À propos de la récidive homicide chez les cas psy
La récidive dans l'homicide pathologique est peu connue. Cette étude descriptive et analytique porte sur douze patients de sexe masculin hospitalisés à l'Unité pour Malades Difficiles de Cadillac en Gironde (33) entre le 1er janvier 1990 et le 1er janvier 2005. Ces malades ont fait 17 victimes lors des premiers crimes et 18 lors des récidives. Les pathologies présentées sont respectivement la schizophrénie (six cas, soit 50 %), le trouble délirant persistant ou délire paranoïaque (deux cas, soit 17 %), le retard mental moyen (deux cas, soit 17 %), le trouble schizo-affectif (un cas, soit 8 %) et le trouble envahissant du développement (un cas, soit 8 %). Le premier crime survient en moyenne à 28,2 ans (SD 9,8 ; étendue 14 à 42 ans). Le deuxième est réalisé en moyenne à 37,8 ans (SD 12 ; étendue 23 à 64 ans). L'écart entre les événements criminels (de deux à cinq homicides par patient) est en moyenne de 8,9 ans (SD 8,6 ; étendue 0-28 ans). Les crimes commis par ces patients ont fait 35 victimes, n'appartenant pas pour la plupart à leur entourage familial (83 %) mais souvent connues du meurtrier (74 %). Un tiers des récidives sont perpétrées envers un autre patient au cours d'une hospitalisation (quatre cas) ou envers un autre détenu pendant une incarcération (deux cas). L'homicide apparaît communément réalisé de façon impulsive et violente. L'arme utilisée est souvent une arme d'opportunité (51 %). Les antécédents criminels et les actes de violence associés aux meurtres, notamment les coups et blessures volontaires (75 %) ainsi que les tentatives d'homicide (50 %), sont particulièrement fréquents sur la vie entière. Trois patients ont perpétré au moins une tentative d'homicide avant le premier meurtre. La connaissance des antécédents psychiatriques, criminels violents et judiciaires de ces patients par les cliniciens et les experts est essentielle dans la prévention de la récidive.
Les serial killer américains qui risquent perpet ou peine de mort vous pensez qu'ils ont un forum avec des topics "Acquitté pour un meurtre, ratez pas le train France"
Les chofa puceaux aux cheveux gras qui se pensent plus qualifiés que les juges
Justice a déjà été rendue, vous pouvez disposax
Le 15 avril 2021 à 01:19:33 :
Pas de procès pour Sarah Halimi tué par Kobili Traoré considéré comme irresponsable pénalement.https://image.noelshack.com/fichiers/2019/42/4/1571288965-22.png Les juges ont appliqué le droit.
https://image.noelshack.com/fichiers/2019/42/4/1571288965-22.png Tout simplement.
https://image.noelshack.com/fichiers/2019/42/4/1571288965-22.png
Sachant que les juges auraient pu rendre un autre jugement qui aurait fait jurisprudence, ils auront du mal à se retrancher derrière le prétexte de l'application du Droit, aux yeux de toutes personnes qui ne marchent pas dans leur escroquerie mentale. En vérité, ils ont rendu un jugement qui les arrange idéologiquement.
Sans connaître le droit pénal, sans connaître la psychiatrie. Un permis cariste et ça juge
https://youtu.be/FqkFFo3OFoY
Le 15 avril 2021 à 02:18:30 :
Les chofa puceaux aux cheveux gras qui se pensent plus qualifiés que les jugeshttps://image.noelshack.com/fichiers/2021/13/5/1617388171-juventus1.png
Justice a déjà été rendue, vous pouvez disposaxhttps://image.noelshack.com/fichiers/2021/13/5/1617388171-juventus1.png
Les juges sont pas du tout qualifiés pour rendre la justice de manière juste, ce que tout le monde qui a déjà été confronté à la justice sait.
