d'objets mathématiques insolites improbables dans le monde réel serait une grande indication de platonisme, genre démontrer par exemple un groupe monstre qui se cache dans une théorie physique :(

Ejaculandro
2024-10-23 00:26:00

Le 23 octobre 2024 à 00:14:59 :
"les dimensions nécessaires sont carrément des dimensions énormes de variété différentielles"

Certes pas. Les variétés, tu ne les introduits que dans des cas assez précis (théorie des champs de Yang-Mills, effet Hall, gravitation quantique...), pas du tout celui que l'on considère ici, avec l'exemple de la lampe
Et à nouveau : il n'y a PAS d'action instantanée à distance !!!

les derniers records de test d'intrication sont a plus de 1000Km de distance, en plus du fait que l'intrication permettra a terme de transmettre des données, comme sur internet, comment tu peux transmettre des données instantanément sans action a distance ? :(

Richirolatre
2024-10-23 00:26:04

Le 23 octobre 2024 à 00:21:15 :

Le 23 octobre 2024 à 00:08:48 :

Le 23 octobre 2024 à 00:05:28 :

Le 22 octobre 2024 à 23:58:30 :

Le 22 octobre 2024 à 23:53:44 :

> Le 22 octobre 2024 à 23:50:44 :

>un point infiniment petit ne peux pas exister en physique il me semble, seulement en maths

on en sait rien en fait :(

la limite de planck ne veut pas dire que plus petit ca existe pas, ca veut juste dire, qu'au dela de cette limite, les théories actuelles cessent de fonctionner :(

Non, il a raison, ou alors, tu rends possible une révolution considérablement plus grande que la quantique. Dès qu'il y a de l'infini/divergence, on sort de la physique.
Et plus sobrement, il va de soi qu'un point n'est qu'une idéalité. Qu'elle puisse avoir une portée descriptive (au même titre que les nb complexes, par exemple), ne permet pas.encore de sauter à l'évidence d'une "correspondance biunivoque" avec le monde physique

cette problématique est celle de savoir, qui découle de l'autre, est ce que le monde physique émane d'une couche mathématique sous jacente qui existait "avant" et qui a une existence a part entière, ou bien il existe un monde physique avec des lois mathématiques figées. Et que les maths inventées par l'homme ne sont qu'un outil mental dont seule une sous partie décrit la réalité existante :(

Pour le coup, belle question que celle du platonisme mathématique. Mais je la crois mal posée, si on raisonne en termes d'anterieur/postérieur.
Cette nuance mise à part, as-tu lu Tegmark ? Le gars pourrait t'intéresser

oui on peut pas raisonner en termes d'anterieur/postérieur, mais pour un humain habitué au temps, c'est difficile de trouver la bonne relation a utiliser, Tegmark, pas lu ses livres, juste quelques idées ici et la, j'aime l'idée d'univers mathématique :(

Perso je pense que démontrer l'existence d'objets mathématiques insolites improbables dans le monde réel serait une grande indication de platonisme, genre démontrer par exemple un groupe monstre qui se cache dans une théorie physique :(

J'ai un peu les mêmes espérances... mais le fait est qu'on ne sait plus vraiment ce que décrivent nos théories physiques (si mêmes elles décrivent quelque chose), la faute à la quantique encore. Par suite, la présence de monstres mathématiques dans une théorie ne constituerait pas une preuve de leur existence, au sens ontologique du terme. Il pourrait très bien s'agir d'un pur artefact prédictif, comme d'aucuns le soutiennent déjà concernant le vecteur d'état.

Ejaculandro
2024-10-23 00:30:15

Le 23 octobre 2024 à 00:17:23 :
Et pas d'enroulement non plus, de tores ou que sais-je... j'ignore où tu vas chercher cela, car tu sembles bien assuré.

bah justement, les théoriciens des cordes ont totalement abandonné l'idée de dimensions macros surtout après l'expérience LIGO (en plus de la lumière, les ondes gravitationnelles aussi ne ressentent aucune dimension supplémentaire), du coup ils se sont réfugiés dans l'hypothèse des dimensions microscopiques enroulées y'a pas d'autre choix :(

Richirolatre
2024-10-23 00:32:04

Le 23 octobre 2024 à 00:26:00 :

Le 23 octobre 2024 à 00:14:59 :
"les dimensions nécessaires sont carrément des dimensions énormes de variété différentielles"

Certes pas. Les variétés, tu ne les introduits que dans des cas assez précis (théorie des champs de Yang-Mills, effet Hall, gravitation quantique...), pas du tout celui que l'on considère ici, avec l'exemple de la lampe
Et à nouveau : il n'y a PAS d'action instantanée à distance !!!

