Vos expériences sexuelles les plus sales ?

Le 22 septembre 2023 à 19:16:59 :
Voila ma contribution :

Moi, blond au yeux bleu, 1m92, go muscu et go sports de combathttps://image.noelshack.com/fichiers/2020/18/3/1588165687-3frzomm.jpg

Une stagiaire grande et fine, 1M75 au moins. Petits seins, gros cul, musulmane avec le voile, visage 6/10, mais globalement charmante.https://image.noelshack.com/fichiers/2019/23/4/1559787567-femme-accomplie-porte-son-hijab-de-sport-et-fait-rager-les-chofas.jpg

C'est en 2018 et par des discussions, les collègues et moi savons qu'elle vient d'une grosse famille de muslim (papa travail à la mosqué).

On se retrouve en stage dans une même entreprise à Paris. A une soirée entre stagiaires, déchirés, on s'emballe, mais on en reste aux bisous.

On se revoit chez moi quelques jours plus tard et je découvre une énorme sal***e. A peine arrivés, on se met à baisers comme des chiens : fessée, étranglement, claque dans la gueule et défoncage en règle. 3 fois d'affilée, dont une fois au réveil. Aucune protection (énorme connerie, je m'en rends compte). Jamais vu une fille aussi vocale : elle hésite pas dès la première fois à me regarder dans les yeux en me demandant de lui dire qu'elle est ma chienne et dès la troisième fois à me dire qu'elle veut ma semance au fond de son ventre. Pareil, une fois suivante, je lui ai littéralement craché dans la bouche pendant que je la prenais en missionnaire... et elle a avalé en me regardant dans les yeux. Un truc de fou.

Au travail, elle était hyper froide par contre. On s'évite, limite pas de regard et on se parle même moins qu'avant qu'on ait commencé à baiser.https://image.noelshack.com/fichiers/2017/49/7/1512914306-jennie-genant.png

Mais ça créé bizzarement une énorme tension sexuelle et la folie a continué. Je me rappelle une fois, j'habitais à l'époque dans le 5e arrondissement, à côté de la Grande Mosquée de Parisis pour ceux qui connaissent. Bah figurez-vous qu'elle est allée à la mosque le dimanche matin après une grosse sodom** matinale où j'ai tout largué dans son intestin. C'est là où j'ai compris que la religion masquait parfois des gros problèmes personnels.https://image.noelshack.com/fichiers/2017/08/1488117914-clint.gif

Complètement cinglée, mais je regrette pas. Elle m'a fait découvrir mon attrait pour la domination sexuelle

Et vous ?

Tu es trigger, le petit bras ?

Pas vraiment sexuel mais j'ai servi de larbin à un mec, ça compte ?

C'était pendant mon premier stage d'externat en chirurgie orthopédique.
Il y avait cette interne, eurasiatique, les cheveux blonds décoloré et le teint olive.

Son intelligence, sa jeunesse, son énergie faisaient d'elle la préféré des autres étudiants qui adoraient apprendre à ses côtés, moi le premier, qui avait la chance d'être affecté à son antenne.

En salle, je passais ses appels, je rédigeais les comptes-rendus de visite, et je saisissais la moindre occasion de la suivre au bloc ou en consultation. Elle, m'apprenait tout ce qu'elle savait, elle me donnait des conseils pour les études, et elle passait plusieurs dizaines de minutes à m'interroger sur des radio.
Cette relation de mentorat m'était très cher si bien que j'avais parfois honte des pensées qui s'échappaient de mon subconscient, a fortiori quand ses yeux en amande semblaient me sonder jusqu'au plus profond de mon âme.

A mesure que le temps passait, ces pensées se faisaient plus envahissante. Dans le même temps, celle qui m'avait fait son élève se montrait plus distante, me chargeant de toujours plus de boulot, me renvoyant vers ses collègues pour mes questions.
J'avais perdu tout espoir de l'avoir à nouveau près de moi, de me confier à elle, d'avoir à nouveau nos conversations si agréables pour moi, et de revoir son sourire narquois, son ricanement si authentique.
J'hallucinais à n'en pas croire mes oreilles quand elle me rappela à la suivre pour une matinée, "par ailleurs" disait-elle "j'ai quelque chose à te montrer" si sa proposition me mettait en joie, j'étais aussi inquiet d'à nouveau la décevoir.
Après une matinée de consultation, nous ne nous rendîmes pas tout de suite à la cafétéria pour déjeuner, avant cela elle avait quelque chose à me montrer. Elle posa un sachet de plastic sur la table, dont elle sortie... un os, un fémur. "Tada !" me fit-elle. J'étais quelque peu déçu.

"Alors ?" dit-elle, satisfaite de sa brillante idée. Dépité mais désireux de faire à nouveau mes preuves, j'attaquais l'examen minutieux de la pièce osseuse, décrivant exhaustivement tous les repères anatomiques que j'avais rigoureusement mémorisés.
Après quelques dizaines de secondes j'avais fini ma récitation. Pourtant elle semblait encore attendre quelque chose "Alors ?" repris-t-elle s'impatientant. Je réfléchissais, tant bien que mal à ce qu'elle pouvait attendre, il y avait quelque chose que je pouvais lui dire et qui me vaudrait son admiration, peut-être même son amour, mais mon intelligence me faisait défaut, je n'étais pas voué à passer ce test, je n'étais pas digne de me présenter devant elle. Soudain elle éclatât de dire "Mais ! mange le !", il me fallut un moment pour réaliser ce quelle venait de dire

"Bah alors Fido, toi qui me suis partout, te voilà un os !" Révolté je me levai, elle se leva aussi tôt pour me gifler, mon oreille gauche sifflait, de l'autre je pouvais l'entendre parler "soit un bon chien et fait ce que je te dis si tu ne veux pas avoir de problème". Je le savais, elle le savait, elle a le pouvoir de briser ma vie, en ce sens je n'avais pas d'autre choix. Je me mis à genoux pour la supplier, elle m'interrompit d'un coup de talon au visage "un chien ça ne parle pas, ça aboie !". Elle avait raison, telle était ma place, si quelqu'un comme moi désirait fréquenter quelqu'un comme elle, alors il devait s'estimer être heureux de pouvoir être son chien, et moi, qui n'ai jamais rien été pour personne, je saisissais enfin ma chance, et j'embrassais les pieds délicats de la personne qui me l'avait donnée.