Le 15 avril 2021 à 02:18:30 :
Les chofa puceaux aux cheveux gras qui se pensent plus qualifiés que les jugeshttps://image.noelshack.com/fichiers/2021/13/5/1617388171-juventus1.png
Justice a déjà été rendue, vous pouvez disposaxhttps://image.noelshack.com/fichiers/2021/13/5/1617388171-juventus1.png
Nice troll on feed bien ...en plus la justice à pas était rendu elle a juste estimer qu'elle pouvait pas se prononcer en l'occurrence gogolito...
maintenant ferme ta gueule et va lire un livre...
Le 15 avril 2021 à 02:18:30 :
Les chofa puceaux aux cheveux gras qui se pensent plus qualifiés que les jugeshttps://image.noelshack.com/fichiers/2021/13/5/1617388171-juventus1.png
S'ils était si qualifiés, ils sauraient qu'ils ont la possibilité de rendre un jugement qui ne correspond pas exactement au Droit. Lorsqu'ils le font, le jugement rendu fait jurisprudence.
Bordel pourquoi on feed des tocards comme ça... Je me casse bonne nuit à tous...
Le 15 avril 2021 à 02:20:56 :
Sans connaître le droit pénal, sans connaître la psychiatrie. Un permis cariste et ça juge
https://youtu.be/FqkFFo3OFoY
Avec des arguments d'autorité pareils tu peux faire passer n'importe quelle pilule c'est bien https://image.noelshack.com/fichiers/2020/32/5/1596814750-sunmi-15.png
"désolé le psy a dit qu'il avait des bouffées de chaleur et un peu d'urticaire, pis il a fumé aussi sur le moment il était pas bien" https://image.noelshack.com/fichiers/2020/32/5/1596814750-sunmi-15.png
Le 15 avril 2021 à 02:15:33 :
À propos de la récidive homicide chez les cas psyLa récidive dans l'homicide pathologique est peu connue. Cette étude descriptive et analytique porte sur douze patients de sexe masculin hospitalisés à l'Unité pour Malades Difficiles de Cadillac en Gironde (33) entre le 1er janvier 1990 et le 1er janvier 2005. Ces malades ont fait 17 victimes lors des premiers crimes et 18 lors des récidives. Les pathologies présentées sont respectivement la schizophrénie (six cas, soit 50 %), le trouble délirant persistant ou délire paranoïaque (deux cas, soit 17 %), le retard mental moyen (deux cas, soit 17 %), le trouble schizo-affectif (un cas, soit 8 %) et le trouble envahissant du développement (un cas, soit 8 %). Le premier crime survient en moyenne à 28,2 ans (SD 9,8 ; étendue 14 à 42 ans). Le deuxième est réalisé en moyenne à 37,8 ans (SD 12 ; étendue 23 à 64 ans). L'écart entre les événements criminels (de deux à cinq homicides par patient) est en moyenne de 8,9 ans (SD 8,6 ; étendue 0-28 ans). Les crimes commis par ces patients ont fait 35 victimes, n'appartenant pas pour la plupart à leur entourage familial (83 %) mais souvent connues du meurtrier (74 %). Un tiers des récidives sont perpétrées envers un autre patient au cours d'une hospitalisation (quatre cas) ou envers un autre détenu pendant une incarcération (deux cas). L'homicide apparaît communément réalisé de façon impulsive et violente. L'arme utilisée est souvent une arme d'opportunité (51 %). Les antécédents criminels et les actes de violence associés aux meurtres, notamment les coups et blessures volontaires (75 %) ainsi que les tentatives d'homicide (50 %), sont particulièrement fréquents sur la vie entière. Trois patients ont perpétré au moins une tentative d'homicide avant le premier meurtre. La connaissance des antécédents psychiatriques, criminels violents et judiciaires de ces patients par les cliniciens et les experts est essentielle dans la prévention de la récidive.
La récidive par les patients d'UMD, oui. Je connais particulièrement bien l'UMD de Cadillac.
La récidive existe aussi après la prison.