les derniers records de test d'intrication sont a plus de 1000Km de distance, en plus du fait que l'intrication permettra a terme de transmettre des données, comme sur internet, comment tu peux transmettre des données instantanément sans action a distance ? :(

Les "objets" intriqués (particules, modes de champs, etc...), plus exactement dont les états sont intriqués, n'échangent pas d'information entre eux, ni avant ni après la mesure. Ils sont inséparables certes, et leur état global enveloppe des termes d'interférence. Mais ce n'est pas dire.qu'une particule, une fois mesurée, vient faire coucou à sa sœur en dépit de l'abîme de genre espace qu'il y a entre elles deux ; la RS est respectée. C'est plutôt qu'elles forment un même.objet, pour le dire avec les mains (mieux vaudrait formaliser tour ça en termes de matrice densité), à travers l'espace.

Richirolatre
2024-10-23 00:32:51

Le 23 octobre 2024 à 00:30:15 :

Le 23 octobre 2024 à 00:17:23 :
Et pas d'enroulement non plus, de tores ou que sais-je... j'ignore où tu vas chercher cela, car tu sembles bien assuré.

bah justement, les théoriciens des cordes ont totalement abandonné l'idée de dimensions macros surtout après l'expérience LIGO, du coup ils se sont réfugiés dans l'hypothèse des dimensions microscopiques enroulées y'a pas d'autre choix :(

Mais tu n'as pas.besoin de sortir l'artillerie lourde de la.théorie M pour thematiser ce dont on parle.

Ejaculandro
2024-10-23 00:36:50

Le 23 octobre 2024 à 00:26:04 :

Le 23 octobre 2024 à 00:21:15 :

Le 23 octobre 2024 à 00:08:48 :

Le 23 octobre 2024 à 00:05:28 :

Le 22 octobre 2024 à 23:58:30 :

> Le 22 octobre 2024 à 23:53:44 :

>> Le 22 octobre 2024 à 23:50:44 :

> >un point infiniment petit ne peux pas exister en physique il me semble, seulement en maths

>

> on en sait rien en fait :(

>

> la limite de planck ne veut pas dire que plus petit ca existe pas, ca veut juste dire, qu'au dela de cette limite, les théories actuelles cessent de fonctionner :(

Non, il a raison, ou alors, tu rends possible une révolution considérablement plus grande que la quantique. Dès qu'il y a de l'infini/divergence, on sort de la physique.
Et plus sobrement, il va de soi qu'un point n'est qu'une idéalité. Qu'elle puisse avoir une portée descriptive (au même titre que les nb complexes, par exemple), ne permet pas.encore de sauter à l'évidence d'une "correspondance biunivoque" avec le monde physique

cette problématique est celle de savoir, qui découle de l'autre, est ce que le monde physique émane d'une couche mathématique sous jacente qui existait "avant" et qui a une existence a part entière, ou bien il existe un monde physique avec des lois mathématiques figées. Et que les maths inventées par l'homme ne sont qu'un outil mental dont seule une sous partie décrit la réalité existante :(

Pour le coup, belle question que celle du platonisme mathématique. Mais je la crois mal posée, si on raisonne en termes d'anterieur/postérieur.
Cette nuance mise à part, as-tu lu Tegmark ? Le gars pourrait t'intéresser

oui on peut pas raisonner en termes d'anterieur/postérieur, mais pour un humain habitué au temps, c'est difficile de trouver la bonne relation a utiliser, Tegmark, pas lu ses livres, juste quelques idées ici et la, j'aime l'idée d'univers mathématique :(

Perso je pense que démontrer l'existence d'objets mathématiques insolites improbables dans le monde réel serait une grande indication de platonisme, genre démontrer par exemple un groupe monstre qui se cache dans une théorie physique :(

J'ai un peu les mêmes espérances... mais le fait est qu'on ne sait plus vraiment ce que décrivent nos théories physiques (si mêmes elles décrivent quelque chose), la faute à la quantique encore. Par suite, la présence de monstres mathématiques dans une théorie ne constituerait pas une preuve de leur existence, au sens ontologique du terme. Il pourrait très bien s'agir d'un pur artefact prédictif, comme d'aucuns le soutiennent déjà concernant le vecteur d'état.

oui mais une théorie qui utiliserait le groupe monstre pour faire des prédictions qu'on connaissait pas avant, et que les calculs s'avèrent exacts a 10 puissance - 100, c'est quand même quelque chose. Ca indiquerait que n'importe quel objet mathématique qu'on découvre (invente ? je sais plus), a une probabilité non nulle d'exister réellement, vu que les objets les plus fous existent :(

Richirolatre
2024-10-23 00:41:11

Le 23 octobre 2024 à 00:36:50 :

