[RECIT] VOS BAISES DE LA HONTE
Mbappe2final
2023-01-11 19:38:54
Rien de fou juste une meuf que j'avais rencontré la vieille de la baise qui me parle de rencontrer son père et sa mère pendant que jetait entrain de la baisé , elle me taper une discussion pendant la baise normal , j'avais l'impression d'être nul et c'était hyper dévalorisant , c'était ma seul expérience négative et j'ai débandé ahi
BientotLeBan118
2023-01-11 19:39:42
Un cachalot dans les chiottes d'une boite, j'étais torché
freez009
2023-01-11 19:41:27
Ma pire honte c'est une obèse que j'avais rencontrée sur Tinder après plusieurs mois de "bug" où j'avais aucun match
Je me suis forcé et finalement : elle puait, mauvaise hygiène, du mal à bander, méchante (fait des remarques désagréables), conne, et m'a collée pendant plusieurs mois après le sexe tout en étant en même temps désagréable
Je soupçonne qu'elle avait beaucoup plus que l'âge qu'elle avait indiqué en plus
Je me sens encore comme "souillé" d'avoir baisé avec elle
J'ai des flash et tout
Chaingy4
2023-01-11 19:42:43
Je vais raconter mon histoire. Ça m’est arrivé cet été, expérience totalement inédite et unique, car je ne peinse pas que ça puisse m’arriver un jour. Je suis une kheyette d’une trentaine d’années, ni super belle, ni trop moche, j’ai mon petit succès avec les hommes, ce qui me donne l’occasion de vivre une sexualité tout à fait épanouie. Je réalise donc mes fantasmes dès que j’en ai l’occasion, sans m’occuper des quand dira-t-on. Et cette histoire en est le symbole.
Suis partie cet été sur la côte atlantique, pour me ressourcer et profiter de l’océan, du soleil et parfaire mon bronzage et je me suis retrouvé dans une station balnéaire touristique, mais pas trop, où je pouvais déambuler sans pour autant me retrouver dans le capharnaüm Parisien. Mais il y avait tout de même de nombreux touristes dans les rues. Je marchais donc ce matin là de mon hôtel à la plage quand je fus interpelé par une voix, je baissais la tête car je n’avais pas remarqué au départ d’où venait cet appel. Un jeune homme, assis sur le sol, me regardait droit dans les yeux, des yeux bleus absolument magnifiques. Et me demandait de l’argent.
Chaingy4
2023-01-11 19:42:54
Un sdf. Un punk à chien comme on dit, qui se trouvait dans une des rues les plus passantes de la ville pour gagner sa pitance, et nourrir son chien, un splendide berger allemand au poil luisant. Je lui donnai ce que j’avais sur moi, c’est-à-dire pas grand-chose et il me remercia. Je repris la route.
Son regard me hantait et de retour, je m’étonnai de le chercher dans cette même rue. Personne. Dommage.
Le lendemain, je le retrouvai sur ma route, et cette fois ci je lui proposai un pain au chocolat et autres viennoiseries achetées pour l’occasion je l’avoue. Nous démarrions une légère discussion sur l’asphalte, du moins une brève présentation : il s’appelait Jérémie, il avait vingt et un an et il se déterminait artiste de rue, il avait d’ailleurs devant lui des croquis qui attestait de son haut potentiel artistique. Il avait donc choisi cette vie de bohême, car il était en rupture avec la société.
Jérémie était charmant, et sous la pellicule de crasse se cachait un beau jeune homme, séduisant, avec ce regard perçant. Nous échangions donc quelques minutes puis je le laissais pour aller à la plage. Durant une semaine nous faisions donc connaissance, ce qui m’étonnait car je n’avais pas l’habitude de côtoyer ce genre de personne…. Et pourtant je me sentais de plus en plus attiré vers lui, une espèce de pulsion animale m’étreignait chaque fois que ses yeux plongeaient dans les miens, et il devait le savoir car il jouait avec. Un jour, je lui proposais de lui mener le repas du soir, puisqu’il s’interdisait de pénétrer dans la maison de qui que ce soit. C’était sa philosophie.
cessnacardinal
2023-01-11 19:43:19
Force à vous les kheys ! Je pense que les histoires de Cachalots Magalax sont pires que celles des mecs et des histoires caca pipi
Chaingy4
2023-01-11 19:43:31
Je le retrouvai donc vers 22h00 un peu plus loin que d’habitude, plus éloigné des rues passantes, et lui offrait ce repas, qu’il dévora goulument, non sans offrir un bout de viande à Rex, son adorable compagnon. Je m’assis à côté de lui pour la première fois ; il sentait à la fois fort, mais cette odeur sauvage m’excitait, j’avais l’impression que mon sexe s’ouvrait à chaque inspiration de ma part.