La question est :
- d'expliquer à ceux qui l'ignorent que déclarer l'irresponsabilité pénale n'amène pas à la liberté, mais à une hospitalisation en UMD danx ce genre de cas, qui est un régime d'enfermement très dur + soins psychiatriques
- la durée de l'enfermement est alors calée sur le besoin en soins ; quand les psychiatres estiment qu'il n'y a plus besoin de soins en UMD, le patient est transféré dans une unité psychiatrique fermée
- les psychiatres peuvent se tromper ... comme les juges, comme tout le monde.
Au final, il est logique et surtout socialement préférable qu'une personne déclarée pénalement irresponsable soit hospitalisée, plutôt qu'enfermée sans soins psychiatriques. Confondre ça avec une forme de laxisme, c'est se tromper de sujet, par ignorance,
Le 15 avril 2021 à 02:28:02 :
Le 15 avril 2021 à 02:15:33 :
À propos de la récidive homicide chez les cas psyLa récidive dans l'homicide pathologique est peu connue. Cette étude descriptive et analytique porte sur douze patients de sexe masculin hospitalisés à l'Unité pour Malades Difficiles de Cadillac en Gironde (33) entre le 1er janvier 1990 et le 1er janvier 2005. Ces malades ont fait 17 victimes lors des premiers crimes et 18 lors des récidives. Les pathologies présentées sont respectivement la schizophrénie (six cas, soit 50 %), le trouble délirant persistant ou délire paranoïaque (deux cas, soit 17 %), le retard mental moyen (deux cas, soit 17 %), le trouble schizo-affectif (un cas, soit 8 %) et le trouble envahissant du développement (un cas, soit 8 %). Le premier crime survient en moyenne à 28,2 ans (SD 9,8 ; étendue 14 à 42 ans). Le deuxième est réalisé en moyenne à 37,8 ans (SD 12 ; étendue 23 à 64 ans). L'écart entre les événements criminels (de deux à cinq homicides par patient) est en moyenne de 8,9 ans (SD 8,6 ; étendue 0-28 ans). Les crimes commis par ces patients ont fait 35 victimes, n'appartenant pas pour la plupart à leur entourage familial (83 %) mais souvent connues du meurtrier (74 %). Un tiers des récidives sont perpétrées envers un autre patient au cours d'une hospitalisation (quatre cas) ou envers un autre détenu pendant une incarcération (deux cas). L'homicide apparaît communément réalisé de façon impulsive et violente. L'arme utilisée est souvent une arme d'opportunité (51 %). Les antécédents criminels et les actes de violence associés aux meurtres, notamment les coups et blessures volontaires (75 %) ainsi que les tentatives d'homicide (50 %), sont particulièrement fréquents sur la vie entière. Trois patients ont perpétré au moins une tentative d'homicide avant le premier meurtre. La connaissance des antécédents psychiatriques, criminels violents et judiciaires de ces patients par les cliniciens et les experts est essentielle dans la prévention de la récidive.
La récidive par les patients d'UMD, oui. Je connais particulièrement bien l'UMD de Cadillac.
La récidive existe aussi après la prison.La question est :
- d'expliquer à ceux qui l'ignorent que déclarer l'irresponsabilité pénale n'amène pas à la liberté, mais à une hospitalisation en UMD danx ce genre de cas, qui est un régime d'enfermement très dur + soins psychiatriques
- la durée de l'enfermement est alors calée sur le besoin en soins ; quand les psychiatres estiment qu'il n'y a plus besoin de soins en UMD, le patient est transféré dans une unité psychiatrique fermée
- les psychiatres peuvent se tromper ... comme les juges, comme tout le monde.