Le 23 octobre 2024 à 00:26:04 :

Le 23 octobre 2024 à 00:21:15 :

Le 23 octobre 2024 à 00:08:48 :

Le 23 octobre 2024 à 00:05:28 :

> Le 22 octobre 2024 à 23:58:30 :

>> Le 22 octobre 2024 à 23:53:44 :

> >> Le 22 octobre 2024 à 23:50:44 :

> > >un point infiniment petit ne peux pas exister en physique il me semble, seulement en maths

> >

> > on en sait rien en fait :(

> >

> > la limite de planck ne veut pas dire que plus petit ca existe pas, ca veut juste dire, qu'au dela de cette limite, les théories actuelles cessent de fonctionner :(

>

> Non, il a raison, ou alors, tu rends possible une révolution considérablement plus grande que la quantique. Dès qu'il y a de l'infini/divergence, on sort de la physique.

> Et plus sobrement, il va de soi qu'un point n'est qu'une idéalité. Qu'elle puisse avoir une portée descriptive (au même titre que les nb complexes, par exemple), ne permet pas.encore de sauter à l'évidence d'une "correspondance biunivoque" avec le monde physique

cette problématique est celle de savoir, qui découle de l'autre, est ce que le monde physique émane d'une couche mathématique sous jacente qui existait "avant" et qui a une existence a part entière, ou bien il existe un monde physique avec des lois mathématiques figées. Et que les maths inventées par l'homme ne sont qu'un outil mental dont seule une sous partie décrit la réalité existante :(

Pour le coup, belle question que celle du platonisme mathématique. Mais je la crois mal posée, si on raisonne en termes d'anterieur/postérieur.
Cette nuance mise à part, as-tu lu Tegmark ? Le gars pourrait t'intéresser

oui on peut pas raisonner en termes d'anterieur/postérieur, mais pour un humain habitué au temps, c'est difficile de trouver la bonne relation a utiliser, Tegmark, pas lu ses livres, juste quelques idées ici et la, j'aime l'idée d'univers mathématique :(

Perso je pense que démontrer l'existence d'objets mathématiques insolites improbables dans le monde réel serait une grande indication de platonisme, genre démontrer par exemple un groupe monstre qui se cache dans une théorie physique :(

J'ai un peu les mêmes espérances... mais le fait est qu'on ne sait plus vraiment ce que décrivent nos théories physiques (si mêmes elles décrivent quelque chose), la faute à la quantique encore. Par suite, la présence de monstres mathématiques dans une théorie ne constituerait pas une preuve de leur existence, au sens ontologique du terme. Il pourrait très bien s'agir d'un pur artefact prédictif, comme d'aucuns le soutiennent déjà concernant le vecteur d'état.

oui mais une théorie qui utiliserait le groupe monstre pour faire des prédictions qu'on connaissait pas avant, et que les calculs s'avèrent exacts a 10 puissance - 100, c'est quand même quelque chose. Ca indiquerait que n'importe quel objet mathématique qu'on découvre (invente ? je sais plus), a une probabilité non nulle d'exister réellement, vu que les objets les plus fous existent :(

Ma foi...L'efficience prédictive de l'electrodynamique était assez folle : deux douze chiffres significatifs pour le Lamb Shift, si.ma mémoire est bonne, on n'avait jamais pu formuler de prédictions aussi précises. Eh bien, ce n'est pas pour autant qu'on peut sans contredit affirmer que les particules virtuelles/constantes de couplage existent, au sens physique du terme (je veux dire, on peut le.soutenir, mais cela reste une affaire d'interprétation, rien de définitif)

Ejaculandro
2024-10-23 00:47:20

Le 23 octobre 2024 à 00:32:04 :

Le 23 octobre 2024 à 00:26:00 :

Le 23 octobre 2024 à 00:14:59 :
"les dimensions nécessaires sont carrément des dimensions énormes de variété différentielles"

Certes pas. Les variétés, tu ne les introduits que dans des cas assez précis (théorie des champs de Yang-Mills, effet Hall, gravitation quantique...), pas du tout celui que l'on considère ici, avec l'exemple de la lampe
Et à nouveau : il n'y a PAS d'action instantanée à distance !!!

les derniers records de test d'intrication sont a plus de 1000Km de distance, en plus du fait que l'intrication permettra a terme de transmettre des données, comme sur internet, comment tu peux transmettre des données instantanément sans action a distance ? :(