Alors, sans vraiment m’en rendre compte, je me suis petit à petit approché de lui, et ma main a glissé sur sa cuisse pour attraper son sexe. Il m’a donc regardé, d’un regard à la fois légèrement étonné, mais aussi sûr de lui, et il en a profite pour lui aussi caresser mon petit short blanc.
Nous avions donc commencé à nous frotter l’un l’autre, et je pris l’initiative d’ouvrir son pantalon, en pleine rue pour en sortir un sexe large et dur, il bandait déjà comme un taureau, ce qui me donna envie de le sucer quand je le pouvais encore. J’enfournais son sexe dans ma bouche, non sans mal tant il était large, je passais la langue sur son gland ; on ne pouvait pas dire qu’il ne sentait pas fort, son sexe sentait pas super bon, c’était donc limite bestial, et je descendais doucement le long de sa queue, manquant chaque fois d’hoqueter tant cet amas de chair remplissait bien ma bouche. Lui se laissait faire, mais ne manquait pas de caresser mes seins, il passait sous mon tee shirt et vu que je ne portais pas de soutif, il pouvait à loisir frotter mes tétons entre ses doigts pendant que je le pompais avidement. Je commençais aussi à le branler, mais vu sa position assise j’avais du mal, et j’avais aussi peur qu’il gicle dans ma bouche, et je n’aimais pas du tout ça.
Il me soulevait alors et retira mon short, dévoilant mon tanga noir bien moulant, puis il enfila une capote et me demanda de m’asseoir sur lit, je regardais à droite et à gauche, la rue était déserte et je m’empalais alors lentement sur sa grosse bite, face à lui ; je sentis son sexe entrer en moi mais j’étais tellement excitée, je mouillais tellement qu’il n’y eut aucune difficulté, ça entrait comme dans du beurre.
Je me mis donc à la baiser ainsi, ondulant sur lui de haut en bas, lui laissant lécher mes seins et doigter mon anus, il semblait bien à l’aise et profiter de la situation. Je continuai de le baiser quand nous entendîmes des bruits de pas ! Rapide, il sortit son manteau et le passa sur mes hanches, avant de me serrer dans ses bras. Les passants nous regardèrent, j’avais honte qu’ils me reconnaissent et je me tapissais sur son épaule pour faire croire à un simple câlin, alors que sa queue forait ma chatte. Une fois partis nous comprîmes qu’il fallait en finir et il accéléra la cadence, me pilonnant la chatte sans que je puisse trop m’exprimer. Il se mit à jouir rapidement et je sentis qu’il déchargeait à travers la capote, ce qui me fit jouir également. Je me soulevai rapidement et me rhabillai, m’essuyant rapidement ma mouille sur le tanga, que je lui offrais ; puis je partis sans rien dire.
Je ne le revis plus jamais. Mais quelle expérience !
Risitasenguer16
2023-01-11 19:44:21
le dépucelage du prince Harry raconté par lui-même dans son autobiographie
BientotLeBan118
2023-01-11 19:44:29
Le 11 janvier 2023 à 19:43:31 Chaingy4 a écrit :
Je le retrouvai donc vers 22h00 un peu plus loin que d’habitude, plus éloigné des rues passantes, et lui offrait ce repas, qu’il dévora goulument, non sans offrir un bout de viande à Rex, son adorable compagnon. Je m’assis à côté de lui pour la première fois ; il sentait à la fois fort, mais cette odeur sauvage m’excitait, j’avais l’impression que mon sexe s’ouvrait à chaque inspiration de ma part.
Alors, sans vraiment m’en rendre compte, je me suis petit à petit approché de lui, et ma main a glissé sur sa cuisse pour attraper son sexe. Il m’a donc regardé, d’un regard à la fois légèrement étonné, mais aussi sûr de lui, et il en a profite pour lui aussi caresser mon petit short blanc.
Nous avions donc commencé à nous frotter l’un l’autre, et je pris l’initiative d’ouvrir son pantalon, en pleine rue pour en sortir un sexe large et dur, il bandait déjà comme un taureau, ce qui me donna envie de le sucer quand je le pouvais encore. J’enfournais son sexe dans ma bouche, non sans mal tant il était large, je passais la langue sur son gland ; on ne pouvait pas dire qu’il ne sentait pas fort, son sexe sentait pas super bon, c’était donc limite bestial, et je descendais doucement le long de sa queue, manquant chaque fois d’hoqueter tant cet amas de chair remplissait bien ma bouche. Lui se laissait faire, mais ne manquait pas de caresser mes seins, il passait sous mon tee shirt et vu que je ne portais pas de soutif, il pouvait à loisir frotter mes tétons entre ses doigts pendant que je le pompais avidement. Je commençais aussi à le branler, mais vu sa position assise j’avais du mal, et j’avais aussi peur qu’il gicle dans ma bouche, et je n’aimais pas du tout ça.