Pour le coup, là, il faut le faire exprès pour se tromper, quand même... On a bien compris que le type n'était pas dans son état normal quand il a tué Sarah Halimi. Mais c'est quand même lui, en toute conscience et de son propre chef, qui s'est mis dans cet état. Donc, il y avait même moyen d'y voir une circonstance aggravante, en réalité. Et les juges avaient toute latitude pour rendre un jugement qui aurait fait jurisprudence. Au lieu de ça, ils ont rendu un jugement se fondant sur l'application stricte du Droit. Pour moi, ça cache la vraie raison qui est à mon avis idéologique. Sinon, je ne vois pas ce que ça peut être.
Le 15 avril 2021 à 02:28:02 :
Le 15 avril 2021 à 02:15:33 :
À propos de la récidive homicide chez les cas psyLa récidive dans l'homicide pathologique est peu connue. Cette étude descriptive et analytique porte sur douze patients de sexe masculin hospitalisés à l'Unité pour Malades Difficiles de Cadillac en Gironde (33) entre le 1er janvier 1990 et le 1er janvier 2005. Ces malades ont fait 17 victimes lors des premiers crimes et 18 lors des récidives. Les pathologies présentées sont respectivement la schizophrénie (six cas, soit 50 %), le trouble délirant persistant ou délire paranoïaque (deux cas, soit 17 %), le retard mental moyen (deux cas, soit 17 %), le trouble schizo-affectif (un cas, soit 8 %) et le trouble envahissant du développement (un cas, soit 8 %). Le premier crime survient en moyenne à 28,2 ans (SD 9,8 ; étendue 14 à 42 ans). Le deuxième est réalisé en moyenne à 37,8 ans (SD 12 ; étendue 23 à 64 ans). L'écart entre les événements criminels (de deux à cinq homicides par patient) est en moyenne de 8,9 ans (SD 8,6 ; étendue 0-28 ans). Les crimes commis par ces patients ont fait 35 victimes, n'appartenant pas pour la plupart à leur entourage familial (83 %) mais souvent connues du meurtrier (74 %). Un tiers des récidives sont perpétrées envers un autre patient au cours d'une hospitalisation (quatre cas) ou envers un autre détenu pendant une incarcération (deux cas). L'homicide apparaît communément réalisé de façon impulsive et violente. L'arme utilisée est souvent une arme d'opportunité (51 %). Les antécédents criminels et les actes de violence associés aux meurtres, notamment les coups et blessures volontaires (75 %) ainsi que les tentatives d'homicide (50 %), sont particulièrement fréquents sur la vie entière. Trois patients ont perpétré au moins une tentative d'homicide avant le premier meurtre. La connaissance des antécédents psychiatriques, criminels violents et judiciaires de ces patients par les cliniciens et les experts est essentielle dans la prévention de la récidive.
La récidive par les patients d'UMD, oui. Je connais particulièrement bien l'UMD de Cadillac.
La récidive existe aussi après la prison.La question est :
- d'expliquer à ceux qui l'ignorent que déclarer l'irresponsabilité pénale n'amène pas à la liberté, mais à une hospitalisation en UMD danx ce genre de cas, qui est un régime d'enfermement très dur + soins psychiatriques
- la durée de l'enfermement est alors calée sur le besoin en soins ; quand les psychiatres estiment qu'il n'y a plus besoin de soins en UMD, le patient est transféré dans une unité psychiatrique fermée
- les psychiatres peuvent se tromper ... comme les juges, comme tout le monde.Au final, il est logique et surtout socialement préférable qu'une personne déclarée pénalement irresponsable soit hospitalisée, plutôt qu'enfermée sans soins psychiatriques. Confondre ça avec une forme de laxisme, c'est se tromper de sujet, par ignorance,
Tu à raison une personne interner pour meurtre c'est pas une parti de plaisir mais du coup je reposte mon message de tantôt:
Ce que tu veut pas comprendre c'est que y'a déjà des précédents de libération validé par des psychiatres qui on mené à de véritables drame donc en vérité on s'inquiète surtout de la toute puissance de psy sur ce genre de décisions...
moi si on me garantit que son état est pas compatible avec la vie en société et que du coup on l'interne à vie malgré une possible guérison alors je veut bien.