Les "objets" intriqués (particules, modes de champs, etc...), plus exactement dont les états sont intriqués, n'échangent pas d'information entre eux, ni avant ni après la mesure. Ils sont inséparables certes, et leur état global enveloppe des termes d'interférence. Mais ce n'est pas dire.qu'une particule, une fois mesurée, vient faire coucou à sa sœur en dépit de l'abîme de genre espace qu'il y a entre elles deux ; la RS est respectée. C'est plutôt qu'elles forment un même.objet, pour le dire avec les mains (mieux vaudrait formaliser tour ça en termes de matrice densité), à travers l'espace.

c'est ce qui me dérange le plus, parler d'aléatoire, et en même temps, dire que deux particules aléatoires soient d'une façon ou d'une autre synchronisées, on ne synchronise pas l'aléatoire sauf si on a des variables de control, perso je penche vers des variables locales en nombre infini, les inégalités de bell bannissent les variables locales en nombre fini seulement :(

Ejaculandro
2024-10-23 00:51:15

Le 23 octobre 2024 à 00:41:11 :

Le 23 octobre 2024 à 00:36:50 :

Le 23 octobre 2024 à 00:26:04 :

Le 23 octobre 2024 à 00:21:15 :

Le 23 octobre 2024 à 00:08:48 :

> Le 23 octobre 2024 à 00:05:28 :

>> Le 22 octobre 2024 à 23:58:30 :

> >> Le 22 octobre 2024 à 23:53:44 :

> > >> Le 22 octobre 2024 à 23:50:44 :

> > > >un point infiniment petit ne peux pas exister en physique il me semble, seulement en maths

> > >

> > > on en sait rien en fait :(

> > >

> > > la limite de planck ne veut pas dire que plus petit ca existe pas, ca veut juste dire, qu'au dela de cette limite, les théories actuelles cessent de fonctionner :(

> >

> > Non, il a raison, ou alors, tu rends possible une révolution considérablement plus grande que la quantique. Dès qu'il y a de l'infini/divergence, on sort de la physique.

> > Et plus sobrement, il va de soi qu'un point n'est qu'une idéalité. Qu'elle puisse avoir une portée descriptive (au même titre que les nb complexes, par exemple), ne permet pas.encore de sauter à l'évidence d'une "correspondance biunivoque" avec le monde physique

>

> cette problématique est celle de savoir, qui découle de l'autre, est ce que le monde physique émane d'une couche mathématique sous jacente qui existait "avant" et qui a une existence a part entière, ou bien il existe un monde physique avec des lois mathématiques figées. Et que les maths inventées par l'homme ne sont qu'un outil mental dont seule une sous partie décrit la réalité existante :(

Pour le coup, belle question que celle du platonisme mathématique. Mais je la crois mal posée, si on raisonne en termes d'anterieur/postérieur.
Cette nuance mise à part, as-tu lu Tegmark ? Le gars pourrait t'intéresser

oui on peut pas raisonner en termes d'anterieur/postérieur, mais pour un humain habitué au temps, c'est difficile de trouver la bonne relation a utiliser, Tegmark, pas lu ses livres, juste quelques idées ici et la, j'aime l'idée d'univers mathématique :(

Perso je pense que démontrer l'existence d'objets mathématiques insolites improbables dans le monde réel serait une grande indication de platonisme, genre démontrer par exemple un groupe monstre qui se cache dans une théorie physique :(

J'ai un peu les mêmes espérances... mais le fait est qu'on ne sait plus vraiment ce que décrivent nos théories physiques (si mêmes elles décrivent quelque chose), la faute à la quantique encore. Par suite, la présence de monstres mathématiques dans une théorie ne constituerait pas une preuve de leur existence, au sens ontologique du terme. Il pourrait très bien s'agir d'un pur artefact prédictif, comme d'aucuns le soutiennent déjà concernant le vecteur d'état.

oui mais une théorie qui utiliserait le groupe monstre pour faire des prédictions qu'on connaissait pas avant, et que les calculs s'avèrent exacts a 10 puissance - 100, c'est quand même quelque chose. Ca indiquerait que n'importe quel objet mathématique qu'on découvre (invente ? je sais plus), a une probabilité non nulle d'exister réellement, vu que les objets les plus fous existent :(

Ma foi...L'efficience prédictive de l'electrodynamique était assez folle : deux douze chiffres significatifs pour le Lamb Shift, si.ma mémoire est bonne, on n'avait jamais pu formuler de prédictions aussi précises. Eh bien, ce n'est pas pour autant qu'on peut sans contredit affirmer que les particules virtuelles/constantes de couplage existent, au sens physique du terme (je veux dire, on peut le.soutenir, mais cela reste une affaire d'interprétation, rien de définitif)

oui une partie de la théorie est sujette a interprétation, mais la partie prouvée a n chiffres après la virgule indique au minimum que la théorie capture une énorme partie de ce qui se passe réellement :(

Richirolatre
2024-10-23 00:51:40

Le 23 octobre 2024 à 00:47:20 :