Il me soulevait alors et retira mon short, dévoilant mon tanga noir bien moulant, puis il enfila une capote et me demanda de m’asseoir sur lit, je regardais à droite et à gauche, la rue était déserte et je m’empalais alors lentement sur sa grosse bite, face à lui ; je sentis son sexe entrer en moi mais j’étais tellement excitée, je mouillais tellement qu’il n’y eut aucune difficulté, ça entrait comme dans du beurre.
Je me mis donc à la baiser ainsi, ondulant sur lui de haut en bas, lui laissant lécher mes seins et doigter mon anus, il semblait bien à l’aise et profiter de la situation. Je continuai de le baiser quand nous entendîmes des bruits de pas ! Rapide, il sortit son manteau et le passa sur mes hanches, avant de me serrer dans ses bras. Les passants nous regardèrent, j’avais honte qu’ils me reconnaissent et je me tapissais sur son épaule pour faire croire à un simple câlin, alors que sa queue forait ma chatte. Une fois partis nous comprîmes qu’il fallait en finir et il accéléra la cadence, me pilonnant la chatte sans que je puisse trop m’exprimer. Il se mit à jouir rapidement et je sentis qu’il déchargeait à travers la capote, ce qui me fit jouir également. Je me soulevai rapidement et me rhabillai, m’essuyant rapidement ma mouille sur le tanga, que je lui offrais ; puis je partis sans rien dire.
Je ne le revis plus jamais. Mais quelle expérience !
zinzin
Chaingy4
2023-01-11 19:45:01
Le 11 janvier 2023 à 19:43:19 :
Force à vous les kheys ! Je pense que les histoires de Cachalots Magalax sont pires que celles des mecs et des histoires caca pipi
T'as ruiné le pavé que je me suis fait chier à écrire sur mon bloc note de téléphone pour vous raconter ma pire honte
Chaingy4
2023-01-11 19:45:25
Le 11 janvier 2023 à 19:44:30 :
@Chaingy
Suite ? AI ?
Le 11 janvier 2023 à 19:44:30 :
@Chaingy
Suite ? AI ?
Cent pour cent véridique
cessnacardinal
2023-01-11 19:47:40
Pourquoi tu racontes ton histoires comme un navet erotique des années 2000 ?
Yotaro2
2023-01-11 19:48:50
une milf un peu trop mure, en plus j'étais trop arraché alcool et c pour bander correctement, j'ai retiré la capote à un momenthttps://image.noelshack.com/fichiers/2016/42/1477037922-12.png
le réveil j'ai bien flippéhttps://image.noelshack.com/fichiers/2017/18/1494186253-brigitte-2.jpg
en plus sa fille qui avait mon age est venu prendre le café bordellent je me suis cassé si vitehttps://image.noelshack.com/fichiers/2020/13/4/1585254036-1582801038-depardieu-scooter.png
test mst la semaine d'après ouf rienhttps://image.noelshack.com/fichiers/2018/10/1/1520256134-risitasue2.png
glacedesperme
2023-01-11 20:22:17
30 février 2009.
Une grosse mama couleur ébène, poilu, chauve et hygiène douteuse.
Quand je mis mes lèvres sèches sur les siennes je senti qu’elle n’avait jamais fait un roulage de pelle intensif, "pas grave" me dit-je, j’ai continué goulûment.
Ensuite j’ai commencé à lécher les aisselles bien fourni, une bonne odeur de transpiration émané de ce succulent endroit.
Je lui mis un doigt dans le cul par excitation.
Après avoir mis mon doigt en bouche, je descendis telle un aventurier colonial à la conquête de l’Afrique, la chatte bien rose sentais une marée de poissons pourrie, délicieux, j’inspirais d’un coup sec pour récupérer l’encens émanant du catalyseur féminin.
Je lui est fait un nettoyage grâce à mon expérience buccal, elle criait comme un animal en chaleur.
La truie bien mouillée je mis mon membre d’un coup sec et la grosse truie poussa un râle simiesque.
Je lui explosé la chatte africaine comme un groupe de Congolais sur du mafé, le tamponnage était un véritable marteau piqueur colonial.
Je jouis dans la soumise, en criant "RISITAS ! RISITAS !".
Ensuite je me suis essuyer la bite dans ses bourrelets et repartis avec un mouchoir sur la bite car j’avais le frein coupé.