Depuis longtemps on a admis que pour les délinquants psy sexuelles le risque zéro n'existe pas. Pour les cas psy homicide c'est pareil alors c'est un choix idéologique de ma part mais je préfère priver ces gens de liberté toute leurs vie(on pourras toujours "assouplir" si leur état évolue mais toujours dans le cadre d'un internement stricte) que de faire prendre des risques à des pauvres gens qui n'on rien demandée .
Et en plus en privant un cas psy de récidive possible on le prive de souffrance supplémentaire...
Le 15 avril 2021 à 02:40:17 :
Le 15 avril 2021 à 02:28:02 :
Le 15 avril 2021 à 02:15:33 :
À propos de la récidive homicide chez les cas psyLa récidive dans l'homicide pathologique est peu connue. Cette étude descriptive et analytique porte sur douze patients de sexe masculin hospitalisés à l'Unité pour Malades Difficiles de Cadillac en Gironde (33) entre le 1er janvier 1990 et le 1er janvier 2005. Ces malades ont fait 17 victimes lors des premiers crimes et 18 lors des récidives. Les pathologies présentées sont respectivement la schizophrénie (six cas, soit 50 %), le trouble délirant persistant ou délire paranoïaque (deux cas, soit 17 %), le retard mental moyen (deux cas, soit 17 %), le trouble schizo-affectif (un cas, soit 8 %) et le trouble envahissant du développement (un cas, soit 8 %). Le premier crime survient en moyenne à 28,2 ans (SD 9,8 ; étendue 14 à 42 ans). Le deuxième est réalisé en moyenne à 37,8 ans (SD 12 ; étendue 23 à 64 ans). L'écart entre les événements criminels (de deux à cinq homicides par patient) est en moyenne de 8,9 ans (SD 8,6 ; étendue 0-28 ans). Les crimes commis par ces patients ont fait 35 victimes, n'appartenant pas pour la plupart à leur entourage familial (83 %) mais souvent connues du meurtrier (74 %). Un tiers des récidives sont perpétrées envers un autre patient au cours d'une hospitalisation (quatre cas) ou envers un autre détenu pendant une incarcération (deux cas). L'homicide apparaît communément réalisé de façon impulsive et violente. L'arme utilisée est souvent une arme d'opportunité (51 %). Les antécédents criminels et les actes de violence associés aux meurtres, notamment les coups et blessures volontaires (75 %) ainsi que les tentatives d'homicide (50 %), sont particulièrement fréquents sur la vie entière. Trois patients ont perpétré au moins une tentative d'homicide avant le premier meurtre. La connaissance des antécédents psychiatriques, criminels violents et judiciaires de ces patients par les cliniciens et les experts est essentielle dans la prévention de la récidive.
La récidive par les patients d'UMD, oui. Je connais particulièrement bien l'UMD de Cadillac.
La récidive existe aussi après la prison.La question est :
- d'expliquer à ceux qui l'ignorent que déclarer l'irresponsabilité pénale n'amène pas à la liberté, mais à une hospitalisation en UMD danx ce genre de cas, qui est un régime d'enfermement très dur + soins psychiatriques
- la durée de l'enfermement est alors calée sur le besoin en soins ; quand les psychiatres estiment qu'il n'y a plus besoin de soins en UMD, le patient est transféré dans une unité psychiatrique fermée
- les psychiatres peuvent se tromper ... comme les juges, comme tout le monde.Au final, il est logique et surtout socialement préférable qu'une personne déclarée pénalement irresponsable soit hospitalisée, plutôt qu'enfermée sans soins psychiatriques. Confondre ça avec une forme de laxisme, c'est se tromper de sujet, par ignorance,
Tu à raison une personne interner pour meurtre c'est pas une parti de plaisir mais du coup je reposte mon message de tantôt:
Ce que tu veut pas comprendre c'est que y'a déjà des précédents de libération validé par des psychiatres qui on mené à de véritables drame donc en vérité on s'inquiète surtout de la toute puissance de psy sur ce genre de décisions...
moi si on me garantit que son état est pas compatible avec la vie en société et que du coup on l'interne à vie malgré une possible guérison alors je veut bien.