Le 23 octobre 2024 à 00:32:04 :

Le 23 octobre 2024 à 00:26:00 :

Le 23 octobre 2024 à 00:14:59 :
"les dimensions nécessaires sont carrément des dimensions énormes de variété différentielles"

Certes pas. Les variétés, tu ne les introduits que dans des cas assez précis (théorie des champs de Yang-Mills, effet Hall, gravitation quantique...), pas du tout celui que l'on considère ici, avec l'exemple de la lampe
Et à nouveau : il n'y a PAS d'action instantanée à distance !!!

les derniers records de test d'intrication sont a plus de 1000Km de distance, en plus du fait que l'intrication permettra a terme de transmettre des données, comme sur internet, comment tu peux transmettre des données instantanément sans action a distance ? :(

Les "objets" intriqués (particules, modes de champs, etc...), plus exactement dont les états sont intriqués, n'échangent pas d'information entre eux, ni avant ni après la mesure. Ils sont inséparables certes, et leur état global enveloppe des termes d'interférence. Mais ce n'est pas dire.qu'une particule, une fois mesurée, vient faire coucou à sa sœur en dépit de l'abîme de genre espace qu'il y a entre elles deux ; la RS est respectée. C'est plutôt qu'elles forment un même.objet, pour le dire avec les mains (mieux vaudrait formaliser tour ça en termes de matrice densité), à travers l'espace.

c'est ce qui me dérange le plus, parler d'aléatoire, et en même temps, dire que deux particules aléatoires soient d'une façon ou d'une autre synchronisées, on ne synchronise pas l'aléatoire sauf si on a des variables de control, perso je penche vers des variables locales en nombre infini, les inégalités de bell bannissent les variables locales en nombre fini seulement :(

Mais qu'entends-tu par "aléatoire", ici ??? L'évolution de chacun des états est parfaitement déterministe, tout comme l'intrication, conséquence naturelle de l'équation de Schrödinger... Ce qui est (éventuellement) aléatoire, c'est le résultat en sortie ; mais PAS la corrélation (en fait, superposition de corrélations) entre les résultats possibles.

Richirolatre
2024-10-23 00:55:37

Le 23 octobre 2024 à 00:51:15 :

Le 23 octobre 2024 à 00:41:11 :

Le 23 octobre 2024 à 00:36:50 :

Le 23 octobre 2024 à 00:26:04 :

Le 23 octobre 2024 à 00:21:15 :

> Le 23 octobre 2024 à 00:08:48 :

>> Le 23 octobre 2024 à 00:05:28 :

> >> Le 22 octobre 2024 à 23:58:30 :

> > >> Le 22 octobre 2024 à 23:53:44 :

> > > >> Le 22 octobre 2024 à 23:50:44 :

> > > > >un point infiniment petit ne peux pas exister en physique il me semble, seulement en maths

> > > >

> > > > on en sait rien en fait :(

> > > >

> > > > la limite de planck ne veut pas dire que plus petit ca existe pas, ca veut juste dire, qu'au dela de cette limite, les théories actuelles cessent de fonctionner :(

> > >

> > > Non, il a raison, ou alors, tu rends possible une révolution considérablement plus grande que la quantique. Dès qu'il y a de l'infini/divergence, on sort de la physique.

> > > Et plus sobrement, il va de soi qu'un point n'est qu'une idéalité. Qu'elle puisse avoir une portée descriptive (au même titre que les nb complexes, par exemple), ne permet pas.encore de sauter à l'évidence d'une "correspondance biunivoque" avec le monde physique

> >

> > cette problématique est celle de savoir, qui découle de l'autre, est ce que le monde physique émane d'une couche mathématique sous jacente qui existait "avant" et qui a une existence a part entière, ou bien il existe un monde physique avec des lois mathématiques figées. Et que les maths inventées par l'homme ne sont qu'un outil mental dont seule une sous partie décrit la réalité existante :(

>

> Pour le coup, belle question que celle du platonisme mathématique. Mais je la crois mal posée, si on raisonne en termes d'anterieur/postérieur.

