Calaminthe
2022-01-21 11:56:12
Le 21 janvier 2022 à 11:42:38 :
Le 21 janvier 2022 à 11:39:47 Calaminthe a écrit :
Le 21 janvier 2022 à 11:36:36 :
Le 21 janvier 2022 à 11:34:30 H0M0economicus a écrit :
Le 21 janvier 2022 à 11:28:53 :
Le 21 janvier 2022 à 11:27:09 :
Le 21 janvier 2022 à 11:24:33 H0M0economicus a écrit :
Le 21 janvier 2022 à 11:22:02 :
Le 21 janvier 2022 à 11:20:50 H0M0economicus a écrit :
Le 21 janvier 2022 à 11:17:03 :
Le 21 janvier 2022 à 11:15:55 H0M0economicus a écrit :
Le 21 janvier 2022 à 11:14:04 :
Le 21 janvier 2022 à 11:10:21 H0M0economicus a écrit :
Le 21 janvier 2022 à 11:06:11 :
Le 21 janvier 2022 à 10:37:37 :
Ton salaire réel c’est le salaire brut.
Ça paie toutes les infrastructures.
Exactement, même si c'est censé payer toutes les infrastructures
En l'état des choses, c'est plus une vampirisation globale de la société par les ultra-riches
Le problème de cette pensée est de considérer qu’une infrastructure est un bien différent de tous les autres qui ne doit pas être soumis à logique du prix.
Puisque l’utilisation de celles-ci est sans douleur pour les agents économiques, ils en font une sur-consommation et l’ont se prive d’informations précieuses sur l’utilité réelle et individuelle des infrastructures. Résultat, c’est géré n’importe comment.
Par contre, les riches payes bien plus d’impôts que le pekin moyen, donc je vois pas où est la « vampirisation »
Non, ce sont des constructions juridiques qui concentrent les pouvoirs sur la monnaie dont bénéficie le sommet de la pyramide qui leur permet de racketter tout le monde, et j'en profite par cette occasion pour te démontrer en quoi ce laisser-faire est une tyrannie puisque ça nous est imposer autoritairement sans aucun contre-pouvoir possible, puisque les règles du marché sont de nature divine, totalitaire, arbitraire et impossible à remettre en cause.
Donc la construction juridique qui concentre les pouvoir de la monnaie m, ie la banque centrale, c’est du laisser-faire ?
ça c'est votre utopie, mais comme ça ne marche pas, faut bien un peu d'hélicoptère-monnaie.
Donc l’argent hélicoptère c’est aussi le laisser faire ?
Bordel mais il y a aucune logique dans ce que tu dis
Tu ne sais ni lire des comprendre, tu portes bien ton avatar comme dirait l'autre.
Il y a quoi à comprendre dans tes élucubrations insensées ?
Que la Banque centrale est une idée libérale ?
Non franchement éclaire moi
Et c'est toi qui me parle d'élucubrations insensées ?
Bah oui, ça l'es, les ordolibéraux restent des ordolibéraux, comme tout le reste des politiques de privatisations, de libre échange et j'en passe
Oui les ordolibéraux, ce fameux mot à la mode dans lequel on fourre exactement tout
Alors qu’en dehors de la théorie pure ce que vous appelez « ordolibéralisme » n’est rien d’autre que le réformisme allemand post Godesberg
Dans la pratique, l’ordoliberalisme est bien la pratique qui domine (l’organisation de la concurrence par l’état). A vrai dire, j’aimerais bien bien que la critique se porte plus sur l’ordoliberalisme puisque ça évacuerait pas mal de critique sur le libéralisme classique que l’on tient pour responsable de choses qu’il ne défend pas
Le libéralisme classique est pire que l'ordolibéralisme, c'est une idéologie morte qui cache le féodalisme et l'esclavage, les ressources sont limités, ce sont les lois de la physique, votre idéologie est une maladie mentale rien d'autre.
Usulin à deux doigts de découvrir qu’il y a des biens impérissables
El famoso ressources limitées de l’agriculture
Ha ? Grande nouvelle, descolin Calaminthe a trouvé du foncier illimité ? Des ressources en eau illimité ? Le soleil qui ne se couche jamais ?
Parles nous de ton agriculture aux ressources illimités, nous feront fortune à n'en point douter.
Il croit que l’eau disparaît dans un vortex quand on arrose une plante
Et qu’un épi donne moins qu’un grain
Allez bouffe ça :
This distinction between permanent et non-permanent (or "consumable") resources is of fundamental importance to the approach to the capital problem that will be followed in this study. It is not, however, a distinction which is in all cases unambiguous. The main point to be kept in mind is that what matters is not permanency in any absolute sense, but the opinion of the economic subject as to whether particular resources at his command will last throughout the period in which he is interested (be it his lifetime or a longer period), or whether they will be exhausted or used up earlier than this.
(Friedrich August von Hayek, Pure Theory of Capital, V, The Nature of the Capital Problem, Chicago, 1975, p. 51 sq)
The first question to which we have to turn, then, is how the existence of a stock of non-permanent resources enables us to maintain our income at a raised level for an indefinite period. The answer to this question is especially significant because it also explains why a great part of those resources, namely those which are "produced means of production", ever came into existence. The answer is of course that in consequence we are in a position to postpone the return from some of the current services of the permanent resources without reducing our consumption below the level at which it can be permanently kept. We are thus able to take advantage of the celebrated productivity of the " round-about methods " of production which have been the cause of so much misunderstanding. In other words, the existence of non-permanent resources makes it at the same time possible and necessary to " invest " some of the current productive services, that is to use them in such a way that they will not yield consumable services until a later date than they might otherwise have done, but will then yield a larger amount of such services than they would have done at the earlier date.
(Friedrich August von Hayek, Pure Theory of Capital, V, The Nature of the Capital Problem, Chicago, 1975, p. 59)
That the powers of Labour, and the other instruments which produce wealth, may be indefinitely increased by using their Products as a means of further Production.
(Nassau William Senior, Political Economy, Four Elementary Propositions of the Science of Political Economy, III, 1836, 8vo edition, p. 26)
The general fact is, briefly, that there will almost always exist potential but unused resources which could be made to yield a useful return, but only after some time and not immediately ; and that the exploitation of such resources will usually require that other resources, which could yield a return immediately or in the near future, have to be used in order to make these other resources yield any return at all. This simple fact fully suffices to explain why there will nearly always be possibilities of increasing their output obtained from the available resources by investing some of them for longer periods.
It has never been asserted that every investment for a longer period will necessarily yield a larger product, although the critics have sometimes attacked the theory on these grounds. All that is important is that, so long as there are possibilities of increasing the product by investing for a longer period, only such prolongations of investment periods will be chosen as will actually give a greater product.
(Friedrich August von Hayek, Pure Theory of Capital, V, The Nature of the Capital Problem, Chicago, 1975, p. 60)