Depuis longtemps on a admis que pour les délinquants psy sexuelles le risque zéro n'existe pas. Pour les cas psy homicide c'est pareil alors c'est un choix idéologique de ma part mais je préfère priver ces gens de liberté toute leurs vie(on pourras toujours "assouplir" si leur état évolue mais toujours dans le cadre d'un internement stricte) que de faire prendre des risques à des pauvres gens qui n'on rien demandée .
Et en plus en privant un cas psy de récidive possible on le privé de souffrance supplémentaire...
En fait, dans cette affaire, le problème, ce n'est pas le psy. Lui, il s'est contenté de dire ce qui s'est passé en toute objectivité.
Le problème, ce sont les juges qui ont appliqué strictement le droit au lieu de rendre un jugement qui aurait fait jurisprudence, alors qu'ils avaient la possibilité de le faire.
Le 15 avril 2021 à 02:43:06 :
Le 15 avril 2021 à 02:40:17 :
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À propos de la récidive homicide chez les cas psyLa récidive dans l'homicide pathologique est peu connue. Cette étude descriptive et analytique porte sur douze patients de sexe masculin hospitalisés à l'Unité pour Malades Difficiles de Cadillac en Gironde (33) entre le 1er janvier 1990 et le 1er janvier 2005. Ces malades ont fait 17 victimes lors des premiers crimes et 18 lors des récidives. Les pathologies présentées sont respectivement la schizophrénie (six cas, soit 50 %), le trouble délirant persistant ou délire paranoïaque (deux cas, soit 17 %), le retard mental moyen (deux cas, soit 17 %), le trouble schizo-affectif (un cas, soit 8 %) et le trouble envahissant du développement (un cas, soit 8 %). Le premier crime survient en moyenne à 28,2 ans (SD 9,8 ; étendue 14 à 42 ans). Le deuxième est réalisé en moyenne à 37,8 ans (SD 12 ; étendue 23 à 64 ans). L'écart entre les événements criminels (de deux à cinq homicides par patient) est en moyenne de 8,9 ans (SD 8,6 ; étendue 0-28 ans). Les crimes commis par ces patients ont fait 35 victimes, n'appartenant pas pour la plupart à leur entourage familial (83 %) mais souvent connues du meurtrier (74 %). Un tiers des récidives sont perpétrées envers un autre patient au cours d'une hospitalisation (quatre cas) ou envers un autre détenu pendant une incarcération (deux cas). L'homicide apparaît communément réalisé de façon impulsive et violente. L'arme utilisée est souvent une arme d'opportunité (51 %). Les antécédents criminels et les actes de violence associés aux meurtres, notamment les coups et blessures volontaires (75 %) ainsi que les tentatives d'homicide (50 %), sont particulièrement fréquents sur la vie entière. Trois patients ont perpétré au moins une tentative d'homicide avant le premier meurtre. La connaissance des antécédents psychiatriques, criminels violents et judiciaires de ces patients par les cliniciens et les experts est essentielle dans la prévention de la récidive.
La récidive par les patients d'UMD, oui. Je connais particulièrement bien l'UMD de Cadillac.