> Cette nuance mise à part, as-tu lu Tegmark ? Le gars pourrait t'intéresser

oui on peut pas raisonner en termes d'anterieur/postérieur, mais pour un humain habitué au temps, c'est difficile de trouver la bonne relation a utiliser, Tegmark, pas lu ses livres, juste quelques idées ici et la, j'aime l'idée d'univers mathématique :(

Perso je pense que démontrer l'existence d'objets mathématiques insolites improbables dans le monde réel serait une grande indication de platonisme, genre démontrer par exemple un groupe monstre qui se cache dans une théorie physique :(

J'ai un peu les mêmes espérances... mais le fait est qu'on ne sait plus vraiment ce que décrivent nos théories physiques (si mêmes elles décrivent quelque chose), la faute à la quantique encore. Par suite, la présence de monstres mathématiques dans une théorie ne constituerait pas une preuve de leur existence, au sens ontologique du terme. Il pourrait très bien s'agir d'un pur artefact prédictif, comme d'aucuns le soutiennent déjà concernant le vecteur d'état.

oui mais une théorie qui utiliserait le groupe monstre pour faire des prédictions qu'on connaissait pas avant, et que les calculs s'avèrent exacts a 10 puissance - 100, c'est quand même quelque chose. Ca indiquerait que n'importe quel objet mathématique qu'on découvre (invente ? je sais plus), a une probabilité non nulle d'exister réellement, vu que les objets les plus fous existent :(

Ma foi...L'efficience prédictive de l'electrodynamique était assez folle : deux douze chiffres significatifs pour le Lamb Shift, si.ma mémoire est bonne, on n'avait jamais pu formuler de prédictions aussi précises. Eh bien, ce n'est pas pour autant qu'on peut sans contredit affirmer que les particules virtuelles/constantes de couplage existent, au sens physique du terme (je veux dire, on peut le.soutenir, mais cela reste une affaire d'interprétation, rien de définitif)

oui une partie de la théorie est sujette a interprétation, mais la partie prouvée a n chiffres après la virgule indique au minimum que la théorie capture une énorme partie de ce qui se passe réellement :(

Admettons... (au fond, je suis d'accord, mais il faudrait entrer dans un longue discussion pour l'établir. Que "ça marche" en labo ne suffit pas à le prouver)... mais quels sont donc les ingrédients de la théorie qui "capturent" adéquatemenr ce qui se passe ? Comment les discriminer ?

Peeko201
2024-10-23 00:57:41

La théorie du big bang vient de la constatation que l'univers grandit
Si l'univers est en expansion, alors en remontant le temps, il a un jour atteint un point critique d'ou l'ensemble des choses existantes étaient comprimées en un seul point.

La théorie qui complète le mieux est celle du grand rebond (je crois que c'est le nom)
Autrement dit, l'univers précédent le notre était en réduction, atteignant le point critique du big bang, et est reparti en expansion.

Ejaculandro
2024-10-23 00:57:46

Le 23 octobre 2024 à 00:51:40 :

Le 23 octobre 2024 à 00:47:20 :

Le 23 octobre 2024 à 00:32:04 :

Le 23 octobre 2024 à 00:26:00 :

Le 23 octobre 2024 à 00:14:59 :
"les dimensions nécessaires sont carrément des dimensions énormes de variété différentielles"

Certes pas. Les variétés, tu ne les introduits que dans des cas assez précis (théorie des champs de Yang-Mills, effet Hall, gravitation quantique...), pas du tout celui que l'on considère ici, avec l'exemple de la lampe
Et à nouveau : il n'y a PAS d'action instantanée à distance !!!

les derniers records de test d'intrication sont a plus de 1000Km de distance, en plus du fait que l'intrication permettra a terme de transmettre des données, comme sur internet, comment tu peux transmettre des données instantanément sans action a distance ? :(

Les "objets" intriqués (particules, modes de champs, etc...), plus exactement dont les états sont intriqués, n'échangent pas d'information entre eux, ni avant ni après la mesure. Ils sont inséparables certes, et leur état global enveloppe des termes d'interférence. Mais ce n'est pas dire.qu'une particule, une fois mesurée, vient faire coucou à sa sœur en dépit de l'abîme de genre espace qu'il y a entre elles deux ; la RS est respectée. C'est plutôt qu'elles forment un même.objet, pour le dire avec les mains (mieux vaudrait formaliser tour ça en termes de matrice densité), à travers l'espace.

c'est ce qui me dérange le plus, parler d'aléatoire, et en même temps, dire que deux particules aléatoires soient d'une façon ou d'une autre synchronisées, on ne synchronise pas l'aléatoire sauf si on a des variables de control, perso je penche vers des variables locales en nombre infini, les inégalités de bell bannissent les variables locales en nombre fini seulement :(

Mais qu'entends-tu par "aléatoire", ici ??? L'évolution de chacun des états est parfaitement déterministe, tout comme l'intrication, conséquence naturelle de l'équation de Schrödinger... Ce qui est (éventuellement) aléatoire, c'est le résultat en sortie ; mais PAS la corrélation (en fait, superposition de corrélations) entre les résultats possibles.

le résultat en sortie ne doit pas être corrélé si ce résultat est supposé être aléatoire :(