La récidive existe aussi après la prison.La question est :
- d'expliquer à ceux qui l'ignorent que déclarer l'irresponsabilité pénale n'amène pas à la liberté, mais à une hospitalisation en UMD danx ce genre de cas, qui est un régime d'enfermement très dur + soins psychiatriques
- la durée de l'enfermement est alors calée sur le besoin en soins ; quand les psychiatres estiment qu'il n'y a plus besoin de soins en UMD, le patient est transféré dans une unité psychiatrique fermée
- les psychiatres peuvent se tromper ... comme les juges, comme tout le monde.Au final, il est logique et surtout socialement préférable qu'une personne déclarée pénalement irresponsable soit hospitalisée, plutôt qu'enfermée sans soins psychiatriques. Confondre ça avec une forme de laxisme, c'est se tromper de sujet, par ignorance,
Tu à raison une personne interner pour meurtre c'est pas une parti de plaisir mais du coup je reposte mon message de tantôt:
Ce que tu veut pas comprendre c'est que y'a déjà des précédents de libération validé par des psychiatres qui on mené à de véritables drame donc en vérité on s'inquiète surtout de la toute puissance de psy sur ce genre de décisions...
moi si on me garantit que son état est pas compatible avec la vie en société et que du coup on l'interne à vie malgré une possible guérison alors je veut bien.
Depuis longtemps on a admis que pour les délinquants psy sexuelles le risque zéro n'existe pas. Pour les cas psy homicide c'est pareil alors c'est un choix idéologique de ma part mais je préfère priver ces gens de liberté toute leurs vie(on pourras toujours "assouplir" si leur état évolue mais toujours dans le cadre d'un internement stricte) que de faire prendre des risques à des pauvres gens qui n'on rien demandée .
Et en plus en privant un cas psy de récidive possible on le privé de souffrance supplémentaire...
En fait, dans cette affaire, le problème, ce n'est pas le psy. Lui, il s'est contenté de dire ce qui s'est passé en toute objectivité.
Le problème, ce sont les juges qui ont appliqué strictement le droit au lieu de rendre un jugement qui aurait fait jurisprudence, alors qu'ils avaient la possibilité de le faire.
Ben oui c'est vrai ça aussi admettons que le mec est eu une abolition complete du discernement au moment des faits(on aurait pu partir sur une altération mais non). Avant ça le mec il a fumé des joints en connaissant les risque psycho-sociaux pendant des années et il a continué...à ce moment il était en possession de ces moyens il a sciemment fait son choix...peut être qu'aujourd'hui il n'est plus capable de le comprendre néanmoins à un époque il choisit de soumettre sa psyché à un mauvais traitement on parle pas d'un mec dont la maladie c'est réveillé par des circonstances externes à sa volonté ...
La maison mère ne laissera jamais passer ca
Il porteront le dossier devant la CJUE
Le 15 avril 2021 à 01:44:03 :
Le 15 avril 2021 à 01:42:04 :
Le 15 avril 2021 à 01:40:04 :
Le 15 avril 2021 à 01:38:51 :
Donc fumer des joints te donnes une excuse pour tabasser et balancer quelqu'un par la fenêtre ?
Ce pays est vraiment malade, le pire c'est que y'en a pour défendre ces conneries sérieusementS'il y a un délire psychotique c'est plus compliqué que ça descolin
ba non tu consomme de la drogue en connaissance de cause tu es donc responsable des actes que tu commet sous l'influence de la drogue
quand tu fais des connerie completement bourré a ce que je sache on te punit quand meme hein
S'il est déclaré irresponsable c'est que son discernement était aboli. C'est pas une question d'influence, d'entrave ou d'altération, mais abolition totale ou partielle.
Il a bien capable de discerner qu'il était en train de la tabasser, de la jeter par la fenêtre et de crier "attention elle se suicide" pourtant
Le 15 avril 2021 à 01:40:04 :
Le 15 avril 2021 à 01:38:51 :
Donc fumer des joints te donnes une excuse pour tabasser et balancer quelqu'un par la fenêtre ?
Ce pays est vraiment malade, le pire c'est que y'en a pour défendre ces conneries sérieusementS'il y a un délire psychotique c'est plus compliqué que ça descolin
Le fameux délire.
C'est la carte qu'ils ont joué avec son avocat.
Vous dites qu'il sera enfermé en asile sous medoc. Mais sans jugement, il peut sortir dans une semaine si les "experts" le.juge acceptable