Ejaculandro
2024-10-23 01:05:48

Admettons... (au fond, je suis d'accord, mais il faudrait entrer dans un longue discussion pour l'établir. Que "ça marche" en labo ne suffit pas à le prouver)... mais quels sont donc les ingrédients de la théorie qui "capturent" adéquatemenr ce qui se passe ? Comment les discriminer ?

pour une théorie qui donne des résultats précis, en fait, on sait pas si cette théorie décrit la réalité, pour la simple et bonne raison qu'on peut trouver une théorie construite différemment qui donne les mêmes résultats précis avec des interprétations différentes, mais on sait que ces deux théories capturent quand même une grande partie des interactions entre les éléments de la réalité. Dans le cas ou ces éléments sont connus bah c'est bon, mais dans le cas ou on ne sait même pas de quoi est faite la réalité alors on se contente des résultats de calcul comme outil pratique seulement sans s'aventurer a interpréter :(

Richirolatre
2024-10-23 01:07:02

Le 23 octobre 2024 à 00:57:46 :

Le 23 octobre 2024 à 00:51:40 :

Le 23 octobre 2024 à 00:47:20 :

Le 23 octobre 2024 à 00:32:04 :

Le 23 octobre 2024 à 00:26:00 :

> Le 23 octobre 2024 à 00:14:59 :

>"les dimensions nécessaires sont carrément des dimensions énormes de variété différentielles"

>

> Certes pas. Les variétés, tu ne les introduits que dans des cas assez précis (théorie des champs de Yang-Mills, effet Hall, gravitation quantique...), pas du tout celui que l'on considère ici, avec l'exemple de la lampe

> Et à nouveau : il n'y a PAS d'action instantanée à distance !!!

les derniers records de test d'intrication sont a plus de 1000Km de distance, en plus du fait que l'intrication permettra a terme de transmettre des données, comme sur internet, comment tu peux transmettre des données instantanément sans action a distance ? :(

Les "objets" intriqués (particules, modes de champs, etc...), plus exactement dont les états sont intriqués, n'échangent pas d'information entre eux, ni avant ni après la mesure. Ils sont inséparables certes, et leur état global enveloppe des termes d'interférence. Mais ce n'est pas dire.qu'une particule, une fois mesurée, vient faire coucou à sa sœur en dépit de l'abîme de genre espace qu'il y a entre elles deux ; la RS est respectée. C'est plutôt qu'elles forment un même.objet, pour le dire avec les mains (mieux vaudrait formaliser tour ça en termes de matrice densité), à travers l'espace.

c'est ce qui me dérange le plus, parler d'aléatoire, et en même temps, dire que deux particules aléatoires soient d'une façon ou d'une autre synchronisées, on ne synchronise pas l'aléatoire sauf si on a des variables de control, perso je penche vers des variables locales en nombre infini, les inégalités de bell bannissent les variables locales en nombre fini seulement :(

Mais qu'entends-tu par "aléatoire", ici ??? L'évolution de chacun des états est parfaitement déterministe, tout comme l'intrication, conséquence naturelle de l'équation de Schrödinger... Ce qui est (éventuellement) aléatoire, c'est le résultat en sortie ; mais PAS la corrélation (en fait, superposition de corrélations) entre les résultats possibles.

le résultat en sortie ne doit pas être corrélé si ce résultat est supposé être aléatoire :(

Précisément, si. Mettons que tu aies deux particules intriquées de telle sorte que leurs spins sont opposés. Tu ne sais pas ce que tu obtiendras en mesurant l'orientation du spin de l'une. Mais si tu obtiens "haut" pour la.première, tu sais avec certitude que l'autre sera "bas". Parce que les.correlations entre les résultats, elles, sont parfaitement déterminées.

Richirolatre
2024-10-23 01:09:10

Le 23 octobre 2024 à 00:57:41 :
La théorie du big bang vient de la constatation que l'univers grandit
Si l'univers est en expansion, alors en remontant le temps, il a un jour atteint un point critique d'ou l'ensemble des choses existantes étaient comprimées en un seul point.

La théorie qui complète le mieux est celle du grand rebond (je crois que c'est le nom)
Autrement dit, l'univers précédent le notre était en réduction, atteignant le point critique du big bang, et est reparti en expansion.

Je suis plutôt d'accord, sauf sur ce point :"il a un jour atteint un point critique d'ou l'ensemble des choses existantes étaient comprimées en un seul point."
Ça c'est une idéalisation fautive, à laquelle plus aucun physicien ne souscrit depuis au moins cinquante ans.

Ejaculandro
2024-10-23 01:11:55

le truc c'est que même en ne sachant pas de quoi est faite la réalité, le fait de trouver un objet mathématique bizarre qui colle au comportement et interactions entre ces éléments inconnus de la réalité est intéressant, mais bon on pourrait dire que les mathématiques humaines sont a leur début, et que l'objet qu'on voit aujourd'hui insolite et complexe, les humains du futur le verrons comme un simple théorème de Pythagore donc inutile de s'affoler :(

Richirolatre
2024-10-23 01:12:03

Le 23 octobre 2024 à 01:05:48 :

Admettons... (au fond, je suis d'accord, mais il faudrait entrer dans un longue discussion pour l'établir. Que "ça marche" en labo ne suffit pas à le prouver)... mais quels sont donc les ingrédients de la théorie qui "capturent" adéquatemenr ce qui se passe ? Comment les discriminer ?

pour une théorie qui donne des résultats précis, en fait, on sait pas si cette théorie décrit la réalité, pour la simple et bonne raison qu'on peut trouver une théorie construite différemment qui donne les mêmes résultats précis avec des interprétations différentes, mais on sait que ces deux théories capturent quand même une grande partie des interactions entre les éléments de la réalité. Dans le cas ou ces éléments sont connus bah c'est bon, mais dans le cas ou on ne sait même pas de quoi est faite la réalité alors on se contente des résultats de calcul comme outil pratique seulement sans s'aventurer a interpréter :(

Il se fait que Schwinger, Feynman et Tomonaga y sont allés chacun de leurs constructions pour expliquer le décalage... mais toutes intégraient des particules virtuelles. Pourtant, nul ne sait si elles ont une existence physique (la plupart des physiciens "s'aventureraient" plutot à dire le contraire, quoique l'appel à la.majorité ne constitue jamais un bon argument en ces matières)

Ejaculandro
2024-10-23 01:15:09

Le 23 octobre 2024 à 01:07:02 :

Le 23 octobre 2024 à 00:57:46 :

Le 23 octobre 2024 à 00:51:40 :

Le 23 octobre 2024 à 00:47:20 :

Le 23 octobre 2024 à 00:32:04 :

> Le 23 octobre 2024 à 00:26:00 :

>> Le 23 octobre 2024 à 00:14:59 :

> >"les dimensions nécessaires sont carrément des dimensions énormes de variété différentielles"

> >

> > Certes pas. Les variétés, tu ne les introduits que dans des cas assez précis (théorie des champs de Yang-Mills, effet Hall, gravitation quantique...), pas du tout celui que l'on considère ici, avec l'exemple de la lampe

> > Et à nouveau : il n'y a PAS d'action instantanée à distance !!!

>

> les derniers records de test d'intrication sont a plus de 1000Km de distance, en plus du fait que l'intrication permettra a terme de transmettre des données, comme sur internet, comment tu peux transmettre des données instantanément sans action a distance ? :(

Les "objets" intriqués (particules, modes de champs, etc...), plus exactement dont les états sont intriqués, n'échangent pas d'information entre eux, ni avant ni après la mesure. Ils sont inséparables certes, et leur état global enveloppe des termes d'interférence. Mais ce n'est pas dire.qu'une particule, une fois mesurée, vient faire coucou à sa sœur en dépit de l'abîme de genre espace qu'il y a entre elles deux ; la RS est respectée. C'est plutôt qu'elles forment un même.objet, pour le dire avec les mains (mieux vaudrait formaliser tour ça en termes de matrice densité), à travers l'espace.

c'est ce qui me dérange le plus, parler d'aléatoire, et en même temps, dire que deux particules aléatoires soient d'une façon ou d'une autre synchronisées, on ne synchronise pas l'aléatoire sauf si on a des variables de control, perso je penche vers des variables locales en nombre infini, les inégalités de bell bannissent les variables locales en nombre fini seulement :(

Mais qu'entends-tu par "aléatoire", ici ??? L'évolution de chacun des états est parfaitement déterministe, tout comme l'intrication, conséquence naturelle de l'équation de Schrödinger... Ce qui est (éventuellement) aléatoire, c'est le résultat en sortie ; mais PAS la corrélation (en fait, superposition de corrélations) entre les résultats possibles.

le résultat en sortie ne doit pas être corrélé si ce résultat est supposé être aléatoire :(

Précisément, si. Mettons que tu aies deux particules intriquées de telle sorte que leurs spins sont opposés. Tu ne sais pas ce que tu obtiendras en mesurant l'orientation du spin de l'une. Mais si tu obtiens "haut" pour la.première, tu sais avec certitude que l'autre sera "bas". Parce que les.correlations entre les résultats, elles, sont parfaitement déterminées.

avec un bra et kekette ca a l'air si simple et jolie, mais physiquement logiquement philosophiquement ca rentre pas et ca rentrera jamais dans ma tete :-(

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